dans les corps glanduleux qui croif-
fènt fur les tefticulés. Vol. I l, 133-,
La liqueur féminale contient peu
ou plutôt ne contient point d’efprit
volatil. Ibid. 145. Liqueur féminale
de l’homme ; obfèrvntion fur
cette liqueur. Ibid, i y 6 ( f fiiv .
Obfervations fur la liqueur féminale
du chien. J bid. 18 7 dV'fiiv.
Oblèrvations fur la liqueur féminale
des lapins. Ibid. 193. Obfervations
fur la liqueur féminale du bélier.
J bid. 1 9 7 . Oblèrvations fur la liqueur
féminale de fa chienne. Ibid.
20 2 . Oblèrvations fur la liqueur
féminale de la vache. Ibid. 210.
Obfervations fur la liqueur féminale
despoiffons. Ibid. 223 . O b lèrvations
fur la liqueur du calmar.
Ibid. 223 & fuiv. La plupart des
liqueurs fém'males fe délaient d elles-
mêmes , & deviennent plus liquides
à l’air & au froid qu’elles ne le font
au lortir du corps de l ’animal, au
contraire elfes s-’ëpaiffilîènt lorfqu’on
les approche du feu & qu'on leur
communique un degré même médiocre
de chaleur. Ibid. 283. La
liqueur féminale du mâle entre dans
la matrice obfèrvation à Ce fujet,
qui démontre le fait. Ibid. 29 1 . La
liqueur féminale eft fouvent dans
■ des états très-difterens. Ibid. 300.
L a liqueur féminale du mâle, trinft
que celle de la femelle dans certains
états & dans certaines circonllances
peut feule produire quelque choie
d’organifé, Volume II , 361 . Il eft
très - douteux que la liqueur féminale
du mâle puiflè jamais arriver
•aux tefticules de la femelle & y
former un foetus. Ibid’. 363. L a
liqueur féminale, tant dm mâle que
de la femelle peuvent également
pénétrer le tiffu dé la matrice &
entrer dans fa cavité par cette voie ;
oblèrvations qui le prouvent. Ibid.
36J.
Sens ( nos )’ ne font juges que des
qualités extérieures des c h o ie s .....
Leurs qualités intérieuresne tombant
pas fous nos fens ,■ pous ne pouvons
en avoir aucune idée que par
leurs effets. Vol. M , 3 4 & 35. Les-
fens font des efpèces d’inftrumens
dont il faut apprendre à lè fervir.
Ibid. 450. Les piaifirs du fens de
la vue & de celui du toucher , confident
dans la régularité & dans fa
proportion des formes, & le pladfir
de l'oreille confifte auffi dans la
proportion des fous. Vol. I II, 342,
Explication de la manière dont nos
fèns font affeètés, & ce qu’ils ont
de commun entr’eux : pourquoi
l’oeil eft affedté par fa lumière,
l ’oreille par le fo n , &c. Ibid. 3 5 3 .
II paroît qtlte la différence qui eft
entre les feus ne vient que de la
pofidon plus ou moins extérieure
des nerfs, & de leur quantité plus
ou moins grande dans les differentes
parties qui condiment les organes.
Vol. III, 355. Récit philofophique
où l ’on explique le développement
des fens & la formation de nos
premières idées. Ibid. 3 64 & fiiv..
Les Cens doivent être regardés
comme parties effentielies à, ^économie
animale. Vol. IV , 13. Sens
interne & commun ; .explication de
la manière dont il eft affèélé par
le moyen des fens .externes , &
comment il produit & détermine le
mouvement de l’animal. Ibid. 23.
Différence du fèns intérieur & des
fèns extérieurs. Ibid. Lesébranlemens
fuhfifteiit bien plus long-temps dans
le lèns interne que dans le fèns e x terne.
Ibid.' 24. Les éhranlemens
du fens de la vue durent plus longtemps
que les ébranlentens du fins
de l’ouïe ; preuve de cette affèrtion.
Ibid. 2 5. Tous les fens ont la faculté
de conferver plus ou moins
les impreffions des caufes extérieures ;
mais l ’oeil l’a plus que les autres
fens ; & le cerveau où réfide le fens
intérieur de l ’animal, a éminemment
cette propriété, non - feulement il
•eonferve les impreffions qu’il a
reçues, mais il en propage l’adjon
en communiquant aux nerfs les
ébranlemens, &c. Ibid. 28. Les
degrés d’excellence des fens fuivent
dans l’animal un autre ordre que
dans l ’homme.. . . Datas l’homme le
premier des fens pour l’excellence
eft le toucher, & l’odorat eft le
dernier ; dans l’animal, l ’odorat eft
le premier des fens & le toucher eft
le dernier... . L ’hommea le toucher,
l ’oeil & l ’oreille plus parfaits, & l’odorat
plus imparfait que l’animal :
en général , les fèns relatifs à la
eonnoifîànce font plus parfaits dans
l'homme, & les fens relatifs à l ’appétit
font plus parfaits dans l’animal,
Vol. I V , 3 2 . Les fens relatifs à
l ’appétit font plus développés dans
l'animal qui vient de naître, que
dans l ’enfant nouveau-né; il en eft
de même du mouvement progreffif
& de tous les autres mouvemens
extérieurs. Ibid. 3 6. L ’homme qui
a voulu lavoir, a traité les fens
comme des organes mécaniques,
des inftrumens qu’il faut mettre en
expérience pour les vérifier & juger
de leurs effets. Vol. X IV , 2 5 .
S e n s a t i o n . DiJlinSion entre la
fenfation & le fentiment ; la fenlâtion
n’eft qu’un ébranlement dans le
fèns, & le fentiment .eft cette même
fenlâtion devenue agréable ou
délâgréable par la propagation de
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