xlvj AB T A j
& de les faire voyager dans d’autres
pays, où il y a encore des fleurs ;
alors elles reprennent le travail ,
elles continuent à ramaffer, a en-'
tafTer jufqu'à ce que les fleurs de ce
nouveau canton (oient épuifees ou
flétries, &c. IV . IV , i o 6.
A b s t in e n c e , (1’) de toute chair, loin
de convenir à la Nature de 1 homme
ne peut que la détruire. Vol. V I I , 3.
A b s t r a c t i o n . Selon nous, eft
le Ample des choies, & la difficulté
de les réduire à cette abitraclion
fin le eojjipofë. Vol- X I , ? 1•
A b s t r a c t i o n s , font des échafi-
faudages pour foutenir notre juge,-
rnent. Vol. X I , 2 1 . Puiffance réelle
attribuée aux ahftraélions, eft le plus
grand abus qu’on put fàirer dp là
rai fort, & le plus grand obftacie qu’on,
pût mettre à l’avancement de nos
connoiflaiices. Vol-11, 75'
A b s t r a c t i o n s mentales, (n o s )
ne font que des êtres négatifs, qui
n ’exiftent même intelleéiuellpment,
que par le retranchement que nous
faifons des qualités fenfibles aux êtres
réels. Vol. I l , 7 7 ,
A b ï ME, profondeurs énormes, quifè
trouvent dans certaines montagnes,
& fur-tout dans les plus élevées ; ce
font d’anciennes bouches de volcans,
Vol- 1 , 3 1 6 ,
A b îm e du mont Ararath. Ibid.
L E AC
A c cou ch em en t , (explicationde 1’)
Vol. II, 3 S 8 .Vraies &fauflès douleurs
f de (’accouchement, manière de les
diftinguer. Ibid. 380. Conjectures
for la caufe des douleurs par accès
qui précèdent l’accouchement. Vol,
II, 3 00. Il arrive quelquefois que le
foetus humain fort de la matrice fans
déchirer les membranes qui l’enveloppent
, & par conféquent Gins qU5
la liqueur qu’elles contiennent fe foit
écoulée : cet accouchement paroît
être le plus naturel, & reflèmble à
celui de prefque tous les animaux.
Ibid. 390 . Temps ordinaires de l’accouchement
naturel, s’étendent a
vingt jours, c’eft-à-dire, depuis huit
mois & quatorze jours jufqu’à neuf
mois & quatre jours. Ibid. 40;.
Arrive à la dixième période desrègles,
Ibid.4.06, Limites des temps deI’ac*
couchement. Ibid. 4 0 7 . Caufes ou
cafionnelles de l’accouchement, Ibid,
L a caule phyflque de l’accouchement
eft le retour des ntenftrues ;
explication & preuves de cette ,a&
fèrtion. Ibid. 4 1 1 .
A c c r o is s em e n t ( 1’ ) & le développement
de l’animal ou du végétal
le fait par I’extenflon du moule dans
toutes lès dimenftons extérieure,5 &
intérieures', par l’intus - fofeeptipn
d’une matière acceffoire & étrangère
qui pénètre dans l'intérieur, fl111
AC AD d e s M a t i è r e s . AF AG xlvïj
devient femblable à la forme 8c
identique avec la matière du moule,
Vol. I I , 4 3 . Dans le temps de-l’ac-
croifîêment & du développement,
les êtres organifes ne peuvent encore
produire ou ne produifènt que
peu : raifbn de cet effet. Ibid. 5 o.
Une chofè remarquable dans l’ac-
croiffement du corps de l’homme,
c’eft que le foetus dans le fèin de la
mère croît toujours de plus en plus
jufqu’à là naiffimee, & que l’enfant
depuis fà naifïànce croît toujours
de moins en moins jufqu’à l’âge de
puberté, auquel il croît, pour ninft
dire., tout - à - coup , & arrive en
fort peu de temps à la hauteur qu’il
doit avoir pour toujours. Ibid. 4 7 2 .
Dans les animaux comme dans les
végétaux , l’accroiffement en hauteur
eft celui qui eft achevé le
premier; exemple à ce fujet. Ibid.
569.
Ac r i d o p h â g e s , (le s ) peuple
qui 11e le nourrit que de fàuterelles:
effet de cette mauvaife nourriture.
Vol. I I I , 4 ; 1.
Adimain. Grande brebis d’A frique,
qui eft couverte de poil au lieu de
laine. Vol. I I , 362.
A D1 v E , ( 1’ ) n ’eft peut-être que le
chacal privé dont on a fait une race
domeftique plus petite, plus foible
& plus douce que la race fàuvage ;
car i’adive eft au chacal ce que le
petit chien barbet eft au chien de
berger. Vol. X I I I , 2 5 5 & 2 5 6 . . . .
Voye^ Chacal.
A dmiration des Oblèrvateurs au
fujet des travaux des infeétes.. . . ,
Indépendamment de l’enthoufiafiue
qu’on prend pour fbn fu je t, on
admire toujours d’autant plus qu’on
obfêrve davantage & qu’on raifonne
moins. Vol. I V , 9 1 .
A f ri que. L ’intérieur de l’A frique
nous eft, pour ainft dire, entièrement
inconnu ; les terres élevées de cette
partie du monde doivent contenir
des métaux précieux autant & peut-
être plus que les montagnes du Mexique
& du Pérou. Vol. 1, 2 2 3 .....
Les fleuves de l ’Afrique charient
beaucoup d’or. Ibid. 2 2 4 . Autant
il y a d’uniformité dans la couleur
& dans la forme des habitans naturels
de l’Amérique, autant on trouve
de variétés dans les peuples de l ’Afrique;
cette partie du monde eft très-
ancienne & très-abondamment peuplée
;. le climat y eft brûlant, &
cependant d’une température très-
inégale , fuivant les différentes contrées.
Vol. III , 5 1 7»
AGE. Peinture de l’homme moral dans
la jeunefle & dans le moyen âoe.
Vol. I V , 7 5 & 7 6 .
A gneau. L e jeune agneau, dans un