se relèjpe. en bosse; au-dessus il y â Æux^^ta&es idajjsil’anglq jâe
la mâchoire supérieure, une à'celui de lligrerieure. e g le bord des
mâchoires est denticulé.,
La dorsale a ses rayons ,antèrieurs||Siéxibles ; la pectorale est
longue, elle est compris^quatre fois et qRaie dans-! sa’longueur
totale; la caudale est rehaussée. ,
Là ligné latérale est râméüsè, ses arbuscules ressemblent assez
à iceüx de l’espèce préCedlhte; ses écailles sont lâfges et éfcrîées
lOhsjtudinàlenàtiiÉi •
Lés àohibres^lont :
■' b. ffiftipP fjP R K u
Tels spn|; les principaux caractères de ce poisson, que j’ai vu à
. Berlin conserve, dans Peau-j^vi^y et entièrement décoloré:
Il est impossible de douter que le poisson- ne veüait
pas des Indes; car il‘d it: $fai feen le hnieü d’un encan
hollandais ^ ô n t le fcatalogüë lui dônné des Indes pour
natrie j’iÔtiiîe hotnçlè kàJtat&e ^msÊi. ® dépendant Bfe£h ;
.^tant jpépris sur entite s^pifique jkveç le poisson
d’Aldrovande, -a tout prqmllêril est inutile de prélever
encoré ici leè autres inexactitudes dé^nohÿiftiéf' de rai-
SQ^emçnt -«t.de ^défaut 4f; cridqùe d|jfl’iç^h^lqgiste
aUemand^ mais on doit le v> b}âmer plus fqrtîementde
rinexacti||ide}% | sa description,,
•J’ai -sous.-U&vyeox dif
poisson de -Berlin*; je le dqisf- à la complnjsân^e de AL
Lichtenstein : or,^es; neuf ^émiers rayoris de demain
y sont nettçment teprésehle^i^pIesV^OiPÿleSfèl; flexiibles>
Bloch non-$eu|ement prétend dans; le texte que tous les
rayons dq, lafdprsale sont mops,. niais il les a ^ t 'rèpré-
senter branchus §ur sa-planche. Je^nf doute pas que les
nombres des rayons de la membrane branchiostè|fe ne soit
inexact. Il “marque deux dUts à la Ihâchoire inférieure ;
jn n’en vois qu’une -sur le dessin que M. Lichtenstein àn’a
fait faire. La pèctOTale est tont^à-fait inexàéte pour le
ôohtour et la forme; ijigeh est'lde même du profil général :
c’est en un moi une des plus mauvaises figures de l’ïch-
thyologie de Blocfif
L e ScAïÊE, AUX, POINTES ,aOlî,GES.
(Sâàfrüs tübr'o-hdtatüs, E h r e h l ^
M. Ehrenberg a,rapporté du,golfe d’Araba, sur la met
Rouge, un sc|re qui ressemble beaucoup à ce scarus
muricatus, s’il n’ést i le même 5 il a des arbuscules semblables
à sa ligne latérale, et' offip les mêmes proportions,
sauf un peu plus ^d’alongement.
- M. Ehrenberg le décrit, nomme d’un'brun yâraatre,
aveedes points «rouges sur les écailles; l a ;j$të rdjjgeatre;
des pectorales,' d’un jaune rougeâtre^ les ventrales jaunâtres;
la dorsale et Fahalê variées , de noir et de pourpre ;
la caudale à ’points pourpres. ;
SUï^mdividu 'est long dé onze pouces.
1 L e Scar:e" vein& • ’
{S ca ru s v e n o sü s , mob.)
dette espèce vient de l’île de Bourbon ,i d’où ellé a
été rapportée par M. Lescbihault. S駒 formés éont très-
semblables' à, celles du scâré d’Amérique à bandes rouges
et blanches.
Sa hauteur est trois fois et demie dans sa longueur; sa tète
est aussi longue que sén Corps est àti -Milieu, mais elle-même
à un tiéVs dé moins en hauteur qu’en longueur. La ligne de .son
■ profil descend doucement et celle de sa gorge monte de même.