2 5 8 l ivre x v ii.. malacmvhérygiens.
parties défia* Saisae franç^ke ,iaotammeiit au laeidéïM©ca|é
est sa lu th y qui . f it peut-être iunericocmption * de> <siiuM*$<
%ur |e. ïaA tdeiSfespfi^âJel? l’appelle aussi
évidemment dérivé de glànïslÿtmais ;|H$ Agassisports lait
observer sur le'nom de g la n e , que c est à; tort, que
Hartmann donne ce nom comme usité*, en Suisse* ïQn
lui aura rapporté que ce poisson se trouve aussidans la
Glanew,>piütit ruisseau fangeux, dont les* eaux se jettênt
dsynsa la Bfeoi#, »au-dessus des son embouchure dans lé lac
de^Me^at; (et non' pas et dans lequel
lesaluth est réellement assez fréquent. Hartmann aura
cru qnf leinom du ruisseau èst le nom que ion -donne
au poisson dans* cette eontréfefUSur le lac .de? Gonttanseë ,u
c’est. we//en>
l’A l l e m a g n e v o u J F z ^ q u e T ^ e r o ^ W a ll,
baleinf. Ep Autriche, en. Hongrie des 4tllemandsd’appe>llent
S c h a id \ S c h a id en . Nous yavonsles deux mots réunis dans
le VLom o^S çh^ id -v v aU er, usitdpn Holstein/selbn SpKon^-
véldéa. ^Lés^ïlorigrois propres rappellent H a rd s c k a r ou
Sombï, ce qui répond* «aussi-*& son nom russe §om% en
polonais sum^. Albert ledSeiand-, qni^av^t.dr^uco.wp de
ggB!^^8l6xîêSFl^#llteell^%8iipy sdt rEufdpè orientale, ën
parle déjà sous ce* nom/ Les DanpisVjià^^i.entf mgjlq®,
et les Suédois
Pallas donne. eûcore -quelques-uus de- ses. néms asiatiques*
: dshehen-bdtyk parmi les Tartape»' .de *Gasaù ;
1. Hartmann, IcMhysIi, dè là Smssëyvp. 8i.î— SL Spfaapev^iIehL, p- %• <—
4 lMars%lj,VJ)aBML^% 4. fieuünger, IcfityoL hangar., 28;, >3 9 .; —
5. Màrsigli', Ïïd t. — S^iti^A-fZaegH «to„-p. 8a.-—» 1; Ramiûdsj, ps*;ï®5v,
— 8. Millier2 Prodr. zool. dan, 9. Retz, Faun. pt."344'i
fcsap. 1. silüK'és. 2 5 9
tsch&l-buptwi fàse# les Gftteôuquesf loko en Géorgie et
en Arménie. I
Les habitudes- du silure sont paresseuses ; il se tient
dans la profondeur, sur dei fonds argileux et vuseüx, s’y
enfonce même, et est averti de Rapproche de sa proie pâr
le moyen de ses barbillons; eela^milaé le rend difficile
à prendre aux file Ils, qui passent sut lui 5 mais il^qïOrte
àrfà ls,urface lors des orages ; quelquefois ïnêîbe il lu# arrivé
alors dlêtre jeté sur le rivage par les vagues1. Les pêcheurs
de la Sprée disent que ion n’emprend de gros que lorsqu’il
tonne ^ Gest en faisant des trous dans beglace que f#ên en
prend le plus en hiver; "
Il est très-vorace.’ On dit que de tous les poissons il
n’épargne que ia perche, à cause de ses épines $ il détruit
beaucoup ddiseaux aquatiques : ©a assure même qu’il
n’épargne pas>l’espèce humaine. En 1700,Te 3 de Juillet,
un paysan e n p r it un auprès de Thorn *, qui ; âv&it un
enfant entier dans reétOTnae3. On parle en Hongrie-d’en-
fans et de jeunes filles dévorés en allant puiser de l’eau,
etTon raconte même que, sur-les frontières de la Turquie,
un pauvr© pêcheur en prit un jour un qui avait dansl’es-
tomac le corps d’une femme, sa bourse pleine d?or et son
anneau.4
Gmelin lu i attribue l'instinct dé ëècouer avec sa queue,
lors des inondations,‘ les arbustes sur lesquels se Sont
réfugiés des animaux tefrèstres ,* et de les foire tombet,
ainsi que les petits oiseaux encore'dans les nids.
1; Grossinger, Hist. uni«, phys. regn. ïiungar., III, p:~r<5?3”j et Rondcl., Fluçiat.,
<5. lo i p. 18 6 .— * 2. Témoignage verbal5 tjue fai recueilli pendant mon voyage
en Prusse avec M. de Humboldt. — 3. Racsànsky, p. i48. — 4. Grossinger,
Uni«, phys. hist. regn. Hungar.iTÈàyÿ^.'^