cxîv DÉ T a .
1)0(Tu d’Afrique & d’Arabie , a été
tran(porté & appliqué au tapir de
l’Amérique. Vol. X 1,4 40 -.
D é f in it io n , telle qu’on fa peut
faire par une phrafè, -n’eft que) la
repré(entation très-imparfaite de la
chofe... Dans la Nature, l ’on ne peut
jamais bien définir une chofe fânsla>
décrire exactement. Vol. ï , 2 ) •
D É G É N É R A T I O N . Explication
phyfique de la dégénération des
animaux & des. plantes. Vol. I V ,
3.1 8. La température du climat, la
qualité de la nourriture & les maux
de l’efclavage , font les trois caufes
de changement, d’altération & de
dégénération dans les animaux. Vol.
X I V , 3 1 7 . Dégénération de tout
temps immémorial, qui paraît setre
laite dans chacun des genres , auxquels
on peut réduire les efpèces
voifines dans les animaux. Ibid,
3 5 5-
D é lug e . On ne peut pas expliquer
par le déluge univerfel le tranfport
ni (a pofttion des productions marines,
que l’on trouve en fi grande
quantité dans l’intérieur de la terre.
Vol. I , 7 8 . Le déluge univerfel a
été lait par là volonté immédiate de
Dieu , & n’a pu s’opérer par les
caufes naturelles & phyfiques. Ibid.
100 & fuir. La fuppofition que
e’eft le déluge univerfel, qui a
L E DE
tranfporté les coquilles de la mer
dans tous les climats de la terre, eft
devenue l’opinion ou plutôt la fu-
perftition du commun des Natura-
liftes. Ibid. 2.02.
D e n s i t é ( 1» ) de- la matière de
Jupiter & de Saturne elt à peu près
la même que la denfité de la matière
du Soleil. Vol. 1, 138.
D E N s 1 T É relatin des planètes. La
denfité du S o le il, étant fuppofée
fOo; celle de Saturne eft égale
3 6 7 ; celle de Jupiter, à 9 4 § |
celle de Mars, à i o a ; celle de la
Terre, à 400 ; celle de Vénus, à
Soop & celle de Mercure, à 2800»
VoL 1, 1 44. Examen du rapport
de la denfité des planètes, avec leur
vîteflè. Ibid. 1 4 4 & 14-5.' Cette1
denfité a moins de rapport avec1 la
chaleur’ que les planètes ont à (apporter
qu’avec leur vîteflè. Ibid.
14 6 .
D e n t i t i o n , elt une opération
naturelle, qui cependant ne fuit pas
les loix ordinaires de la Nature.-
Vol, I I , 4 66.
D e n t s (: les) incifives de l'homme
paroifTent. ordinairement- les pre^
.prières, communément à lèpt, huit
ou dix mois-, & quelquefois.; à la
| fin de la première année. Vol H >
46Ô. Les huit dents incifives-, les
quatre canines & les quatre premiers
DE d e s M a
molaires qui ont paru dans la première
& la féconde année après
la naiflânee tombent naturellement
dans la cinquième , la fixièine ou
la (èptième année ; mais elles font
remplacées par d’autres, qui parodient
dans ia feptième année,
fouvent plus tard , &c. quelquefois
elles are forent qu’à l’âge de puberté.
. . . Les autres dents molaires
11e tombent p oin t, ou fi elles tombent,
elles font rarement remplacées.
Vol. I I , 4 6 7 . Les quatre dernières
dents molaires manquent à pîufieurs
perfonnes , elles ne parodient ordinairement
qu’à l’âge de puberté,&
même fouvent plus tard. Ibid. Les
.dents canines paroiflent, ou en même
temps, ou très-peu de temps après
les incifives. Ibid. Les dents molaires
paroiflent ordinairement fur la fin
de la première ou dans le courant
de la fécondé année. Ibid. Les
premières dents des enfàns ne font
pas d’une fubflance auflî folide que
celles qui leur fuccèdent, elles n’ont
que fort peu de racines, & elles
s’ébranlent très-aifement. Ibid. 468
& fuir.
Description. Comment fo doit
faire une defeription en Hiftoire
Naturelle. Vol, 1, 29 & 3 o . 1
D é s i r . Caufes & origine du defir.
Vol. IV , 18.
T I ÈRES. DE cxv
D e s m a n , efpèce de rat mufqué
du nord de l ’Europe. Vol. X , 1.
Ses différences avec les autres rats
mulqués. Ibid. 2 & fuiv.
D e s t r u c t i on . Caufes les plus
générales de la mort & de La défi-
iruétion. Vol. I I , 40.
D é t r o i t . Le mouvement de
l’Océan par le détroit de Gibraltar,
eft contraire à tous les autres mou-
vemens de la mer, dans tous les dé -
traits qui joignent l’océan à l ’océan,
qui fê font d’orient en occident;
au lieu que celui du détroit, de
Gilbraitar , fe fait .d’occident en
orient. Vol. 1, 9 9 . Les couches, de
terre fè trouvent être les mêmes
des deux côtés de ce détroit, ce
qui prouve qu’elles étoient autrefois
continues. Ibid, io o , Dans les
détroits qui préfentent leur ouvert
ture à l’occident & dans les mers
méditerranées, auxquelles ils abou-
tiflënt, le mouvement des marées ,
eft beaucoup moins fènflble que
dans les détroits qui prélèntent leur
ouverture à l’o rient, ainfi que dans
les mers ; où les détroits aboutiffènt :
raifon dç cet effet. Ibid. 40 2 . Le
détroit de Magellan eft le plus long
de tousles détroits, & le mouvement
des marées y eft extrêmement fen-
fible. Ibid. 40 7 .
^Dé v e l o p p em e n t . Lauflè notion
P f