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ils s’apprivoilènt aifément & vont
I avec les chèvres. Vol. XII ; 13 9 •
La femelle feuie’^fconftitue l efpèce
du bouquetin , comme la femelle
feule conftituê l’efpèee de la brebis.
Ibid. 14 2 . Le bouquetin & la
chèvre domeftique ne font très-vraî-
femblabletnent qu’une feule & meme
efpèce avec le chamois. Ibid. 140.
L e bouquetin eft la tige primitive de
toutes les races des chèvres, comme
le moufflon I’efl de toutes les races
de brebis. Ibid. 149 * Ses conve~
nances & fes différences avec le
bouc domeftique. Ibid. 1 50. Le
bouquetin court auffi vite que le
ce rf, & fait d’auffi grands fauts. Ibid.
L e bouquetin eft la tige mafculine,
& le chamois eft fa tige féminine
dansl’efpèce de la chèvre. Ibid. 1 57'
II ne fe trouve que dans les mot>
tagnes élevées. Ibid: 1 5 8. La cliafle
de cet animal eft très-pénible.; les
chiens y font prefque inutiles. Ibid.
1 5 p . Les propriétés fpécifiques
attribuées au làng du bouquetin,
appartiennent auffi au làng du chamois
& au fàng du bouc domeftique,
& proviennent uniquement des
herbes chaudes & odoriférantes ,
dont ces animaux fe nouriilfent.
Ibid. 16 5 .
Brebis (la) felaiffeenleverfonàgneau,
fans le défendrefans s’irriter , &c,
L E BR
ce qui dans les animaux paroît être
le dernier degré de i’infenfibilité ou
de la ftupidité. Vol. V , 6. La brebis;
eft fujette à beaucoup de maladies;,
met bas difficilement, & avorte fréquemment.
Ibid. 7 . Manière de
foigner les brebis pleines , ou qui
viennent de mettre" bas. Ibid. Communément
les brebis n’ont- pas de
cornes; mais elles ont fur la tête des
proéminences offeufes aux mêmes,
endroits où naiffent les cornes des
béliers. Il y a cependant quelques
brebis qui ont deux & meme quatre
cornes parmi nosbrebisdomeftiques.
Ibid. 1 o. Quelles font les meilleures
brebis pour la.propagation. Ibid. 1 u
La fàifon. de la"chaleur des brebis,,
eft depuis le: commencement de
Novembre jufqu’à la fin d’Avril ;,
cependant, elles- ne Liftent pas de
concevoir en tout temps , fi-ou
leur donne, auffi-bien qu’au bélier,
des nourritures qui les échauffent,
comme de l’eau falée & du pa®
de m m Ibid. Comment il faut:
les donner au bélier. Ibid. Elles,
portent cinq mois, & mettent bas-
au commencement du fixième. Ibid-
12 , La brebis ne produit ordinairement
qu’un feul agneau, & une fois
par an dans ces elintats. Ibid. Manière
de conduire & de traire les
brebis qui ont du lait .Ibid..
BR DES M a t i è r e s . BR BU Ixxv
Brebis & Bé l ie r s , vivent douze
ou quatorze ans. Vol. V , 1 3. Race
de brebis étrangères qui produifent
plus que nos brebis communes.
Ibid. 22 . L ’efpèce appartient à
l’ancien continent, & ne s’eft point
trouvée dans le nouveau lorfqu’on
en fît la découverte. Vol. IX , 68.
Difficulté qu’il y avoit à trouver la
vraie louche de nos brebis. Vol. XI,
2 5 3 .La Nature ne l ’a pas produite
telle quelle e f t , & e’eft entre nos
mains qu’elle a dégénérée. Ibid.
Dans les pays chauds, la brebis perd
là laine & le couvre de poil. Ibid.
3 54-
Brebi s dTJlande a plujieurs cornes>•
leur defcription. Vol. X I , 3 54.
Brebi s des pays chauds; leur defcription.
Vol. X I , 355.
Br e b i s de Barbarie ù" d’Arabie,
dont la queue eft fi g ro flê , fi longue
& fi fort chargée de graiflè, qu’elle
pèfe plus de vingt livres. Vol. X I ,
356.
Brebis domejfique, de l’île de Candie,
Strepficheros de Belon ; fà defcription.
Vol. X I , 358.
Brebi s a large queue, leur race efl
beaucoup plus répandue que celle
de nos petites brebis, & elles font
egalement brebis domefliques. Vol.
x i , 358.
Brebi s (Grandes) des pays méri*
diopaux ; leur defcription. Vol. X I ,
3 555. La laine eft très-belle en Efi-
pagne, & encore plus belle dans le
Chorafân & dans quelques autres
provinces de l ’Orient. Ibid. 3 6 1 .
Notre brebis domeftique eft une
. efpèce bien plus dégénérée que
celle de la chèvre. Ibid. 365. Com-
paraifon de nos brebis domeftiques
. avec le moufflon, qui eft la brebis
primitive & fauvage. Vol. X I V ,
3 1 7 & 3 1 8 . Si l ’on vouloir en
relever l ’efpèce pour la force & la
taille, il faudrait donner le moufflon
à notre grande brebis Flandrine. . .
S i i’on vouloit dévouer cette efpèce
à ne nous donner que de la belle
laine & de la bonne chair, il faudrait
propager la race des brebis
de Barbarie, c ’eft-à-dire donner à
nos béliers des femelles de Barbarie,
. pour avoir de belle laine ; & le
. moufflon à nos brebis , pour en
relever la taille. Vol. X IV , 3 tp .
B rebis & C h è v r e s , doivent être
regardées avec toutes leurs variétés,
. comme ne failànt qu’une feule famille
, à laquelle on peut même
ajouter celles de toutes les gazelles.
Vol. X IV , 3 4 p .
B u b a l e , là defcription, fes différences
& fès reflèmblances avec fe
ce rf, les gazelles & le boeuf. Vol. XII,
, 2 p 5 .Defcriptionde fëscornes. Ibid.
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