mais lÜplÉ festpàs de même"*du‘celles 'de1 la Macédoine.
BelétL en a vU dans le ShymbnrO-jlLes Ucs voisins en M
î^irlet nous apprend qu’il en arrive Beaucoup au priüteftips
<fè la mékifbinè par le p M h M M M * * ®
jl^ité un, pris’dans'le port dcCcfnstantMople* *
' Miis%;rs (É t tW tôîiïs les affluensde’BEIbbten nb unissent.
Il a d oAjnëdiC'u<I^dwéfô pWverbes -en- Bohême h-LaSprém,
fefs^étabgè des environs de Berlin seM jont beaucoup^. Du
iëmpS'de'^cbo'ftëvélde, il était5 assez* abondant pour qûe
l’on?eU fît fds^àMsdftsii HamboUtg4; msÈis' il ne'déscéndait
pas plus b'âs.1 Le Mecklertibou-rg en a dans-tous «es grands
laCS'^et-il ëh descend quelquefois dans la Baltique:^On
en prend* de temps en-temps-, dans le lasc de Soeroe^n
Séelande; m a is ^ '”y‘MstP,tffes-rafef&. La Suède éa a^danS
le lac Moélei* %t*dans d’autreë ^êaux en $£fânite, en- PÉpt^
gothie*^ mais* il n’Iif est?p#int question' clans 1 Histoire*Aes
poissons d’Islande de ‘Ml ’Fabe^ ni> dans-la Faune-‘de
Geberfland de-'Fabrifciùsr ’ ï 1 m u n i‘sot $jw\
En Prusse , iièsbcommun, selon Wulf, dans. leÆurlsclil-
Haf, dans te B ran d eb b u rg 'om en prend souvent dans la
Prégei,ldô Memeb, surtout vers leurs embouchure#.8 . 'I l
y *eü ’tb<à'Ussi à ïffenfebuchure d eB la V-is*tule,n4e t même
beaucoup p lu s 'M û t9. 'On en a prés dans la Pregebj de
Séi#d> pieds de blnfp^bRacsziiisky en place dans le Bug11,
et^âMûrë^ue l’èli en prAi'de sînbllléfs’ï danis le S t^ v 1®
I -^Beïôn]^Obi.,T. I, c. 55/p. « 5 .*^ ITIsëhoneveldeTqk'Gg- CHaque poisson
eà *cMi UUy.^6^ ■ MKjtïfT
émn m sam, \
PlkuMà aih^Wgn^Mhiss^fiZtî— S^BoiSfcj Hkt/Mt. de_^u*séy
__ lo f f e y . /W “ 11. RldsziiïsJcyjïfT^.^»«/. Wiïlty — >12i « ï« ., p» Êmi
H ïCeaj:j&#uss ié à fljtip n i^ ig ü i i|^Éfgpffi|î
gu^fjSi quatre JjpifdiS'K La plupart d#s fleuves Ÿde .la Ru.ssiç
«U nourrissent} taùt ueux la Baltique,,. comme
la Dupa set; système JoUf1 * igue^ceux
qui aboutissent à la mejr ^ p iir e ^ e -Dnieper^ le.JIpn, et
au-dejaidu Bosphore cimmérien,, ,1e .Cpuban .et lqipM|e. a
La m e r^ sp iA n n e e t iess idspqrçs qui» sf.dçttenh, enj>rqr
duisentitant, >qu’il y, est au plus vjtl p r ix ^ ^ ^ ^ a c a n i ,
la § p |p
en Géorgiei^dans' le,. &uape.t le Terek, -et .dans, tous les lacs
qu i avbisinent la .ni&r^p^pienne5. Le TȎrek en produit
dé troiskeut ving| Hvdg&Iul.
Comprend-on q u ’Un poi^ou^U^étonnammept.O’épan-
du,, ri& s& soit point établi è u ^ g u d u Rhin, mi aùj midi
des A lp e s^ t-. quïl;is^t„ pemepiv^banger àtdoyiçs,, ies
rivières.dela,, Sibérie quijse jettent.dans la mer. Glaciale;;
c’est cependant ce qui- parai tuertâip par le témoignage de
Pallas7’. Ce n’est qu’au-delà du Raïkal qu’il $yen retrouve
uné^espèce du même genre, màisaifférente.
On nè 'peut douter que notre silure ne soijf
dAristotu.; .Outre , qu’il „est, - commun qn- Macé.lpine xi, èt
qü-ib porte encore en Turquie le nom de glanos^ èn de
glan&r°Me que.le; philosophe rappotté de sou glàrns conv
ie n ttre s -M e n à noteeMsilure, autant que «©us. en connaissons
l’histoke : l’inquiétude que lui causentdes temps
orageuxX1', la lenteur du développement de;s.es,jpeufs, leur
1. Fischer', Hist. i^at. de Liyonie, jp. 35o. — 2. G^orgii, Hist. nat. de Russie,
tom. III, p» lÿÎB. —3. R<es,' Mevgri êü.Geoi^ii, l- fit-
5. Guldenst., ;Voj. en Géorgie et .en Imirété, p. et pl. — R. Pallas, loc. ç.,
p. gÿi — T. Pallas, p. 83. — 8 . Le silurus Daaricus de, Pallâs, qu’il
a ensuite nommé asotus* Voyez*en liartide. _ 9. Belon. — 10. Meidinger, ad
tab. IX. — 11. Vin, 2 q,#h