d a iis* bêaiî c&upte$kntPés.) |§ usqokwtoeriie ^©Ekèbréj | | ?iÂi >pas ®s^nae
la*làm&-?ou l’apßphyse destioée.4 oet ©$efe. ï ri*
L’hütnetfäk n1est^pas--B©a'jplus aussi large, que dans iböaÄqoup
■ 'd’autres -espèeefe? et ne skiaifr point ^ » fé t^ em em tà -s 0 n^s;eHiibl«ble
par.une*suture.dëwtée^nBaisTS'eûleï^ent par des,ligaTnerisr Le^oubital,
vifört a lo B ^ Ä «tïéqijverSJ fe h a s, mé-prend -qu’unie .petite- parlrià
* eèttte -union ;< mais, da®s> • des « autres- sriuroidesi, ril llftffij Fait
qu’un avec- k*-radical et aveaifereade. supérieuret^squik^ans^fe
eyptin«ïd&f^|Êtene; un1 os «séparé«,>»de?s,©nte®5q.ue. jydsj-eubiwwradial,
quî^ôteteqdfenuièlîautda nægeoi»ê«ipect®rale,,' s!unït .pâr..itr@is"’fen-
Îdi5@ifô avecd’ikuiBnéraJvet æxle p lü s .u n ^ J ïO u ta n t, qui .joimune de
oes unians? b l’anigle -de« k> partiel qui vp orcte.kkfge®Lre9 d/oùâlirésttlte
pour cëlle-'ci une^Wse'd’iMei-extrême'solidité. iLe premier- rayon
âti l’épine pectorale s’articule, commeà l’ordinaire-, p r tm , gfegl^rie
simple -I unë iflôettèiîdu feordSradiadpÂais il a ide=tipl»ideuii ape-
pbysesj une intern®T@fu inférieure#par/fequelle ilîs?âppuie4urt^e
sommet de da- portoori cubitalevde l’osi;sôus->V»ttecke ;dds ,;gSébêui
une supérieuTOJiou externe, adenakcireulaife,-. î^seOilfÂée
eredefeops*!et kisaffi- ainsi; une sorte djexercwîhet élaargi?)/Seitet&p o-
physe entre | dans unesfbsses demi-câ&iukire IjÉjfHt Éèleèmternes de
l’huméral^ d'oritr le Rebord forme u n petit bourrelet âtentfant^M
tmse’é l en plaçantr c'e tcrtjcbted pa r urr léger mouvement lsQ .^ ^ 'è
derrifereice boürrélet, e t en appuyant! en Äme-teMps löH ^ o p i^ s e
inférieure eontre le sc temetdn cobitalyqde liépinespéctéralespFgnd
i cette- position fixe qui k eend si frèd© niable. Il aily kf qàé^îris^os
du >eàrpé;; le premierif€tourti e t igr©S5 les? deux- amteesafengés y p k ts,
: f pkr^tsï^aési 1 es t»raynins^ JsurtôuKd^. .#oisiènm*i«>'
18É^^<^jj|fetàiiitiiafe^^\ijelB>ÉaMe9ÉiiaeftHgig^-. qui.peuvèni- être] ÇühÔÂfées
çg commetcervibales, puisqu’elles ne portent point.de^eMes^^lîépine
du dos. en eottpent: enCore/fseixanterSept ■ ou; soixante-huit, dent
seize abdominales- et cinquante et une ou einquante-deux cètïdaîes.
m Les abdominales ont des apophyses transverses^ d’abordborrizöntdles
et-.elfflÄaöt peu àspeÔ,sée sorte qu e les dernièiies saneparaliëles
aux côtés des anneaux inférieurs des caudales. Jusque sous la dorgffSsUl?
smènae et à là septième des vertèbres séparées,
jilsâfapôpbyi^eS^épineîy^s sG^nt.cqur-t^s et-diktçes, d’avant en arrière,
i ^nkcqm ^ja9é^|ouchier : puis "elles deviennent, grêles et longues,
r ainsi que .celles du^ dessôjâsj dé* l a queue. Les abdominales sont
lés’¥raiioaks' "âe compripaent graduellement-J toutes ont
de6Ë%ssètlès d e* t^Mqu^|pfe lîp le aum out ’d e la queue, qm porte
1 M*fcMtklè, -fôîtae, rioihriïe d’ô'rdiiîairé, une lamé Cri1 triaifglef les
' «firifèPéptaëh^d®3 la dors'alë s'éîp^Ktëft« éi)H'c|uehïem èri avrint, éf
.;-i-s«Éapp#pe&iit" potÉ- Se-fixerI entré.4fe> apôpbysés’ épifieuses ‘de- la
• seconde ét deda troisième vertèbre libçer Cenxïd'edi’anale, au nombre
deqüatre-vingt-hmtfqu quaeferring^nelifjfsojit distribués fs^fus les
cinquante« et une t.q,q / cinquante-deux apophyses inférieures des
j verlè^Sriaudales^de manière aufen avant ïky en a le plus ^souvent
* qeux rinwrralle; de chaque apophyse, mais ensuite iLy a moins
? ’1 oe re^iuMnoe?
Les limi%S (âe FexWri&ieli du siltiré S'âfet ctifficilès W
èx^pliqüï;r." On i l en? Ttfit ni dans les îles Britariniqj|esi,- t ni
daWâ la péninsule■ espagnole, ni^ën Franè'è^^i'êprîta'lie.
Les eaux mi^)luàv V’Qtsiü^ ae-rn ou s ô'u l’on en trouvé, -;sSfit
certain? lacs de Suisse; tels que feelùi de' Morat??é'tf celtfi-dë'
Neùfchâtel; mais il n’y^en a p o in t‘dans lë lacvfdfe Geneve.
Plusieurs-dés lacs qui communiquent avec le Rhiriaen
îËanqttèiit égdl;élîient ,^ u du moins il !ÿ'/^t-exeess'ivement
taré. «Ainsi, l’on en prit un pëtît^eii' r'6fè¥, dans celui
des Quatre-Gantons1, qui fut qSbrté à Lilcérliè,: où petsonne
n-e,:>le connut ; et depuis Ibrs 'Otf n y 1 el^a^p'às' vu. :Y e fI la
fin du dix-séptièMe siècle , quelques habitants-tle Zurich
en’ jetèrent dans le leur; mais ils- y furent promptement
détruits. Il n’y en a constamment que [dëns quelques petits
lacs du Hégau.en.Souabe,,etJVl.. Hartmaruxjdit que c’est
de là que, lors des.grandes inondations, il en vient dans
le lac de Constance-; mais le très-pe tit nombre que l’on