c CH T A B
particulière qui fe perpétue par ia
génération. Vol. IV , 32 2 & 3,23,
L e chien, le loup , le renard , ie
chacal & l’ifàtis peuvent être regardés
comme ne faifimt que. la
même famille. . . .Dansle mélange
du chien avec le loup ou avec le
renard , la répugnance à l ’accouplement
vient du loup & du renard
plutôt que du chien, c’eft-à-dire de
l’animal fàuvage, & non pas de l’animal
domeftique. Vol. X IV , 3 5 o. L e
chien paroît être l’elpèce moyenne
& commune eptre celles du renard
& du loup; les Anciens ont affuré
que le chien dans quelque pays &
dans quelques circonftances, produit
avec le loup & avec le renard.. . .
Raifon pourquoi l’efpèce du chien
doit être regardée comme moyenne
entre celle du loup & celle du
renard. Ibid. 3 5 1 & 3 5 2. Le chien I
.qu’Ariftote appelle. Canis laconicus,
& qu’il allure provenir du mélange
du renard & du chien pourroit bien
être le même que le chien de berger :
raifons de cette préfomption. Ibid.
3 53 & 3 54.
C H 1 N C H E , féconde efpèce de
mouffette. Vol. X I I I , 288. Sa
defeription Ibid. 194.
C h i n o i s , leur defeription & leur
relfemblance avec les Tartares. Vol.
I I I , 385.
LE C I
C h o s e s ( le s ) par rapport à nous
ne font rien en elles-mêmes , elles
ne font encore rien Iorfqu’elles ont
un nom ; mais elles commencent
à exifter pour n ous, lorfque nous
leur connoilîons des rapports, des
propriétés : ce n’eft même que par
ces rapports que nous pouvons leur
donner une définition. Vol. I , 2;.
Dans les choies naturelles, il n’y a
rien de bien défini que ce qui elt
exactement décrit. Ibid. 25.
C i c a t r i c u l e . Defeription de la
cicatricule dans l ’oeuf. Vol. II, 1 03...
Elle fe trouve dans tous les oeufs
féconds ou inféconds. Ibid. 104,
Elle eft plus petite dans les oeufs
inféconds que dans les oeufs féconds.........
Elle renferme une petite
bourlê qui contient l ’embryon du
poulet dans les oeufs fécondés, & 11e
renferme qu’une efpèce de mole
dans les oeufs inféconds..........Elle
a augmenté confidérablement après
fix heures d’incubation : on y voit
déjà nager la tête du poulet, jointe
à l’épine du dos. Ibid. 1 1 5.
C iel .( le ) efl le pays des grands évè-
nemens , mais à peine l’oeil humain
peut-il les fitifir... . L’homme borné
à l’atoine terreftre fur lequel il végété
, voit cet atome comine un
mondé, & 11e voit les mondes que
comme des atomes. Vol. XII, 6*
i l CI d e s M a t i è r e s . CI c j
Wm
r l ü
Circoncision, fe en ‘1 fait Turquie lâuvages, parce qu’on élève en plu- à lâge de fept ou huit ans, & fieurs endroits les civettes comme des
fou vent on attend jufqu’à onze ou animaux doineftiques. Vol. IX, 301.
douze ; en Perfè, c ’efl à l ’âge de Ses caraétères particuliers & fes dif- ilîli
cinq ou fix ans ; elle fait beaucoup
de douleur aux perfbnnes âgées.
férenccsd’avec Iagenelte. Ibid. 303.
Le parfum des civettes eft très-fort, «jri
Vol. II , 4 7 9 . Caufès naturelles de . celui du zibet eft fur-tout d’une
cet ulâge. Ibid. 480. violence extrême. Ibid. 3 04. Siège
Circoncision des Filles , eft en du parfum de la civette. Ibid. Subfi
ufage chez les peuples du Midi;. ,.,. tance & confiftance de la matière du
En quoi elle confifte.. . . Caufe na- parfum dans les civettes. Ibid. D ifturëlle
de cet ufage. Vol. I I , 48 0. férence du parfum de la civette &
ClRQUlNÇON , efpèce de tatou qui de celui du mufe. Ibid. Le mâle
n’a qu’un bouclie-r & dix-huit bandes de la civette n ’a rien d’apparent au
mobiles fur le dos & fur la croupe ; dehors que trois ouvertures, toutes
fâ defeription & fes caraélères1 fpé- femblables à celles de la femelle, v'\ p f l
cifiquqs. Vol.X, 220. On l’a appelé & il elt difficile de diffinguer dans ■
Tatou-belette, parce, qu’il a la tête à cette elpèce par la feule inipedion
peu près de la figure de la belette. le mâle de ia femelle. Ibid. Les
Ibid. C ’eft de tous les tatous celui civettes- font des animaux de l ’ancien . ■
qui a le plus de facilité pour fè continent, & qui n’exiftoient point im pB
contrarier & fè ferrer en boule à . dans le nouveau; difeuffion critique n t l . »■
caufe de fes dix-huit bandes mobiles, à ce fujet. Ibid. 3 06. Quoiqu’on - W w M
qui occupent non-feulement l’efpace ginaircs des climats les plus chauds , ,11 du dos , mais encore celui de la elles peuvent cependant vivre dans
croupe jufqu’auprès de la queue. les climats tempérés & froids. Ibid. i'fib RlIbid. 2 2 2 . 3 1 0. Manière de recueillir l’hu- P
C it l i (le) deFernandès paroît être lueur du parfum de la civette. Ibid.
le même animal que le tapeti de 3 1 2. Manière de nourrir les civettes .: J
Marcgrave. Vol. X V , 16 3 .
domeftiques, Ibid. Naturel & tempérament
C i v e t t e , fes refiemblances & les
des civettes Ibid. 313.
différences avec le zibet. Vol. IX , Habitudes naturelles des civettes.
300. L ’efpèce en eft plus fu jette aux Ibid. 3 14. Quoiqu’elles, puiflênt
variétés que celles des autres animaux vivre dans les régions tempérées , &
n iij
lis l i P M il 11i iII