CHAP. IV; BAORESS
L e BAGmfDÇ ^ÇoMMERSO$ï
(JSagrus CommeUtsonii, nob, yPimelodus Commersonii et Pimelodus
: barbus, Lacép.)
lïne èspltewe la rivière de la P fe taqu i ailes rapports
les plus marqués^ avejé les B. netuma et B. bilineatus.
Son crâne estfpresqüe* semblable'; "seulement la brànohe latérale
: » .dufrbntal n’avpointïde crénélure des yeuxjj ^production
interpari/$aL^ est, aussi; |o^|uef,{ aussuétfoite, aussi carénée; le
, croissant de s,on,deuxième interépinjmxv aussi petit est encore moins
granulé,;tja pmgpmon.de g^barbillons^eÿ la même ; lps .maxillaires
dans l’adulte n’atteignent qu’à, la base aes^pecto^fes. Sa dorsale, ses
pectoràfè^/^1 aütr^iagëqhes .sont semblables ïTcelles delgjslpèces
indiennÀg ; mais, sÜâ1 opercülè esf lisse ,\ainsi>Jqub l’osv de son* épau le,
! quihe'fâisse^muauëuné inégalité au-trà Vers de la peau; et l’adipeuse,
coupée obliquement, est presque aussidongue/'qüe l’anale. .
ù; B. «; D. 1/8; A. 18; C. 11 j’P.'j/H5 v- 6-
Le' lobe supérieur de [ la caudale est d’un quart plus long que
l’autre. La mâchoire supérieure avance un peii plus qued’inférieure.
La bande voméro-palatine forme une piràbole.à deux larges
branches, divisées chacune, comme par des sutures, en plusieurs
lobes, et dont une partie ne paraîf tenir qu’à la peau du palais.
Tout le dos dé ce poisson est d’un plombé noirâtre tirant vers les
côtés au bleu d’acier bruni, efcse changeant plus bas en argenté. Les
'nà^eôirës paraissent grises, et la dorsale et les pectorales ont du
noirâtre vers le bout; la caudale est presque toute noirâtre.
D’après Conf||'erson les nageoires inférieures dans le frais sont
; :;rQugéâtris.^
Le plus grand de nos individus a quatorze pouces.
Il a été envoyé de Monté-Vidéo par M. d’Orbigny, en
1827pj’en ai fait publier la figure dans la partie ichthyolo-
giquë de son Voyage, dont il ifili prié dé faire. la dés-
cription. Il y est représenté pL 3, fig. i,