cxxx EX FA T Ab
Vol. I I , i oo. Des expériences de
Graaf, fur la génération dans les
femelles des lapins. Ibid. 120 &
fuiv. Des obfervations de Malpighi
& de Vali'fnieri, au fujet de la for*
mation du foetus. Ibid. 1 30 Ù“fuiv.
De s obiérvations Microicopiques
de LeeuwenhoecI, lur les liqueurs
féminales, & leur comparaifon avec
les obfervations de l’Auteur. Ibid.
3 3 2 àx fuiv.
E x p o s i t i o n & examen des différentes
matières, dont les couches du globe
terreftre font compofées. Vol. I ,
2 7 3 & fuiv. Exquima ( 1’ ) eft d’une efpèce très-
voifine de celle du coaita, & meme
n ’en efl peut être qu’une fimple
variété. Vol. X V , 1 7 .
F
F a m i l l e . L e cheval, le .zèbre &
l ’âne parodient ne former qu’une
lèulefamille. Vol. X IV , 3 1 5 & 3 16.
Il en eft de même de plufieurs autres
animaux dont les efpèces font
voifines; réduction des animaux
quadrupèdes en un certain nombre
de familles. Ibid. 3 18 tX fuiv.
Fa r iN E. Les anguilles qui fe forment
dans la colle faite avec de la farine,
ont pour origine la réunion des
molécules organiques de la partie la
LE FA
plus fubftantielie du grain ; les premières
anguilles qui paroiffent, ne
font certainemèrit pas produites par
d’autres anguilles ; cependant quoiqu’elles
n’aient pas été engendrées,
elles ne laiflènt pas d’engendrer elles-
mêmes d’autres anguilles vivantes.
on peut , en les coupant avec la
pointe d’une lancette , voir les petites
anguilles fbrtir de leur corps,
& même en très - grand nombre.
Vol. I I , 3 2 2 . Fausse COUCHE. Caufe naturelle
de la faufîè couche. Vol 11,412.
Fausses couches , plus fréquentes
à la première période de l’écoulement
qu’à la féconde ; à la féconde période qu’à ‘la troifîème;‘à la troi- fième qu’à la quatrième ; à’ia quatrième
qu’à la cinquième, & en général elles font plus rares vers le
milieu de la groflèfîè, & plus fréquentes
au commencement & à la
fin. raifons de Ces effets. Vol. II, 413- I
Faux ( le ) porte ên philofophie une
fignification bién plus étendue qu’en morale : dans la morale, une chofe
efl fàuflé uniquement parce qu’elle
n’efl pas dé là façon'dont on la repréfente
; le faux métaphyfique con-
fifle non-feulement à n’être p* <je
la façon dont on le repréfente, mais
ïhême à ne pouvoir être d’unè façon
quelconque. Vol I I , 7 ®*
FE d e s M a
F é c o n d a t i o n . II paroît que l ’état
dans lequel efl l’embrion dans l’oe uf
lorfqu’il fort de la p o u le , efl le
premier état qui fuceède immédiatement
à la fécondation , & que la
forme fous laquelle nous le voyons
alors , efl la première forme réfuj-
tante du mélangq, intime & de la
pénétration des deux liqueurs fé'mi-
nales. Vol. I I , 3 79,.
I e fÉ. Nom que quelques Voyageurs
ont donné à une eipèçe de fînge,
que nous croyons être celle du
gibbon. V ol XI V , 94,
Femelles (les) dans l ’eipèce humaine
naifîénl plus tard que Igs
mâles., c ’efl-àrdire demeurent plus
long-temps dans le foin de la mère.
Vol. I l, 40 8 . Les femelles de certains
animaux peuyent férvir également à
deux mâles dfoipèces, differentes, &
produifont de tous. deux. Vol X I I ,
142. Les femelles, en général
concourent plus que les mâles au
maintien des efpèces, & pourquoi.
Ibid. 14 3. La femelle- du loris urine
par le clitoris, qui eft percé comme
la vergé-du mâle, & ces deux parties
du mâle & de la femelle fe reffém-
blent parfaitement, même pour la
grandeur & pour In grolîëur. Vol.
X I I I , 2 i i . Dans l ’ordonnance
commune de la Nature, ce ne font
pas les mâles, mais les femelles qui
T I ÈRES. FE Cxxx)
conftituent l’unité des efpèces ; la
fémelle influe beaucoup plus que le
mâle fur le Ipécifique du produit.....
Le mulet reflémble plus à la jument
qu’a l’âne, & le bardeau jrlus à l ’âneffe
qu’au cheval. Vol. X IV , 339.
Femmes. Elles ont moins de liqueur
, féminale que les hommes ; raifon de
ce fait. Vol. I I , 7 2 . Lès femmes qui
ont beaucoup de tempérament font
peu fécondes ; raifon de cet effet.
Ibid. 298. Par les tables de mortalité,
il eft démontré que quoiqu’il
truffe plusd hommes que de fémmes,
il y a cependant plus de fémmes
que d’hommes qui arrivent à une
extrême vieilleflè; raifon de cet effet.
Ibid.
F e n t e s des couches, de la terre;
elles font perpendiculaires à l’ho-
wz°n. Vol. I , 7.6. . . . . Produites
par le deflechement des couches
horizontales. Ibid. 106. . . . Elles
font intérieurement garnies de eriftaux,
de fpar, & c. Ibidi 1 0 7 ..........
Leurs parois fe répondent dans toute
leur hauteur auffi. exactement que
deux morceaux de bois qu’on vien-
droit deféndre. Ibid. 108. Origine
des. ferries perpendiculaires qui ié
trouvent par-tout dans Jes couches
horizontales de ia terre. Ibid.
5 J 2. Détails au iujet des fèrtes
perpendiculaires. Ibid. j j j . Les
r i )