Vol. V , i 23. Le cochon appartient
à l’ancien continent , & ne s’eft
point trouvé clans le nouveau Iorf-
qu'on en fit la découverte. Vol. IX,
7 0 . Les cochons tran(portés dans
l ’Amérique méridionale , y ont pro-
digieufentent multipliés, & y font
meilleurs à manger qu’en Europe.
Ibid. 7 1 .
C ochon d’Inde. Il eft naturel aux
climats chauds. Vol. V I I I , 2. Manière
de rendre les cochons d’Inde
meilleurs à manger. Ibid. Les femelles
ne portent que trois (êmaines,
& nous en avons vu mettre bas à
deux mois d’âge ; les premières
portées font de quatre ou cinq ; la
fécondé portée eft de cinq ou fix ,
& les autres de fept ou huit, & même
de dix ou onze; la mère n’allaite
fes petits que pendanc douze ou
quinze jours; elles les chaffe dès
qu’elle reprend le mâle, c ’eft au
plus tard mois fèmaines après qu’elle
a mis bas. Ibid. 3 . Les pochons
d ’Inde produifent tous les deux
m o is .. . . Avec un feul co up le, on
pourrait en avoir un millier dans un
an. Ibid. 3. Le froid & l ’humidité
les font mourir. Ibid. Les mères
n’ont pas le temps de s’attacher à
leurs petits & les laiflènt manger
aux chats fins s’irriter. Ibid. Habitudes
naturelles & tempérament du
cochon d’Inde. Vol. V I I I , 3,
L ’efpèce en a été portée du nouveau
continent dans l’ancien, c ’eft-à-dire
du Brefil en Guinée. Vol. IX , 9 6.
C ochon de Guinée. Notice au
fujet de cet animal, qui paraît n’être
qu’une variété de l’efpèce commune
du cochon. Vol. X V , 14 6 & 147.
COEN DO U, animal d’Amérique, dont
la nature approche de celle du porc-
épic : erreur de P ifo n , à l’égard de
cet animal.. . . Il n’exifte point dans
l ’Afie méridionale, & ne fe trouve
qu’en Amérique. Vol. XII ,418 &
419. Il y en a deux efpèces ou
plutôt detix variétés. Ibid. 4 21.
Defcription du coendou , & fes
différences avec le porc-épic.......
Son naturel, fes habitudes, (à nourriture
: provinces de l’Amérique où
on le trouve. Ibid. 4 2 2 ,
Cop LIN es , ont entr’elies des angles
correfpondans. Vol. I , 7 3 . Les collines
oppolees font ordinairement
de même hauteur. Ibid. 73 & 74.
Dans les collines voifines, les mêmes
matières fe trouvent au même niveau,
quoique ces collines foient féparées
par des vallons confidérables. Ibid,
y 6. Dans les grandes vallées, il eft
plus difficile de juger de l’égalité de
hauteur des collines qui les bornent
de chaque côté, parce qu’il y a erreur
d’optique & erreur de jugement.
Vol. I,
Vol A , -254.......Obfervations for
ce fujet & for la correfpondance
des angles entre tes montagnes.
Ibid. 2 54.1irfuiv.
C o LU S , eff Je même animal que le
lâiga. Vol. X I I , 198.
Comètes, (le s ) comme les Planètes
obéiflèm à la: force de 1 attraélion du
foleil. . . . Elles décrivent de même
autour du loleil des aires proportionnelles
aux temps, dans des orbites
elliptiques fort alongées. Fé/, I,
132. Les Comètes parcourent le
fyftème folaire dans toutes fortes
de direétions, & les inclinaifons des
plans de leurs orbites fofit fort d ifférentes
entr’eiles............ Elles n ’ont
rien de commun dans leur mouvement
d’impulfion. Ibid. Ileftprefque
néceffâire qu’il en tombe quelquefois
dans le folejl. Ibid. 135. La
comète de 168 0 , approcha fi fort
du foleil qu’elle n’en étoit pas éloignée
de la fixième partie du diamètre
folaire. Ibid. Les comètes font com-
pofées d ’une matière très-denlê. Ibid.
1 3 7 . Elles le meuvent avec une im-
menlè vîtefle, acquilè lorfqu’elles
approchent du foleil de fort près.
Ibid. 138. Les comètes, comme
les planètes, font toutes opaques, &
aucune n’eft lumineufe par elle-
même, Vol. I , 149 . Elles font fu-
jettes à des viciflîtudes terribles, à
Tome X V.
caulé de l’excentricité de leurs orbites;
tantôt comme dans celle de
I 6 b o , il y fait mille fois plus chaud
quau milieu d ’un brafier ardent;
tantôt fi l’on ne confidèie que l’éloignement
où elles font alors du
fo le il, il y fait mille fois plus froid
que dans la glace. Vol. 1, 171 . La
comete de 1 6 8 o a éprouvé à fon
périhélie une chaleur deux mille fois
plus forte que celle d ’un fer rouge....
II lui faudra cinquante mille ans,
pour fe refroidir. Ibid. 173. La queue
d une comète eff la partie la plus
légère de fon'atmofphère, c ’eft un
brouillard tranfparent, une vapeur
fobtiie que l’ardeur du foleil fait
fortir du corps & de l ’attnolphère de
la comète ; cette vapeur compolèe
de particules aqueufes & aériennes
extrêmement raréfiées, précède la
comète lorfqu’elle defcend, & la fuit
lorfqu’elleremonte; en forte qu’elle
eft toujours fituée du côté oppofe
au foleil.. . . La colonne que forme
cette vapeur eft fouvcnt d’une longueur
immenfe, & plus une comète
appioche du foleil, plus là queue
eft longue & étendue. Ibid. 173.
Plufieurs comètes delcendent au-
deffous de l’orbe annuel de la terre.
Vol. I , 1 7 5 . Les comètes font en
beaucoup plus grand nombre que
les planètes.-------Elles pèfem de
O