vieilleiïe. Ibid. 9 4 . Bois de cerf;
fes qualités fuivant les différens pays
& les differentes nourritures. Ibid.
C e r f s . Leur grandeur & leur qualité
fuivant les différens terrains. Ibid.
L e ce rf de Corfè paroît être ie
plus petit de tous les cerfs de montagne
,& ces cerfs de montagne font
bien plus petits que ceux des plaines.
Jbid. 9 5. Différences dans ie pélage
des cerfs & dans ia couleur de leur
bois. Ibid. 9 6 . Habitudes naturelles
du cerf. Ibid. L e ce r f ne rumine
pas avec autant de facilité que le
boeuf. Ibid. 9 7 . Nourriture du c e r f
fuivant les diffèrerîtes fàilbns. Ibid.
9 9 . L e c e r f du Canada eft le même
que le ce r f de France, il n’en diffère
que par le bois, qu’il a plus
grand & plus branchu. Ibid. 168.
Differentes formes du bois des cerfs
fuivant les différens pays. Ibid. 16 9 .
L ’efpèce du c e r f n’exifte plus aujourd’hui
dans certaines provinces
de France. Vol. X I I , 85. Il y a
parmi les cerfs autant de variétés en
Amérique qu’en Europe. Ibid. 3 2 2 .
C e r f s blancs. Se font trouvés en
Amérique. Vol. XII ,3 2 2 .
C e r f des Ardennes. Sa defoription
& Ces différences d’avec le ce rf
commun. Vol. X I , 40 2 .
C er veau (le) qui eft nourri par
les artères lymphatiques, fournit à
Ion tour la nourriture aux nerfs,
que l ’on doit confidérer comme
une efpèce de végétation qui part
du cerveau par troncs & par branches
, lefquelles fè divifent enfuite
en une infinité de rameaux. Le cerveau
eft aux nerfs ce que la terre
eft aux plantes; les dernières extrémités
des nerfs font les racines qui
dans tout végétal font plus tendres
& plus molles que le tronc ou les
branches ; elles contiennent une
matière duétile, propre à faire croître
& à nourrir l’arbre des nerfs : le
cerveau au lieu d’être le fiége des
fènfâtions, le principe du fentiment,
ne fera donc qu’un organe de fé-
crétion & de nutrition , mais un
organe très - eflèntiei, fans lequel les
nerfs ne pourraient ni croître ni
s’entretenir. Vol. V I I , 1 7 . L ’homme
n ’a pas, comme on l’a prétendu,
le cerveau plus grand qu’aucun des
animaux ; il y a des efpèces de finges
& des cétacées qui proportionnellement
au volume de leur corps ont
plus de cerveau que l’homme. Ibid.
Preuves particulières que le cerveau
n ’cft ni le fiége des fènfâtions ni le
centre du fentiment. Ibid. 19.
C ervelle. La cervelle eft infen-
fible, c ’eft une fobftance molle &
fans élaflicité , incapable de produire,
de propager ou de renure
le mouvement, les vibrations ou
les ébranlemens du fentiment. Vol.
V I I , 13 . Analyfè phyfique de la
fubftance de la cervelle. Ibid. 1 6.
C étacé e s. La vie de ces animaux
eft bien plus longue que celle des
animaux quadrupèdes. Vol. X I I I ,
347-
C h a ca l & A d iv e , font des animaux
moins différens du chien que le
renard & le loup. Vol. V , 2 1 4 .
Cette efpèce qui eft fi voifine de
celle du chien, appartient comme
le chien à l’ancien continent, & ne
s’eft point trouvée dans le nouveau.
Vol. IX , 7 7 . L e panther des Grecs,
le lupus canarius de Gaza, le lupus
armenius des Latins modernes, eft
le même animal que le chacal ; les
Turcs l’appellent thacal ou cical, les
Grecs modernes qachalia, les Per-
fâns fiechal ou /chacal, les Mores
de Barbarie deeb ou jackal. Ibid.
2 7 3 . Différences & refîèmblances
du chacal & de l ’adive. Vol. X I I I ,
2 5 5 . II paroît qu’il y a par-tout
de grands & de petits chacals ; ils
font très-communs dans la plupart
des provinces du Levant; ce font
des animaux très - incommodes &
très-nuifibles ; ils font communément
grands comme nos renards,
auxquels ils refïèmblent beaucoup,
feulement ils ont les jambes plus
courtes, ils ont auffi aflêz ordinairement
le poil d’un beau jaune,
& c’eft par cette raifbn qu’on a
appelé le chacal lupus aureus, loup
doré. Vol. X I I I , 2 5 7 & 2 58 . V a riétés
du chacal dans les différens
climats ; l ’efpèce en eft répandue
dans toute l’Afie & dans une grande
partie de l’Afrique ; elle fembie
remplacer celle d u loup , qui ne Ce
trouve pas dans les terres qu’habite
le chacal. Ibid. 2 59 & fuiv. Rai-
fons qui peuvent faire croire que
le chacal & l ’adive font des efpèces
différentes. Ibid. 2 6 1 . L ’efpèce du
chacal eft moyenne entre celle du
loup & celle du chien.. . . Caractères
communs du chacal avec le
loup , & caraéfères communs du
chacal avec le chien.. . . Naturel du
chacal ; ils vont toujours en troupe
de v ingt, trente ou quarante ; ils
dévorent tout ce qu’ils peuvent attraper
. . . ils fouillent les tombeaux
& accompagnent de cris lugubres &
continuels toutes leurs déprédations........
C e font les corbeaux des
quadrupèdes, la chair la plus in-
feéte ne fes dégoûte pas. Ibid. 265
Ù“ fuiv. Comparaifon du chacal 8c
de l’hyæne............L e chacal réunit
l’impudence du chien à la baffeflê
d u loup, & participant de la nature
des d eux , il fèroble n’être qu’un
/ llj