j I C'HÂP. ÏI.. $ CB IL® fi Si 279
Il est ^effljÊ&ré un' peu plus comprimé et .a la tête un peu plus
.'déprimée que 1 e tsckérpfié. La Léte a le CMïqnièute %||,eu près de la
./ilongue® totale;, sa largeur est deunoitié seulement de ^ .lon gueur;
èlle a^égalè'^qufe llntè’rvâllé au'Bout du museau au bord
: postérieur de l'oeil. Le barbillon naairiJJbirff.n’ft guère que le «p^iftde
l|t |nTigiynr de la tète, et. les antres :Ef 9J^gt^ n< y..-
D . ^^66» 61ï on!-6%jjP. 4/1 4 j^V.’-i/S. 1 *
D’après (^ d e s^ n cette espèce'tirerait plus sur le
vert que* la précédente, et aurait plus de rougp aux nageoires et à
la région pèëïorale.
,| ; BLi jae paraît pasu quelle devienne aussigrande ; nous n’efe
avons pasdmdiwdus de pins de dirpoudfes.
MleaetérappOTt»eid’Ég^pte’'parM/©eoffroy, pêlë-méle
à te c la précëdébte e iâ v e c la sùivante. M. Isido re G é o ffio y
en'“ ^dbnne u n e !We^riptïon Manl Jlê %r'^nd Muvr'^ge’* sur
TËgyp tej mai§, comme ncius l’avons d ît , en v^attnBuant
mal à;propos la figure çLç. la PT%|%P^Ç*! Kl
iiiT-Nous" avônsle sqùifétte de cette ésfpèce.ufrépme intferpâriëtale
esf^bitftûè' 'et redre^sëè, mais ë8uftfe~ei soutenue par une apophyse,
en iorxne jde» crête de la première des trois- yertèbres unies ;
la seconde de qes apophyses est tonte différente, aplatie, d’avapt
., f en arri ère, échancrée arç sommet et $$$%, ehfi gffiuaPj
deuxième interépineîix^ qui' est fort développé pour porter lapine
dorsale.' Au-devant de cette épine est le périt \tesifee dPune épine
antérieure, portée,'qomme nous le verrons,tàujmîrs'd;aris la suite,
pat uni ihttV'^^iiëQx'trèS-tiorirt^ "dbnt la têtë, à fleur dé peau, ëét
en forme de croissant, mais fort périt.
Il y b hùft vertèbres abdominales libres et quarante caudales.