Le Bagre .jjjE Java. »
(Bagnus Javensis, hob.):
■ U n b$gr§f die ce groupe,: plus petit, et vertu atisri de
J a ^ p t r ,ffiiI:'sKuhl e t Yan ‘Hasselt, m
a lebarbiUoni^3|J&e:TOp^plui]fon^(^3^a§siïl^s pjèçt£^|iès),
et n!a point de grains à la dorsale ;,sa.plaque ayam la dorsale,est
un peu plus enfcroisant’■ et â lés^bquts arrondis. bailleurs, ses
formes et ses nombres sqnt Jes^mêmes ,.et p.eu't-être' n’est-ce qu’une
différeupe.de sexe. If^a des lignes^vertiçales de .points J my« moins
apparentes, e,t non accompagnées ,de Mandes'de u-eflets. Son dos est
plombé,, clairj son ventre blanc argenté^ises..nageoifes noirâtres.
Lesqpectprales et les, yentrales^pnt la^.Mse -blanche.
L’individu est long de isix pouces.
Le Baore1 chinta.-'
SHBagrüs<chinta ', nob.)
Le chinta-jellah de Rùsseb‘(pl. 167) doit,être fort
voisin de ce B. javensis^, M
> ; -Son adipeuse est cepèndâmfplus. petiteqt- ses barbillons maxillaires
plus longs (ils atteignent les Ve^trfile^. Rus^sne nous dprine
point.les,fortnes de^s^u'ca^queril marque pour nohjBres^/lJ
B. ; A., if-, ,Q. l/gj.y, 6
et dit l’individu d?un plombée ôibsçut, sur le dos, blanchâtre a-
la poitrine et âü, ventre,,. et^opk de qu^tre ppuoes-^ lignes.
! Le '"sfdô'lr^;
. ( Bagrus-sagor, rtob. ; Pimelodus s'agir,Buch.
M. Hamilton Buchanan (Poiss,. du Gange, p. 169,) décrit
Pimelodus sagor, pinna caudali bifida; cirrhis 6ypisce dimidio brenoribus; radiis
soir pimelodus sagor comme tout semblable au deddi-
jellah> si ce n’est quil Il
a dix-huit rayons à l'anale, et une ligne latérale simple; mais le Sagor
est raye ep traverp de la ligne latérale, ce. qurn’a point lieu dans le#
deddi-jetlah, Sacouleur.gei^r^e est un vert glacé d’or, avec pïur
soeurs rubans dores q ll ' descendent j usqu a la ligne, latérale.
Le comrhéncemènt de cette ligne ’est garni de tubercules; de
plus, le préopercule et l’opertule sont granulés; le casque de la
tête est arrondi/‘dm sé en quatre .lobes en arrière, distinct de la
■ plaque'dorsale, qm a deux lobes arrondis.
La bande yomérô-palatine est 'divisée' en quatre parties; enfin,
les barbilloris maxillaires atteignent^ jnqitié (Je la pectorale.
D’apres^Ætte description Je Sagor doit ressembler beaucoup au
B. sondaicus;; si&ej n’est par là plaqiie située avant la dorsale, qui
parait se rapprocher de celle de l’espèce suivante, notre B. doroides.
Il se trouve dans les bouches du Gange,' et arrive' à
une taille de trois pieds.
Le BAGRïJ, DORQÏDE.
^ P ü g rü s d o to id e^ , ÛQÉ.)
Nous avons reçu1 autrefois4 de Ëondiche'ry pstr M. Son-
nefat, e t plus rercemihênt dü Bengale* par M. Lamarre-
Piçjuot; une espèce^e“' ce ’groupe, qui doit avoir’aussi
de grands^ rapports avec le sagor, et que nous avons
nommée B. dorgidfes; 'parce que lès]râèces granitées qui
garnissent le commencement de sa ligne latérale, semblent
un premieï indice de l’armure plus complète de cette ligne
dans es Doras*- '
dorsr §y«Bi 18 ; aculeb dorsi utrinqvtf sèrriito, curto.lateribus vpacis supra lineas
laterales solitaris fasciaiis —
W É | D. S^yA/'rtiyC. 16, P. 1/10;'V. 6. Buch., 376.