Grande utilité que l’on tire de ces
animaux. Vol. X I I , 96. O n attelle
le renne à un traîneau, & il fait
aifément trente lieues par jour. Ibid.
p6 . Manière dont les Lappons élèv
en t* conduifent ces animaux. Ibid.
L e bois du renne eft beaucoup plus
grand & plus étendu que celui du
cerf. Ibid. 9 7 . Sa nourriture pendant
l ’hiver & pendant l ’été. Ibid.
Troupeaux de rennes chez les L appons
; avantages qu’ils en tirent. Ibid.
Lorfqu’on les fait changer de climat
üs dépériffent & meurent. Ibid.
R EK N ES fauvages & RENNES dtrmef-
tiques. Vol. X I I , 9 ® • Les rennes
fauvages font plus forts que les
rennes domeftiques. Ibid. Delcrip-
ûon du traîneau qu’on leur fait cirer
& de la manière dont on les attelle.
Ibid. Conformités du renne avec
le cerf. Ibid. 9 9 . L e renne jette fon
bois tons les ans & fe charge de
venaifon. Ibid. La femelle ne porte
que huit mois, & ne produit qu’un
petit. Ibid. Les jeunes rennes portent
la1 livrée comme les jeunes cerfs.
Ibid. 100. Les rennes n’ont acquis
leur plein accroiffement qu’à l'âge
de quatre ans. Ibid. O n les foumet
à la caftration, manière dont les
Lappons font cette opération. Ibid.
Les rennes entiers font trop difficiles
à manier , & on ne fè fêrt
que des hongres. Vol. XI I , 100.
On ne garde qu’un mâle entier pour
cinq ou fix femelles, & c’eft à l’âge
d’un an que fè fait la cafbration.
Ibid - II s’engendre des vers fous la
peau des rennes en très-grande
quantité. Ibid. Soins qu’exigent les
troupeaux de cette efpèce. Ibid.
I o 1. La furabondance de nourriture
eft plus grande dans le renne
que dans aucun autre animal. Ibid.
II eft le feui dont le bois tombe &
fe renouvelle, malgré la caftration.
Ibid. 102,. C ’eft la feüie efpèce
d’animal, dans laquelle la femelle
pone un bois comme le mâle. Ibid.
Raifon de la furabondance de nourriture
dans cet animal, tirée de la
qualité des alîmens qu’il prend. Ibid.
103. Différence de la grandeur du
bois dans les miles, les femelles &
lés hongres. Ibid. Lorfque ces animaux
courent, les os de leurs pieds
font un craquement que l ’on entend
de loin. Ibid. 1 04. Le renne eft
du nombre des animaux ruminans.
Ibid. 1 0 7. Dans l’état de domesticité
, il ne vit qu’environ feize ans ;
mais dans l’état de nature , il doit
vivre plus long-temps; Ibid .'-roi.
Manière dont les Lappons châtient
les rennes. Ibid.
Reproduction. Différens moyens
dont la Nature fè fèrt pour la
reproduction.
^production. Vol. I I , 1 8 à" fuiv.
Explication de la reproduélion des
végétaux & des animaux qui lè re-
produilènt fins copulation ou par
la feparation de leurs parties. Ibid.
34. La nutrition & la reproduction
font toutes deux , non-fèulement
produites par la même caufè efficiente
, mais encore par la même
caufè matérielle. Ibid. 66. La matière
qui fèrt à la nutrition & à la
reproduction des animaux & des
végétaux eft la même ; c’eft une
fubftalice productive & univerlèlle,
compotee de molécules organiques,
toujours exiftantes, toujours actives,
dont la réunion produit les corps
organilè's. Ibid. 3 où.
R éservoirs. Grands réfervoirs d ’eau
en Orient , faits par la main des
Hommes. Vol. I , 42Ù.
R e s p ir a t io n . Expérience qui
fèmble prouver qu’on pourroit
élever des animaux , & peut-être
même des enfàns pendant quelque
temps làns les laiflèr refpirer. Vol. II,
4 4 6 ............ En empêchant le trou
ovale de fe fermer, & faire par ce
moyen d’excellens plongeurs & des
elpèces d’animaux amphibies, qui
vivraient également dans l’air &
dans l’eau. Ibid. 4 4 9 .
Ressemblance (la) des enfàns aux
parens, prouve la vérité du fyftème
Tome XV.
de l’auteur fur la génération. Vol. II,
y 6. Pour bien juger de la reflèm-
biance des enfàns à leurs parens, il
ne faut pas les comparer dans les
premières années, mais attendre l’âge
où tout étant développé, la com-
parailon en eft plus certaine & plus
fenfible. Vol. IV , 207. Dans f’efi
pèce-humaine , on trouve que fou-
vent le fils rcflèmble à fon père , &
la fille à (â mère ; que plus fouvent
ils refîèmblent à l’un & à l ’autre à fa
fo is , & qu’ils tiennent quelque cholè
de tous deux ; qu’affez fouvent ils
refîèmblent aux grands-pères & aux
grands-mères ; que quelquefois ils
reflèmblent aux oncles & aux tantes ;
que prelque toujours les enfàns du
même père & de la même mère fe
refîèmblent plus entr’eux qu’ils n e
reflèmblent à leurs afcendans, &
que tous ont quelque, chofè de
commun & un air de famille. Ibid*
208.
R È v es. L ’idée du temps n’entre jamais
dans les rêves. Vol. IV , 6 2. Caulès
occafionnelles des rêves. Ibid. 6 f
& fuiv. Pourquoi prelque tous les
rêves font effroyables ou charmans.
Ibid.
Rhinocéros, appartient à l’ancien
continent, & ne fè trouve point dans
le nouveau ; l’efpèce n’en eft pas
noinbreulè, & elle eft confinée aux
f f .