y a des, pu»#^ï, à . j « de Cqpmerson. $n marque
trqjs petites, qui ne paraissent pas dans la gravure de Lacépède.
Sa dorsale est peu élevée dans la partie antérieure; les points des
angles de sa caudale n’ont pas tout-à-fait, le ijers du reste de la
nageoire; |
Dans l’état'^èe ce pëîsSoïi paraît verdâtre, le tour dés lèvres fet
* les bords des écailles du dos sont d’uifcjvert plus prononcé. La dorsale
et l’analé sont d’un vert foncé bordé de vert plus clair; les
autres nageoires sont d’un vert jaunâtre et ont les Lords extérieurs
ou,supérieurs d’un vert plus, prononcé.
Dans fétat frais, d’après la description de Commersoh,
il n?est pas vert, mais bleu.
On lui vcrtt quelque"points et quelques traits pourpres peu
^ marqués sur le musea^et les," ôpéreuÏOEÉÉl’oeil est entouré d’un*
cercle pourpre; les nageoires tirent au v iol^etn’ont que leurs bords
d’un Lieu pur.
La figure de Vïamitig ; passablement copiée dans Renard,
est enluminée d’un bleu verdâtre , e t ‘a les ta elles dès joués
et des opercules #t lé tour de foeil poudres.
L ’individu de Commerson était long^te seize poucesy
•et pesait trois livres.
Cet observateur nous dit que t’espèçe se nourrit, comme
ses congénères, en rageant tes coraux, et qù’en eonsé-
quenÇè on ne l’estime point à l’Isle-de-F:rance*, q ifb^ fy
tient même pour suspecte. Nous vènons d’en "rece voir de
beaux individus dans les collections rapportées en France
par M. J. Desjardins et dans' celles d<e M. Lamarre-Piquot,
ou l’un de ceux-ci a deux pieds quatre pouces de long.
Ils ont conservé une belle teinte verte surtout su® les
mâchoires et sur la gorge.
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