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^Sèbài^-i^ùaêàniâtâl rréE^Î ■*
M, Pley a prepg^q^a, Syaint-Tho,piaa .un individu de
cette espèce, long de trente-dei^x pouces, ^t qui pçs,ait
tjcepte.,, UwêàiÊM
' Sa hauteur1 est quatire fois dans%a loi!gueur totaie • sfcs mâchoires,
' tr'ès^b'oi&bëes ët un jieü*^déés^ oiit* de chaque î a ! Mü|>!ériéhre
v in g t’où vingt et uxïe, Lnféiiëùre. quinze ' o ù . ' seifce. erénëlures
J AondM/W’hefoe ^dëffiièrë It’^Öns les den is du b ord quatre ou einq
rangées ’ dé Â 1’ângle
dé la supérieure « ont;‘d’un" cdteVrqis; cfë l’âut'r’e cinq oursiS poïMes
. cÔniquês, ^3i£pc>sees* en * groupes1 ifrëghliërS ; la “basé Jdes? ^rnlchoi res
egt d’une bëlie cùùlèùÿ â i'T e r^ u é ^ â s f lëé ipinbS'dé la ^ cS S Iiê ^ n t
peu robuStifq là” cäudalb ^ â TfeS1-‘^Pbtfesâ d é ■ é8s^èj|Ie§'‘ plu$ IdM^aés
ttiêmè * lp it iTsà |)äiSe ISs^enhë8 èt?’ ‘iseHè - fcx; '■ loiT^fuWlië ÄSSt^pas
H,éès-étendüë, a* elle-même' ä u ^ i l i ’eu une ’’pointe? courté. "li’ângle
postérieur deTaùaïe’ést âùssà ‘d’drt3 p oihthj celui de la do¥sél’e le
paraît un peùmbins; écaillés; iùèmbranèùsW à IeuPbbxW^ônt
sur "diilqué ùùe gràhulâtfbïPw®-hhe, SiSj^ëË/^un"
J ! * stries f les arbuScules de la lïgaè lAtértflé ont chacun une €g¥%isez
longue, un peu relevée &J& termihië: paît ü h petit bèùqùéVde
‘ branchés courtes et itfeg^liièrëS:
1 • d)âùs:'son^M tâî^ d*iin- bèàù Véftr1f ü ü la
’* pebtö.Ä^f lëdetel" flanc et s u r l a partie postérieure ; la
tête, la partie antérieure etAùpërieure du döstet- lè Vbtftrfe^Mftcnt
qu’un gris jaunätte; la’ dorsale et l’anale ’s q ^ t ’brunes et ont'des
taches vertes ie' long d e ; leur base ; la caudale.* sur un fond gris-
• * jaunë, paraît a^oir) des’ raies vertës- sürl sa^partie niôÿënne^'les
pectorales et les ventrales ont aussi des teintes vertes.
A l’état frais, selon la description uu peii vague de
M. Pley, ce poissbn avait les- écailles d’un, rouge nuance
de -bleu et* de? ivert, et ses mâchoires étaient d’une belle
couleur bleue à leur partie supérieure. Il était mâle, et
r.mi n’en connaît paS' de- plushgros à ‘Saint-Thomas. Gn le
nopiipe, dans cette,|île| cWçab€lly ^ et great- parrot-fish
(grand p o ison pe,rroquet|. >j\
Le plu^s .grand, 'dgs.Èèares de Parra, n£>mméo pajkJeet
observateur (.p. .54) guacamqia,, et figuré sur sa jplarrche
zp ,t présente exacterpent la grandeur e j Jps formes de
ç^lui „que ,pous venons -de décrire.,,'et .n’en diffère, pas
beaucaup . par rfes icoulepl^^ Il losag d’une: vâre espagnole
, p’est-à-dire-j:de deixx piéds e t demi et davantage :
riîsesi m4choi¥ls*fsornt"bIëues;* le oesêu'S de “sa tête ést^ obscur,'1 ses
* côtfés-soft. teints de rosé; sa poitrine est mêlée de vert et d’incarnat;
v j a m oitié .antérifeure dp corps est cannelle, le reste jusqu’à la queue
’lo u 't'V e rt;' la , caudale obscure, bordée de vert et à pointes
incarnates; les autres n âg eb ir^ ’brunes^boraëlV'de vert’, excepté
lës'ifntrales^qm sont' Bordées Irè'ÿrmî'M. **
Il y .a grande apparence que .ces nuancés ne .diffèrent
descellés qua^ indiquées M. Plèy q ü e p a r les tèmps ou
poùrTè moment auquel ellqs* ont jeté décrites.”
Bloch, dap^spn Sysfème posthume, . rapporte ce gua-
camàia a son scarus crètensis (pi. 220), et foh pourrait
en effet y voir, quelque ressemblance pour l’arrangement
des pointes latérales. d.e. la maçhpiçe\ supérieure ; mais la
queue de éè dernier, tellô q u ’il la représente, ëh diffère
beaucoup f# marqtié àtissî sur lès écâîllës dés stries beau-
coui) trop profondes ; d’ailleurs ce poisson lui était venu
de là mier des Inde», et nous verrons qu’il est d’une espèce
particulière.