
 
        
         
		Gamba.  L’indication  et les  détails  nouveaux publiés  par  le  prince  
 de  Neuwied.  Beitr.  zter  naturges.  Bras.  Vol.  2,  pag.'à’à']. 
 Didelphis  aurita du  prince  de Neuwied  est  cité  dans  son excellent  
 ouvrage,  mentionné  ci-dessus,  avec  un  signe de  doute  :  voyez  
 Pag-  3g5. 
 Pag.  3g ,  ajoutez,  comme  synonyme,  Didelphis  myosuros.  
 Prince de Neuw.  Beit.  Bras.  Vol.  2 ,  pag.  4oo. 
 Page  47?  ajoutez,  comme synonyme ,  Didelpliis  cinerea.  Pr.  
 Neuw.  Beit.  Bras.  Vol.  2,,  pag.  4«6. 
 Page  62 ,  ligne  25,  raeine,  lisez ,  rame.  Id .,  ligne 32',  l’Océan’,  
 lisez,  l’Océanie. 
 Page 68,  lignes  12  et  23 ,  réduit de moitié dans  tous  les  détails,  
 lisez.,  grandeur naturelle. 
 L É S   F K L I S ,   ou  CH A T S . 
 P age  7 6 ,  note,  ligne  2  ,  dans  les  mémoires,  lisez ,  dans  les  
 momies. 
 Page 91  ,  ligne  18 ,  hatitudes ,  lisez,  habitudes  et a joutez,a  l’article  
 du Felis jubata,  que  M.  Ruppel  a  trouvé  l’espèce en Nubie.  
 Plusieurs  dépouilles  de  ce Félis  ont  été  adressées  par  ce  voyageur  
 distingué  au musée  de Francfort. 
 Page  98  ,  ajoutez  aux  synonymes  de  la  variété  noire  ou  noirâtre  
 du  Léopard  ( Felis  Léopardus ) ,   la  belle  ligure  publiée  par  
 M.  F. Cuvier. Mammifères  vivons,  vol.  3.  Chat mêlas. 
 Page .io3 ,  ligne 4 ,  Rim a n -da h a n,  lisez,  Arimau - dahan,  et  
 ajoutez  dans  les  synonymes,  Felis  nebulosa  de  M.  Griffith  :  
 ajoutez  aussi  les  savantes  remarques  de M.  Horsfield,  faites  sur  
 un  individu  vivant  de  cette  espèce,  que  le  gouverneur  Stamfort  
 Raffl.es  s’est  procuré à Sumatra.  Voyez  Zool.  Journ.  n°.  4 , p.  542. 
 Ce  Félis  varie  plus ou moins  dans  les  différens  états d’âge ,  comme  
 le  font  tous  les Félis  qui me  sont  connus.  On  assure  avoir  vu  des  
 individus Mêlas. 
 Pag.  109.  Félis  polaire  ou  mon  Borealis.  C’est  pour  ne  pas  
 embrouiller lâ synonymie dé ce  chat que j’ai proposé  le nouveau nom  
 porté  en  tête  de  cet  article.  On  ne  se  fait  pas d’idée  de  la  confusion  
 qui  règne  dans  les  indications  sous Felis  canadensis.  Il faudrait  
 des  pages  pour  expliquer  l’origine  des  erreurs,  et  indiquer  
 avec précision  l’espèce  qu’on  a  voulu  désigner  ;  il  serait  nécessaire  
 d’avoir  sous  les  yeux  tous  les sujets  sur  lesquels  les  canadensis ont  
 été  basés.  Ic i,  c’est un L y n x  ,  là  un  Cervier,  puis  un Polaire,  
 en Amérique',"un Bai. 
 J’ai  obtenu  très-récemment  une  preuve  nouvelle  à  l’appui  de  
 ces  faits. 
 Le  prince  de  Musignano,  excellent  zoologiste  et  observateur  
 très-exact,  examinant  les  Félis  de notre musée  des Pays-Bas, m’apprit  
 que  dans  les  États-Unis  c’est  notre  Felis rufus  ou  le  Bay  cat  
 qui  porte  le  nom  de Felis  canadensis.  Les  fourrures du  Felis polaire  
 ou  du  Loup  cervier  du  Canada  viennent  de  l’intérieur  des  
 parties  septentrionales  :  elles  sont  de  l’espèce  qui. habite  les  contrées  
 polaires  des  deux mondes,  tandis  que  le  Felis  rufus  ou  le  
 Canadensis  des  naturalistes du Nouveau-Monde,  vit  dans  l’Amérique  
 ,  depuis  le  Canada jusqu’au Mexique. 
 Page  120,  F elis  aurata,  mettez  F elis  chrysothrix ,  vu  que,  
 selon  la  remarque  de  M.  Desmaretsi,  le  premier  de  ces  noms  a  
 déjà  été  employé par M.  Rafinesque. 
 Page  121.  Depuis  que  nous  avons  publié  l’article  sous  Felis  
 chaus,  MM.  F.  Cuvier,  dans  son magnifique ouvrage,  et Cretsch-  
 maer ,  dans  le  bel  atlas du  voyage de  Ruppel,  ont  fourni,  presque  
 en même  temps,  deux  figures  très-exactes  d’individus  trouvés  
 en  Égypte;  ces  figures  et  les  descriptions  diffèrent  plus  ou  moins  
 entre  elles,  et  toutes  les  deux  offrent de  légères  différences avec  la  
 description  fournie par  nous ;  on  pouvait  s’y  attendre,  vu  qu’il est