Ixiv AR T a b l e AS AT
terres élevées. . . Cette mer n’eft pas
profonde comme les autres. Vol. I ,
388.
A rdoise , ce que l’auteur entend par
la dénomination d'ardoife. Vol• I ;
275-
A rgali , ( P ) de Sibérie eft le meme
animal que le moufflon. Vol. X I ,
374-
A rgiles (les) & les glaifes 11e font
que du fable vitrifiable décompofé,
& ces cdaiiès en fè décompofànt
elles-mêmes, fe changent en limon :
preuve de ces aliénions. Vol. 1 ,2 6 0 .
L ’argile peut devenir du caillou.
Ibid. 2 6 1. Voyei Sable vitrifiable.
Ibid. 5 66.
A r t . Comparaifon des ouvrages de
l ’A rt & de ceux de la Nature. . . .
Différence infinie dans le produit,
iCaufée par l’inégalité dans la puif-
fance............L ’homme ne peut employer
que la force qu’il a , il eft
borné à une petite quantité de mou-
yement, qu’il 11e peut coiiununicjuei
<jue par la voie de l’impulfion, . . .
S ’il pouvoit difpofer de la' force
d’attraélion comme de celle d’impul-
fion; fi feulement il avoit un fens
qui fut relatif à cette force pénétrante
, il verroit le fond de la matière
, il pourrait l ’arranger en petit,
comme la Nature la travaille en
grand. Vol- X I V , 33 .&■ 24.
A R T s. Toutes les idées des Arts ont
leur modèle dans les produirions de
la Nature. Vol. I , 20.
A s i e . Et tout le continent oriental,
eft le pays le plus ancien du globe....
L e s côtes occidentales de l’Europe
& de l’A frique font des terres plus
nouvelles. Vol. 1, 9 7 .
A s s im il a t io n , les êtres qui ont la
puilîânce de convertir la matière en
leur propre fubftance, & de s’affi-
miler les parties des autres êtres, font
les plus grands deftruéteurs. Vol, II,
4 0 . C e qui eft une caufè de mort,
eft en même temps un moyen né-
cefîàire pour produire le vivant.
Ibid. 4 1 .
A s t r e . L a force d’attraélion eft également
répartie dans toute la matière,
mais chaque aftre a reçu une quantité
différente de force d’impui-
f io n . .. ... II y a des aftres folitaires,
& d’autres accompagnés de fatelfites,
des aftres de lumières & des globes
de ténèbres, des foleils qui paroif-
fe n t , dilparoiffent & femblent alternativement
fè ralitmer & s’éteindre ,
&c. Vol. X I I , 5 & 6.
A t l a n t i d e , (île ) des Anciens-
Lé/. 1 , 6p6.
A t t a c h e m e n t , a ux chofés inanimées
eft le dernier degré de la
ftupidité. Vol. I V , 84. La plupart de
jnos attachemens ratifient lorfqu.oR
penfe
AT d e s M a
penfè & qu’on réfléchit le moins....
II fuffit que quelque chofe flatte
nos fèns pour que nous l’aimions,
& il ne fuit que s’occuper fouvent
& long-temps d’un objet pour s’en
foire une idole. Vol. IV , 84. Différence
de l’attachement & de l’amitié.
Ibid. Caufès & raifons de l’attachement
des mères pour leurs petits
dans les animaux Ibid. 8 5. Caufê
phyfique de l’attachement des père
.& mère à leurs enfiins. Ib id .9 7 .
A t t r a c t i o n mutuelle & générale
dans toutes les parties, de la matière,
foitdans la terre, foit dans les aftres...
L ’attraélion mutuelle , c ’eft-à-dire
réciproque entre les aftres, eft démontrée
par les oblèrvations ; & les
expériences des pendules prouvent
qu’elle eft générale dans toutes les
parties de la matière. Vol. I , 158.
Les loix d’attraéliou ou d’affinité par
lefquelles les parties des différentes
fubftances minérales s'attirent, font
les mêmes que celles de la loi générale
, par laquelle les corps céleftes
agiffènt les uns lur les autres............
Pourquoi l’on a cru que ces loix
étoient differentes. Vol. X I I I , 12.
A t t r a c t i o n s , les loix des affinités &
la loi de l’attraélion ne font qu’une
feule & même lo i , & fi celles des
affinités paroifîènt différentes de la
loi générale de l ’attraélion, c’eft que
Tome X V
TI ÈRES. AU AX IxP
dans les affinités la figure entre
comme élément dans I’expreffion de
la diftance, au lieu que dans l’at-
traélion des corps céleftes, la figure
n ’entre en aucune manière dans l'ex-
preffion de la diftance. Vol. X I I I ,
12 & i j ,
A u r o c k s « U r u s , eft fe même
animal que notre taureau dans l’état
fauvage. Vol. X I , 28p. La race de
l’aurochs ou du boe u f fans boflè
occupe les zones froides & tempérées
, elle ne s’eft pas fort répandue
vers les contrées du midi. Ibid.
3 12 . Elle eft la race primitive de
tous les boeufs & bifons. Ibid. 3 2 7 .
A xe du corps animal, la moelle épinière,
à la prendre depuis le cerveau
julqu’à fon extrémité inférieure
c ’eft-à-dire jufqu’au co c c ix , & les
vertèbres qui la contiennent, pa-
roiflènt être l’axe réel auquel on doit
rapporter toutes les parties doubles
du corps animal. Vol. I I , 3 70 .
A x i o m e s , il faut fè défier de ces
axiomes ahfolus, de ces proverbes
de phyfique, que tant de gens ont
mal-à-propos employés comme
principes , comme nulla foecundatio
extra corpus, tout vivant vient d'un
oeuf; toute génération fuppofè des
fexes, &c. Vol. I I , 33.
A x i s , eft le même animal que l ’on
connoît vulgairement fous le nom
i
U B i ü g A s i l l a