Vol. 1, 3 1 2 . . . . Compofition des
pics. Ibid. Iis font ordinairement
embrafés. Ibid. Origine & formation
des pics ou des cornes des montagnes.
Ibid. 32 9.
PlCHOU { le.) de la Louifiane eft le
même animal que le marguay du
Breftl. Ibid. XIII , 249,
P l E D S fourchus. Énumération dès-
animaux à pieds fourchus. Vol. X IV ,,
20.
P i e r r e s . Lorlqu’on tire les pierres
& les marbres des carrières, on les-
fépare luivant leur pofttion naturelle.
. . . Lorfqu’on les emploie , il
faut pour que la, maçonnerie foit
b o n n e , & pour que les pierres
durent long-temps, les pofor fur
leur lit de carrière; c ’elt ainfi que
les ouvriers appellent la couche hori~
qmtale ; elles le font formées par
couches- parallèles- & horizontales.
Vol. 1, 247- Dans les carrières autour
de Paris, le dit de bonites pierres
n’eft pas épais, il n’a guère que dix-
huit à-vingt pouces dépaiffeur parto
u t......... II y a des pierres dures
dont on fe fert pour couvrir les
jnaifons, qui n’out qu’un pouce
d ’épaiflêur dans toute l’étendue de
leur lit. Ibid. 2 4 S . Groflës pierres-
difperfées dans les vallons & les
plaines; leur origine. Ibid. 57 1 .....
Ces blocs dilperies font bien plus
communs dans les pays donf les-
montagnes font de fable & de grès,
que dans ceux où elles font de
marbre & de glaife. Vol- I , 571.
P i e r r e s fines. Toutes les pierres
fines, & même le diamant ne font,
comme lecryftal de roche, que des
ftaiaélites de cailloux ou de quelques
autres matières- vitrifiables. Vol. I ,
5,65.
P ierres gélifiés. Dans tous les pays
où l’on trouve dans les champs ou
dans les autres terres labourables-
ün très-grand nombre de coquilles
pétrifiées, comme pétoncles, coeurs
de boeuf, & e , entiers, bien èon-
fervés& totalement féparés, la pierre
eft g eliffè, au mohis dans la première
couche. Vol. I , 302.
PIERRES qui fe forment dans là'Vefiie
à" dans la véficule du fie l des animaux
font d’une fubftanee & d’une compofition
différente de celle des-
bêzoards; Vol. X I I , 2 4 7 .
Pi l o r i , efpèee de rat mufqué aux
îles Antilles ; fes différences d!avec
l ’ondatra & le definan. Vol. X , 2.
P 1N e H E , efpèee de figoin ; là del-
cription. Vol. X V , 1 1 4 & 1 1
Garaétères diflinétifs de cette efpèee.-
lbid.
Pith è q u e , fécondé efpèee de linge.-
Vol. X IV , 3.. Le pithèque d’Ariftote
eft un finge fins queue. Vol. X IV ,
84. G ’eft le plus doux & le plus
docile des Singes.. . . C e s animaux
n’ont pas un pied & demi de hauteur
; ils crient, chin-chin, c ’eft le
nom qu’on leur a donné en Tartarie.
Ibid. 8 8 & fiuiv. Garaélères dif-
tinélifs de cette efptcc. Ibid. 90 &
9 1 .
P i t i é . La pitié naturelle eft fondée
, fur les rapports que nous avons avec
l’objet qui fouffre; elle eft d’autant
plus vive que la relîèmbfance , la
conformité.de nature eft plus grande;
on fouffre en voyant fouffrir fon
, lèmblable. Compalîion ; ce mot exprime
allez que c ’eft une fouffrance,
une paillon qu’on partage.... L ’aine
a moins de part que lé corps à ce
fentiment de pitié naturelle, & les
animaux en font lùfceptibles comme
l ’homme...... C e fentiment diminue
à mefure que les natures s’éloignent.
Un chien qu’on frappe, un agneau
qu’on égo rge , nous font quelque
, pitié, un arbre que l ’on coupe, une
huître qu’on mord, ne nous en font
aucune. Vol. V I I , 7 .
P l a c en t a . Première origine & formation
du placenta & des enveloppes
du foetus. Vol. I I , 338. L e
placenta & les enveloppes du foetus
font formées de l’excédant des molécules
organiques fournies par les
deux individus, lequel n’a pu entrer
dans la compofition du corps du
foetus. Vol. I I , 348. Explication &
preuves de cette affertion. Ibid. On
ne peut pas dire que le placenta
nourrilîè le foetus, pas plus que le
foetus nourrit le placenta, puifque II
l’un nourriffoit l ’autre , le premier
paroîtroit bientôt diminuer, tandis
que l’autre augmenterait, au lieu
que tous deux augmentent enfemble.
Seulement le placenta augmente
d’abord beaucoup plus à proportion
que l’animal, St c’eft par cette
raifon qu’il peut enfuite nourrir
1 animal ou plutôt lui porter de la
nourriture, & ce 11e peut être que
par I intus-lufoeption que le placenta-
augmente & (è développe. Ibid.
3 j 4. Un mois après la conception,
le placenta M'occupe plus que le
tiers de la maffe totale, au lieu que
dans les premiers jours if en oceu-
poit la moitié. Ibid. 3 83. Délcrip-
tion du placenta dans le foetus humain.
Ibid. 392. Le placenta, les
enveloppes & le foetus lui-même' le
nourrrlfent tous par intus-fufeeption
de la liqueur laiteufe contenue dans
f i matrice, le placenta paraît tirer le
premier cette nourriture, convertir
ce lait en fang , & le porter au
foetus par des veines. Ibid. 3 9 3 .
Plaines en Montagnes. Ces plainesd
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