terreftres, qu’il faut diftinguer avec
foin de celles qui font d’une plus
ancienne formation. Vol. I , 144.
II y a allez d’eau dans la nier pour
couvrir toute la fur face du globe
d ’une hauteur de fix centspieds. Ibid.
2 14. Mouvement particulier qui fe
fait au fond des rivières lorfqu’il d,oit
arriver une grande crue d’eau. Ibid.
3 4 5. La vîtefïè des eaux courantes
pe fuit pas cxaci'enicnt, ni meme a
beaucoup près, la proportion de la
pente. Ibi4...r .Cette vîteffe dépend
non t feulement de la pente du lit,
niais de la quantité & du poids des
eaux fupédeures. Ibid. 34 6 . Dans
les eaux courantes, le poids contribue
beaucoup à la vîteffe , &
c ’eft pour cette raifon que la. plus
grande vîteffe du courant n’eft ni à
la furface de l’eau ni au fond, mais à
peu-pris dans le milieu de la-hauteur
de l’eau; explication de cet effet.
Ibid. 3 4 7 . Les obflacles qui fe
trouvent dans les eaux courantes,
te lî que les ponts, les des, &c. n’en
diminuent que très - peu la vîtelfe
totale. Ibid.-. . . . . C e qui diminue
très - confidérablement la vîteffe totale,
c’eft l’abaiffement des eaux,
comme au contraire l ’augmentation
du volume d’.eau augmente cette
yîtefîè plus qu’aucune autre caufe.
Ihi4. 248. Moyen de diminuer la
yîtefïê des eaux courantes. Vol. I,'
348 & 3 4 9 . Manière d’eftitner la
quantité d’eau qui arrive à la mer
par les fleuves. Ibid. 354. Evaporation
de l ’eau for toute fa furface
de la mer, efl environ de vingt à
vingt-un pouces par an. Ibid. 357.
Piftribution des eaux. Il y a fur
la furface de la tprte des contrées
.élevées qui paroiflènt être des points
de partage marqués par la Nature
pour la diftiihution des eaux, Énumération
de ,ces points de partage,
, Ibid. 3 59.
E a u x . Examen de la filtration des
eaux. Vol. I , izon d ? fiiv . Elles fe
relfemblent toutes for,le premier lit
de glaife dans l’intérieur de la terre,
Ibid. 122. C e font les eaux rat'
femblées dans la vafte étendue des
mers qui par le mouvement du flux
& du reflux ont produit les mon-
. .tagnes, les .vallées & les autres inégalités
de la terre. Ibid. 1 24. Çaufes
& effets des eaux courantes. Ibid,
1 1 6.
E a u x fouterraines. Vol. I , 1 1 7 . Ré*
fervoirs d’eau en orient. Ibid. 1 18.
E a u x fouterraines. Examen de. leur
quantité. Vol. 1 , 123. C e jp ’eft «p’eij
peu d’endroits qu’on a obfervé des
veines d’eau fouterraines un peu cpn-
fidérables. Ibid. C e font les eaux de
la mer qui en tranfportant les .terre?
les ont difpofees les unes for lés autres
par lits horizontaux. Vol. 1 , 1 24,
E a u x du Ciel, Détruifent l ’ouvrage'
de la mer, en rabaifîânt continuellement
la hauteur des montagnes , en
comblant les vallées , les bouches-des-
fleuves & les golfes, & ramènent tout
au niveau. Vol. I ,. 1 2 4 ,
Écureuil. Naturel & tempérament
de l’écureuil. Vol. V I I , 2 33. II ne
defeend à terre que quand les arbres
font agités par la violence des vents.
Ibid. 3:54. Il habite for les plus-
grands arbres des forêts,: & m'approche
pas des habitations. Ibid,
Habitudes naturelles de l’écureuil.
Ibid. 253. II produit ordinairement
trois ou quatre petits iis entrent en-
amour au printemps,-& mettent bas
au mois de Mai ou au eonmien-
cement de Juin. Ibid. 2 5 6. L ’écureuil
fe fait an nid comme les-
oilêaux ; conftruélion de ce nid.
Vol. V I I I , - 2 j 5. D e tous les
animaux non - domeftiques, I’éeu-
reuil eft p eut-être celui qui eft le
plus foj.et aux variétés, ou du moins
celui dont l’efpèce a le plus d’el-
pèces voiflnes. Vol. X , 1 2 1 .
Éducation. Il y a deux éducations
qui doivent être diftinguées & dont
les produits font différens l ’éducation
de l ’individu , qui eft commune
à- l'homme & aux animaux, &
l’éduc-atron de l’e lp è ce , qui n-’ap--
partient qu’à 1’hom.me.... L ’enfant
eft beaucoup plus lent que l’animal
à recevoir l’éducation individuelle ,,
& c’eft par cette raifon même qu’il
devient fufceptibie de celle de l ’efo
p è ce .. . . . L e commun des animnux-
eft plus avancé pour les facultés dtf
corps à deux mois que l’enfant né
peut f’être à deux ans..,. L ’éducation
de l ’enfont veut être foivie lonoO--
temps & toujours foutenue.. . Or"
cette habitude néoeflâire, continuelle
& commune entre la mère & l’enfàn*
pendant unfi long temps, foffit pour
qu’elle lui communique tout ce
qu’elle pofsède,- & quand on vou-
droit foppofèr qu’elle ne pofsèdé
rien , pas même fa parole, cens
longue.habitude foffiroit- pour faire
naître une langue . . . . . & ce premier
rayon d’intelligence entretenu, cultivé
, communiqué, a fait enfoite
éclore tous- les germes de la penfee*
Vol. X IV , 3 3 eÿ fuiv.
Effets généraux. Pourquoi nous
ne pouvons pas donner la- raifon des
effets généraux ou des caufês générales
de la Nature. Vol. I l , 2 p .
O n donnera toujours la raifon- d’un
effet particulier, dès qu’on pourra
foire voir qu’il dépend d’un effet
plus général. Ibid. 3.0. On ne peut
pas donner la raifon d’un effet