i : I milieu de là I na geoi re ; les écailles, niera b raneus es au bord, sont
finement ; granuleuses:, suràleuf^ disque; les? >arbulules:: de. la ifene
latérale ioent,les tiges courtesypu-ca<daé©S;ét,seule ment; de]UXf^)p.¥t^ois
brandies peu divisées yqjri nejS’écartent pas,versjle^*eôtés de t’écaille.
| ;À liétat secûl paraît; entièrement d’un brun un peu rougeâtre ; sa
- caudde èstqdua claire »âu.milieu i et a ses bords supérieur ,et inférieur
et -ses- pointés noir-âtresS ÿ
N o tre in d ivM u e g tT o n d u e 'v in g t-h u it pouces.'
■ L e Sf are CàTesbyT'^ !
ÇiScarus Gàtesboêi) Lacép.^ ’
.Nous ne- cr&ypns pçis pouvoir“'rapporter à^a^cun-des
spiaoee&iq^.e nous .venons, efo décrii#, i;ej[ui que Catesfey a
r e p r e s e n t II, .piriag^^u^vlc^uam de psittacus-piscis
wridJ^Bcthairimtis, >d©ntt a,iaÿ son t scare
poissonwèrt\{EiVi(^<\i, naéth., n.p 19^) ,, Lacépj^d#&9^Sjcare
Catesèy ( t. IV, p. 16), mais qui najp^r^it ni d^ns le Rfoch
posthunæg., ni daps la Zoal«gjse de -Shaw { peut-êt^c* meme
devrait-j^n le ranger parmi îes^parà aul^pd&'pro-
babdité qu^parmi lés scares^ ;-
En effet^sa figu.rrnous montr^es'êSénélures assez fortes- aux
1 deux mâchoire», mais comme elles y sontseîauvertes par «les litres
jusqu’auprès du bord, terré- ne nous apprend point quelle est leur
surface, ni si la supérieure a'des pôintesià fénglé^léJtexte lès décrit
ainsi : . . . . ; / “ /*":'" obtusis' atque, ut m ïupo^tfiaïinü, c'on-
;-yrr/fôXHM^j«fenï/èa^^^iisfea^UW,;@eiqni*s’applîquetalsefcfeién a:•
r un scare. Gette dguréne fait;pien vow non plus de la.ljgne ,latérale;
sa hauteur. est:m©ins^ de;tr.ois.fQis -dans sadengueftr|rsar queué «est
. -taillée en■ croissant, £6>tosi jrile>.n’était pas si étendue, elle montrerait
* -del poistttes asse^rlongnès^soiilqoppjs et sa caudale sont verts, avec
«une bandé rougesur dette n^®4r@letÿ®r(ÿEdè»à se|n bd®d ; |k dorsale
est rougeâtre ; l’anale- rouge, bordée de vert; - les ventrales rouges,
: 1 ; « f c b r d é e s v l j # l è | l ^ i * ' l | , b ü ,d Supérieur bleu;
i| f, tÇtey.pariïit?:d’un gris Jfeq^fiiraut du. pourpre
aux, , bords de F^greufe^et dp ^pr-éopereéle,;] qn£ t&che jaune à
l’éçaille surscapülairep# ,une bande pourpre sur la tempe,.allant
de la lèyÆeijSupérieure Isur.F®p6ipùfoÆ>n;ynlt aussi une taché jaune
. ^ur-le îGotoide .la queue.
Selon Gatesby, otat vëë'pcfesfôii ‘^)$ur sa beriuté
p la q u e pour la.bon-t^d6bs& chai^e^on. le prend aux îles
ri# Bahama et §ut[l#s ^p^es;des^aint-Domingue et de Cuba.
L e ScA,RE A WAGEOI jjffîjj&g B 0 ÇjÉÿES.^IJ
* (Scarus chrysopterus, Bl., Syst.posth.,.p. 286, n.° 5.)
Y-©^ une espece bien déterminééupar Bloch. Sa figure
('S^fÿiîos'û1. , pl. 5^ f^ t fort bounfy^® £on individu, que
nous avons s'ous les y eüx, est parfaitementriMemtique avec
cêlui qui app’artient àtfi Cabinet du Roi, ét que M. Pley
avait VdMêiffi à Suint-Thomasi: lv
Sa hauieür diminue plus rapidement du côté de la queue que
dans la plupart aes autres; sou profil n’a "rien de bombé, mais
■ descend obliquement hi-’compte?-'aiPfrôfit^îe'é poîiïteï dé' sa caudale
prennent moitié de sa longueur; sa mâchoire-supérieure a de chaque
t àeôté une vingtaine de crénèluresy dont les latérales- sont beaucoup
plus petites que les mitoyennes, et sa surface est hérissée de pointes
Saillantes, tantôt sur u n, tantôt sur deux rangs^et variant en
| -.nombre depuis quatre .ou cinq jusqu’à six ou huit. La mâchoire
inférieure a des crénelures un peu plus fortes,, et toute sa surface
est foriement marquée, en quinconce, ae vestiges de dents. Ses
écailles sont grandes, à peine“ sensiblement s.triées, membraneuses
sur leurs sbbrds; lès arbuscules de la ligne latérale n’ont 'qu’une
courte tige et six ou sept' branches qui en portent de plus petites et
s’étendent aur presque 'toute l’écaille.
Tout ce poisson paraît i l’état sec d’un beau vert tirant au bleu;