appendice de la mer me'diterranée :
rai fon de cette afïèrtion. Vol. 1 ,4 1 0 .
Les tempêtes y font plus dange-
reufes que for l’Océan : caufes de
cet effet. Ibid. 4 14.
M er Pacifique. L e mouvement
d ’Orient en Occident eft très-
' confiant & très-fenfible dans cette
mer. Vol. 1,4 2 9 .
M e r Rouge, ( la ) eft de toutes les
mers celle qui produit le plus
abondamment des madrépores, des
coraux , &c. Vol. I , 2 8 9 . . . . Dans
un temps calme il fe prélênte aux
yeux une fi grande quantité de ces
productions, que le fond de la
mer Rouge reffemble à une forêt.
Ibid. L e mouvement des marées eft
plus grand dans la mer Rouge que
dans le golfe Perfique : raifon de
cet effet & de cette différence. Ibid.
3 9 1 . Ces mers ont été formées
par une irruption de l ’océan dans
les terres. Ibid. La mer Rouge eft
en effet de cette couleur dans tous
les endroits où il y a des coraux
& des madrépores for fon fond.
Ibid. 3 94.
M e r Tranquille, ( la ) eft vraifem-
blablement une mer méditerranée.
Vol. 1 ,^ 3 8 0 .
M ers plus orageufes que d’autres.
Vol. I , 4 4 9 .
M et a p h ï s i q u e . Des fciences
métapliyfiques. Vol. I , 52 d f Jùhr.
M é t e m p s y c o s e . Origine de
l’opinion de la métempfycofo. Vol.
V I I , 34.
Méthode de Botanique. Gelirer
eft le premier qui ait eu l’idée
d’établir une méthode, fondée fur
les parties de la fructification des
plantes, & cette idée a été adoptée
en tout ou en partie par tous les
Botaniftes qui font venus après lui.
Vol. 1 , 1 7 .
Méthode de Botanique, par Tour-
ne fort, eft la plus ingénieufe & la
plus complète.. . . . . Elle n’eft pas
purement arbitraire. Vol. I , 18.
Mé t h o d e Linnoeus, (la ) eft purement
arbitraire, & confond en-
femble les arbres avec les herbes....
Elle raffemble dans le même genre
des elpèces de plantes entièrement
dilfembfables, tout y eft changé
julqu’aux noms les plus connus des
plantes, & les plus généralement
adoptés. Vol. 1, 1 7 . . . . Elle a le défaut
& l ’inconvénient d’être fondée
for i’infpection de parties trop petites
, telles que les étamines, qu’il
faut fouvent un microfoope pour
pouvoir difcerner & compter. Ibid>
19 .
MÉTHODE injlruâive & naturelle, (la)
c ’eft de mettre enfomble les chofes
qui fe reffemblent, & de leparer
celles qui diffèrent les unes des
autres, félon l’ordre de comparaifon
du nombre des différences au nombre
des reffemblances prifes , non
pas d’une feule partie, mais du tout
enfemble, c ’eft-à-dire de la forme,
de la grandeur , du port extérieur,
du nombre des parties , de leur
pofition, &c. Vol. I, 21 & 22. Les
méthodes qu’on a faites pour la di-
vifion des animaux font encore plus
fautives que celles de Botanique.
Ibid. Les méthodes ne font pas fe
fondement de la fcience en Hiftoire
naturelle, ce font feulement des
figues dont on eft convenu pour
S’entendre. Ibid. 23 & 24. Elles
ne font que des dictionnaires où
l’on trouve les noms des choies
naturelles , rangées relativement à
une idée particulière , dont l ’ordre
eft par confisquent aufîi arbitraire
que l’ordre alphabétique. Ibid. 24.
L a vraie méthode en Hiftoire naturelle
eft la deforîption complète,
& l’Hiftoire exacte de chaque cholè
en particulier. Ibid. Méthode de
diftribution qu’on a fuivie dans cet
ouvrage. Ibid. 3 3. Méthode pour
fe conduire dans les fciences. Ibid.
j 1. Fondement de la vraie méthode
pour conduire fon elprit dans les
fciences, tant mathématiques que
phyfiques. Ibid. 61 & 6 2.
Méthodes ( les) font tuiles lorlqu’on
ne les emploie qu’avec les reftric-
tions convenables ; inutiles & même
nuifibles lorfqu’elles font, ou trop
générales ou trop particulières ou
purement arbitraires. Vol. 1 , 9 . Les
méthodes rendent fouvent la langue
de la fcience plus difficile que la
fcience même. Ibid. Il eft impof-
fible de faire un fyftème général,
une méthode parfaite, non-lêule-
ment pour [’Hiftoire Naturelle entière,
mais même pour une feule
de fès branches. Ibid. 1 3. II n’y a
aucune méthode dans laquelle il
n’entre nécefîàiretnent de l’arbitraire.
Ibid. Origine des méthodes & des
genres employés par les Naturaliftes.
Vol. V I I , 2 79 .
Métis (les) & les Mulets confirment
le fyftème de l’Auteur fur la
génération. Vol. I I , 69.
Mexicains ( les ) n’avoient point
d ’animaux domeftiques. Vol. I X ,
8 4«
M i c a . La poudre brillante qu’on a
appelée M ica , eft le produit de la
première décompofition du fable
viirifiable : on trouve le mica par-
ferné très-abondamment dans les ar-
doilês & les argilles. Vol. I , 263.
Ml CO, jolie petite elpèce de lâgoin,
remarquable par le vermillon, dont
fà face eft teinte ; là defoription.
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