Uj AN T A B
par troupes, comme vont auflî les
chevaux fàuvages. Ibid. 4 0 1 . Ont
dans le premier âge le poil long , &
on eft dans l’ufage de les tondre.
Vol. X I I , 5.
A n esse. Eft en état d’engendrer à
l’âge de deux ans. Vol. I V , 395.
Eft peu féconde, & pourquoi. Ibid.
Eft ordinairement en chaleur aux
mois de Mai ou de Juin, Ibid.
Met bas dans le douzième mois.
Ibid. Ne produit qu’un petit. Jbid.
L ’ufage du lait d’âneflè s’eft con-
lèrvé depuis les Grecs jufqu’à nous ;
choix de l’ânefîè pour que fon lait
foit de bonne qualité. Ibid. 402 .
Anes sauvages, font differens des
zèbres & font de la même efpèce
que les ânes domeftiques Vol. IV ,
399-
A n g l e t e r r e . Les côtes méridionales
d’Angleterre ont été abandonnées
par la mer. Vol. I , 2 J 3.
Preuves qui démontrent que l’A ngleterre
faifoit autrefois partie du
continent. Ibid. 58p.
A nimal. Les parties les plus eflèn-
tielles font celles par lefquelles l’animal
prend là nourriture, celles qui
reçoivent & digèrent cette nourriture
, & celles par où il en rend le
lùperflu. Ibid. 4 6. L ’animal eft l ’ouvrage
le plus complet de la Nature,
& l’Homme en eft le chef-d’oeuvre.
L E AN
Vol. I I , 2. Idée générale & def-
cription de l ’animal. Ibid. 6. Son
individu eft un centre où tout fe
rapporte , un pdint oùi l’univers
entier le réfléchit. Ibid. Le corps
d ’un animal eft un moule intérieur,
dans lequel la matière qui fert à fon
accroiflèment fè modèle & s'affimile
au total. Ibid. 4 1 . C e que l ’on doit
entendre par le mot animal.... Idées
claires & précilès à ce fujet. Ibid,
2.60 & fuiv. Il y a des parties effen-
tielles & fondamentales au corps de
l ’animal ; les parties de l’économie
animale qui agiffènt,continuellement
& fans interruption, font celles qui fe
reflèmblent le plus dans l’homme &
dans l’animal, celles au contraire qui
forment les fens & les membres fe
reflèmblent moins ,& les plus grandes
différences entre l'homme & l’animal
font à l’extérieur, & principalement
aux extrémités , du corps. Vol. IV,
1 1. Explication de la manière dont
l ’animal peut être déterminé à foire
telle & telle action par la feule im-
prelïîon des objets fur les fens. Ibid.
3 o. Dans l’animal, le lèns intérieur
ne diffère des fens extérieurs que par
la propriété qu’a le lèns intérieur
de conlèrver les ébranleinens, les
impreffions qu’d a reçues, Ibid.
Explication de la manière dont
l’animal nouveau né eft détermine
AN D E S M a
à chercher là nourriture. Vol. IV , 3 5.
Peinture d’un animal qui eft ému
par la peur pour la première fois.
Ibid. 7 9 . En quoi confifte la per-
feétion dans l ’animal. Vol. V , 1 8 j .
A n i m a u x , font bien plus généralement
répandus que les plantes.
Vol. I I , 14. Les animaux & les
plantes qui peuvent fe multiplier
& fe reproduire par toutes leurs
parties, font des corps organifés,
compofés d’autres corps organiques
femblables. Ibid. 20. Les animaux
fuivent plus exactement que nous
les loix de la Nature. Ibid. 66. La
plupart des animaux ne cherchent
la copulation que quand leur ac-
croiflementeft prisprefqu’en entier;
ceux qui n’ont qu’un temps pour
le rut ou pour le fra y, n’ont de liqueur
féminale que dans ce temps.
Ibid. . 7 1 . Les grands animaux font
moins féconds que les petits. Ibid.
: 306. Raifon de cet effet. Ibid.
Petits animaux mangent plus à proportion
que les grands. Ibid. 30 6
& 3 0 7. Les animaux ovipares font
en général plus petits que les vivipares
, jls produilon: auffi beaucoup
plus. Ibid. Raifon de cet effet.
Ibid. Les animaux qui ne produifent
qu’un petit nombre de petits, prennent
la plus grande partie de leur
accroiflèment, & même leur accroif-
1 ÈRES. AN lijj
fement tout entier, avant que d’être
en état d’engendrer ; au lieu que les
animaux qui multiplient beaucoup,
engendrent avant même que leur
corps ait pris la moitié ou même le
quart de fon accroiflèment. Vol. I I ,
308. Animaux qui peuvent produire
leurs lèmblables, quoiqu’ils
n’aient pas eux-mêmes été produits
de cette façon. Ibid. 323. En général
les grands animaux vivent plus longtemps
que les petits. Ibid. J70. Les
animaux rendent moins à la terre
qu’ils n'en tirent. Vol. 1, 24 2 . Les
animaux tiennent le premier rang
dans la Nature , parce qu'ils font
capables de plus de fondions que
les autres êtres, & qu’ils ont par leur
lèns plus de rapport avec les objets
qui les environnent. Vol. I I , 2. Ils
ont avec les objets extérieurs des
rapports du même ordre que
les nôtres. Ibid. j . II y a dans
les animaux plufieurs parties qui
croiflènt par une vraie végétation:
Ibid. 9. Il y a des animaux qui
fe reproduilènt comme les plantes
& par les mêmes moyens ; la multiplication
des pucerons qui fe fait
fans accouplement, eft femblable à
celle des plantes par les graines ; &
celle des polipes qui fe fait en les
coupant, reflèmble à la multiplication
des arbres par la bouture.
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