fortent de l’oe uf au bout de vingt-
un jours ; quelques- u n s , comme
les férins, éclo fera au bout de treize
ou quatorze jours. Vol• I I , 3 1.9.
Raifons pourquoi dans les oifeaux,
les pères prennent foin de leurs
petits, comme les mères. Vol. IV ,
8 5. Il n’eft pas nécefîàire d’ac-
. corder de la prévoyance aux oilèaux
pour rendre raifon de la conftruétion
de leurs nids. Ibid. 1 07. Pourquoi
les oilèaux de baflè-cour ne font
point de nids. Ibid. 1 0 7 Antipathie
des oifeaux pour le renard. Vol. V II,
8 1 . s
O l iv ie r . II n’y a point d’oliviers
à plus de quatfe cents lieues du
mont Ara'rath. Vol. 1, 1 90.
O nagre ( I ’ j ou I’O n ag er des
Anciens, n’efi autre chofe que fane
làuvage, on le trouve dans les dé-
lèrts ries pays chauds. Vol. IV , 3 9 9 .
L ’onagre n’eft point le zèbre ,
mais l’âne dans fon état de nature.
Vol. X I I , 3. Différence de l’onagre
& de l’âne commun. Ibid. 4.
O n c e . Origine de ce n om , avec
une:COürte defcription de l’animal,
auquel bn l’a donné. Vol. IX , 1 5 2.
Comparaifon de l’once avec la panthère.
Ibid. 1 5 3 . Différences de
l ’onCe & de la panthère Ibid. 1 5 4 .
Naturel & tempérament de l’once.
Ibid. 16 4 . L ’eipèce paraît en être
plus nombreufe & plus répandue
que celle de la panthère. Vol. I X ,
1 6 7. O n s’en lèrt pour la chhffe
en Afie; Raifon de cet ufage. Ibid.
Habitudes naturelles de l ’once , &
là manière de challêr. Ibid. 168.
O nd atr a , efpèce de rat mufqué de
l ’Amérique fèptentrionale. Vol. X ,
1 . Ses différences d’avec les autres
rats mufqués. Ibid. 2 & fuivantes.
Courte defcription de cet animal.
Ibid. 4 . L ’ondatra peut refferrer
Ion corps & le réduire à un moindre
volume. Ibid. j . Mues fingulières
de l’urine dans les ondatras femelles.
Ibid. Les tellicuies dans ce petit
animal deviennent, dans le temps
. du ru t, aufll gros que des noix-muf-
cades,& dans les autres temps ils fe
réduilint à une ligne de diamètre.
Ibid. 6. Defcription des follécules
qui contiennent le parfum dans cet
animal. Ibid. 7 . Les follécules, ainfi
que toutes les parties de la génération
fe gonflent <5c fe tuméfient prodi-
gieufement pendant la làifon des
amours , & enfuite les parties de la
génération diminuent & (ë réduilènt
prefqu’à rien, & les follécules s’oblitèrent
en entier, Ibid. Ses conformités
& fes différences d’avec le caftor.
Ibid. 8. Les ondatras bâtiflènt en
petit comme les caflors; defcription
de leurs habitations. Ibid. 9 . Manière
de les prendre ; leur fourrure eft
afîèz précieufè , & leur chair n’eft
pas mauvaifè â manger. Vol. X , 1 o.
Ils font en amour en été, & vont
ordinairement par couple. Ibid. Le
parfum de cet animal qui eft agréable
pour les Européens, déplaît très-
fort aux Sauvages de l’Amérique.
Ibid. 1 1. Ces animaux produifent
une fois par an, les portées font de
cinq ou fix petits. Ibid. Ifs fè conff
truifênt tous les ans une nouvelle
•. habitation. Ibid. Habitudes natu-
• relies de l’ondatra. Ibid. II s’appri-
voife aifément ; il eft très-joli dans
le premier âge. Ibid. 1 2.
O possum. Voye^ Sarigue . Vol. X ,
2 7 9 .........Opojfum.
O rage & Nuage fingulier au cap
de Bonne-efpérance. Vol. 1 ,4 8 3 .
ORAGES (les) font fréquens dans tous
les détroits ', fur toutes les côtes
avancées, à l’extrémité & aux environs
de mus les promontoires des
' prefqu’îles & des caps, & dans tous
les golfes étroits. Vol. 1,4 7 9 .
O rang-o u t a n g . Première elpèce
de linge. Vol. X IV , 3. Si l’on ne
fàifoît attention qu’à la figure, on
pourrait également regarder l’orang-
outang comme le premier des linges
ou le dernier des hommes. Ibid.
3 o. Defcription de l’orang-outang,
félon Bontius & félon quelques
autres Voyageurs...........Difcufîion
critique à ce fujet. Vol. X IV , 4 4
Ù“ fuivantes. Il y en a deux elpèces,
l ’un appelé Barris, par quelques
Voyageurs, & l ’autre D rill, par les
Anglois ; le barris eft le même que
le pongo; c ’eft le grand orang-
outang , & le drill eft le même que
le jocko , & c ’eft le petit orang-
outang. Ibid. 48. Ces animaux ont
l ’inftinél de s’alîèoir à table comme
les hommes ; ils fe fervent du
couteau , de la cuiller & de la
fourchette , &c. Ibid. 5 y è f fuiv.
Expofition de toutes les différences
qui éloignent cette elpèce de I’efpèce
humaine & de toutes les conformités
qui l’en approchent. Ibid. 60 à 1fuiv.
L ’homme & l’orang-outang font les
feuls qui aient des feffes & des
molets, & qui par confequent foient
faits pour marcher debout, les lèuls
qui aient la poitrine large, les épaules
aplaties & les vertèbres conformées
l ’un comme l’autre, les lèuls dont
le coeur , le cerveau , les poumons ,
le foie, la rate, lepancréas, l ’eftomac,
les boyaux, foient abfolument pareils
, les lèuls qui aient l ’appendice
vermiculaire au cæcum ; en tout
l’orang - outang reflètnble plus à
l ’homme qu’il ne reffemble même
aux autres linges. Ibid. 61 & 62.
Defcription des parties intérieures