D’après une figure que nousavonsvue dans la'-Gofieéfcièn
peinte an Mexique ^ pàé M. ,J noii# "Canyons épie 0 couleur Naturelle es#%ftër P
Les côtés atlantiques donc
fourni jusqu’à vingt-troisoù vingt-quatreie’spèéë^rdé^cWêS :
fô ifièr Bougé ,dyrcftlpêj d0| îudWWdes" ’îïes de la mer
du Sud en onlreiSecrçg. îun ;pjas grand ainsi que
l’on va le yoir ; mais, comme il^^drdjn^ûe pour les
poissons de la zone torride ycæ? sont deSes|)é©às différentes
de celles de la mer; Atiantiqqe.
Nous prendrons.dai)ofàcetlês dontla' caudale ëst'doupée
carrément^ et qui se lient aux d ^ îè r e s S’itmérique, dont
nous venons' de donner les descriptions.
L t S gÏRE' i M'4 CHOIRES^HERISSEES. -
j rUScan^ mypîca&LSr, nob.-à;-, i
Nous commerijcerons par une^lsâj^jfuiéufpasse meme
pour la grandeur te^yâqd^pe à mâch pires ^bleues d’Amérique
H,et qui se fait remarquer -en,- outre parce qua leg;
têtq% de dents qui pav.ent la surface de ses, ma
conservent chacune un spelifï tubercule , qui ne .s’use que
lorsqu» ces-dents sont fort rapprochées du bordj-eni-softe
qu’une grande partie d’é ‘ cette surface e§t hérissée de
petits dübereules disposes régulièrement^» quinebnee.“
MM. Ruhl et Van Hasselt ont envoyé de Java au Musée
royal des Pays-Bas un d&jîfâj grands scares, long de quarante,
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Ils ont donné à l’espèce le nom de gibbosuSj parce qu’elle
a une proéminence au-dessus des yeux, moins considérable