Je nombre d’individus efl beaucoup
plus grand dans le petit que dans ie
grand ; l ’efpèce des mouches eft
peut-être cent millions de fois plus
nombreufe que celle de l’éléphant,
& de même il y a eh général
beaucoup plus d’herbes que d’arbres,
plus de chiendents que de chênes.
Vol. II , 12..
I n f ib u l a t io n , pour les garçons
& pour les filles. Vol. I I , 48 1.
Infibulation des filles & des femmes ;
manière dont fe fait cette opération.
Ibid. 50O.
In f in i . Progrès à l’infini ; développement
à l’infini, origine & examen
de ces idées. Vol. I I , 2 7 . L ’idée de
l ’infini ne peut venir que de l’idée
du fini. Ibid. D e la même manière
que l’on peut démontrer que l’infini
géométrique n'exilte point ; on
s’affùrera que le progrès ou le développement
à l’infini n’exifte point
non plus, que ce n’eft qu’une idée
d’abflraélion. Ibid.
I n o n d a t i o n s . Réflexions fur
les inondations. Vol. I , 349. Les
inondations font ordinairement plus
grandes dans les parties fupérieures
des fleuves que dans les parties
inférieures & voifines de leur embouchure
: raifons de cet effet.
Ibid. 350 & 3 5 1 . Inondations du
■ Nil. Ibid. 3 j o & 3 J 4 . .S ..............
Inondations périodiques dans les
grands fleuves. Vol. 1, 3 63 ir fuiy.
Les inondations du N il font plus
petites aujourd’hui qu’autrefois.
Ibid. 3 64.
Insectes. Raifon de la prodigieufè
multiplication desinlèétes. Vol. I I ,
3 0 7 . Idée nouvelle au fujet de la
métamorphofe des infêéles.. . . . .
Raifon de leur transformation.......
Raifon pourquoi le papillon ne
produit pas des papillons, & qu’il
produit des chenilles. Ibid. 315.
La plupart des infêéles s’épuifènt
entièrement par la génération, &
meurent peu de temps après. Ibid,
3 1 8 .
I n stin c t des Animaux, paroît plus
fur que la raifon de l’homme, &
leur induftrie plus admirable que
fes arts. Vol. 1, 1 2. L ’inftinét n’efl
que le produit de toutes les facultés,
tant intérieures qu’extérieures de
l’animal. Vol. X I , 2.
Intempérance (1’ ) détruit & fait
languir plus d’hommes elle fèule ,
que tous les autres fléaux de la
Nature humaine réunis. Vol. I V ,49.
J ocko. Defoription du jo c to , de
fês habitudes naturelles, de tous les
mouventens & de toutes les aérions
par lefquels il paroît imiter l’hotnme.
Vol. X IV , 53 & 54.
I ris d e l ’QEil . Comment l’iris efl
oompofi; & nuancé de differentes
couleurs dans i’uffi de l ’hom.me.
Vol. H , 5 2 1 .
I rlande. O n trouve en Irlande les
mêmes foffles , les mêmes coquillages
& les mêmes produétions marines
q re l ’on trouve en Amérique,
'dont quelques-unes font differentes
de celles qu’on trouve dans ie refie
de l’Europe. Vol J , 606.
Isatis, animal du Nord, dont l’efpèce
paroît être intermédiaire entre le
renard & fe. chien.. . . Il a été regardé
comme une variété dans l’efpèce du
renard........ O n l’a nommé Renard
croifé, Renard bleu, Renard blanc ;
mais S paroît certain que c ’eft une
efpèce différente de celle du renard.
Vol. X I I I , 2 7 2 , L ’Ifatis fe .trouve
très-communément dans toutes les
terres voifines de la,mer glaciale,
& ne fe trouve que peu ou point
du tout en-deçà du foixante-neu-
vième degré.. . . . . II reflèmble au
renard par la forme du corps &
par la longueur de la queue , & au
chien par la forme de la tête. . . .
Defoription de filâtis, tant à l’intérieur
qu’à l’extérieur. Ibid. 273
& 2 7 4 . Sa voix tient de l’aboiement
du chien & du glapiflëinent du
renaid ; fà fourrure efl très-belle &
très-recherchée, il y en a de blancs
& d’aqtres bleu - cendrés, & cette
différence de couleur n’efl qu’une
variété dans l ’efpèce. Vol. X I I I ,
2 73 & 2 74 . Terres que cet animal
habite... Sa manière de s’accoupler...
L e temps où il entre en chaleur.....
La durée de la geftation ; la lan ière
dont il fe retire dàns un terrier.....
II produit ordinairement fix , fept
OU huit petits.......Pourquoi on l’a
appelé Renard croifé. Ibid. 275 &
- 2 7 6 . Ses habitudes naturelles, fà
manière de chaffèr & de fe nourrir.,.«
Il a pour ennemi le glouton... II fe
trouve dans l’Amérique feptentrio-
nale. Ibid. 2 7 7 .
I L E s ( les ) ne font en général que
des fommets de montagnes. Vol. I ,
7 1 . Le nombre des îles efl moins
eonfidérablc dans les mers fepten-i
trionaïes que dans les mers du midi.
Ibid. 9 4 . Il y a des îles qui ne
font précifement que clés pointes
de montagnes, comme Pile Sainte-
Hélène , l’île de l’A fcenfion, &c.
Ibid. 3 1 3 . Il y a fort peu d’îles
dans le milieu des mers, & elles
font au contraire en très-grand
nombre dans le voifinage des terres.
Ibid. 543.
I l e s Nouvelles. Deux efpèces d’îles
nouvelles; les premières formées
par les eaux, & les autres par les
feux fouterrains. Vol. 1, 5 3 6 <y fitiv.
D.efeription de la manière dont s’eft
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