en est là partie inférieure ; dans l’endroit où le
dessin est coupé vers la gaùche ses eaux déjà
devenues courantes, prennent le nom de Limmat,
sous lequel elles traversent la Ville, et de-tà se
dirigent vers le Nord-Ouest. Sur la rive droite *)
du lac, on distingue quatre clochers, savoir
ceux de Kilchberg, de Thalwyl et (YOberrieden;
le quatrième est celui de Horghen, où l’on peut
se rendre de Zurich en 3 heures, soit à pied,
soit en bâteau. A la gauche de Horghen on voit
encore plusieurs maisons, non loin desquelles en
suivant toujours le rivage du la c , on arrive à la
presqu’île que l’on nomme Y A u, et que l’on recon-
noitfortbièn depuis le Bürgli, petite colline située
tout près de Zurich, Les dernières cabanes, que
l ’on apperçoit le soir à une hauteur considérable,
sur la rive droite, sont situées entre WUdenschwyl
et Richterschwyl, à 4 ou 5 lieues de notre station.
Dans cette partie du paysage des coteaux plantés
de vignes ne permettent plus de voir les bords
du lac. ^ v
Sur la rive gauche on voit trois clochers ; le
premier est celui de Zollikon, le second celui de
Küfsnacht et lè troisième celui d’Erlebach, situé
à une lieue et un quart de Zurich, soit en ligne
droite par le lab', soit en suivant le rivage. Un
pëu à gauche, au-dessus â’Erlebach, ¡ on apperçoit
un point saillant au-dessus de l’arête du
‘ V) L ’auteur appelle ici rive droite du lac celle que l’ob-
servatenr placé sur les remparts de Zurich a \sur sa
droite. Dans le fait celle qu’il nofnme rive droite est
la gauche, et réciproquement. (N . du T r . J ;
côteau qui descend vels le la c ; ce point est
formé par un groupe d’arbres, qui fait partie de
la délicieuse campagne de la Schipfe, situé au
bord du lac, dont elle est çéparée par le sentier
qui mène à Meilen.
Le nombre prodigieux de maisons et de cabanes
que l’on voit sur les deux rives du lac,
loin d’avoir été augmenté dans le dessin, y est
au contraire bien au-dessous de là réalité» Le
matin et pendant la journée les maisons ne
ressortent pas autant que le soir, lorsque les
rayons du soleil sur son déclin placent tous les
objets dans le jour le plus avantageux. Les
maisons qu’on apperçoit sur le devante sont
presque attenantes "aux remparts, dont on voit
une partie. Le chemin qu’on voit à droite est-
la grande route qui conduit lé long de la rive
du lac à Richterswyl, à N. D. des Hermites, à
Glaris, sur le mont A Ibis etc. ‘
P l a n c h e ( q u a t r i ème .
Elle représente l’espèce la plus sûre et la
plus commode de crampons, pour marcher
sur les glaciers et sur les; rampes escarpées
e^; couvertes de gazon.1
Les lettres B , C, D indiquent le double cadre t
de fe r , qu’embrasse exactement le talon du
soulier, et qui est muni par dessous d’un rebord
sur lequel s’appuye le bord de ce même soulier.