ce lle d u «rc. harid, lorsque c e lu i-c i s’est nourri des p o lyp e s
des coraux.
Il a t te in t .à d e u x p ied s dêi longueur.
L e S çARE AUX TACHES BRUipS.'-
L e s S é ch e lle s nourrissent au m ilieu d e^ 'e s nombreux,
in d iv id u s des scàres d’une autre espèce,,
à mâchoires,petitês, .entièrement recouvertes parles »lèvres. à. bord
lisse, sans dents saillantes vers Fangle,‘à tête/plate en dessw&i à oeil
placé sur le. haut de la joue.,i. le cercle de l’orbite entamant la ligne
du profil. Le museau est arrondi, la ligne latérale très-ramifiée, la
caudale coupée carrément et à angles arrondis. Le corps paraît
blanchâtre grivèlé de roux; une tache de cette couleur est au'bas
de la pectorale.
La couleur du poisson frais est jaune verdâtre" sur le-dessus
de tète- et sur le coîjps, en s'éclaircissant-rsp.us l%sve,ntfev Une
largeïpiçhe brune noirâtre se, dessine sur chaque .écaille^Le dessous
de là mâchoire étrde la-goege est jaune clair. Les nageoires verticales
,,ont leur membrane incolore et leurs rayons .y erdâtres tachetés.
Ceux; des nageoires paires sont d’un beau jaune.
C e s car e a paru rare à M. D u ssumier ; i l l ’a vu cep en d an t
manger a Mah é, dans c e t ‘archipel.
L e ScARE "GUIS -BLEUATRE,
(S c c tru s c ja n e s c e n s , nob.)
L e m ême naturaliste a eneore rapporté d e l’Isle-de-France
un s car e
à nuque très-relevée, ce qui lui rend le profil oblique, quoiqu’un
peu concave au-devant des yeux, et le museau assez étroit vers^ le
bas. Les dents sont blanches, finement denticulées; il n’y a pas
de.canine à? I’angle de la b©uche: La caudale est coupée carrément;
la ligneilktérale n’fes,tl,pàs,ramifiée;. les/écailles sont finement grenues,
mais je, n’y vois pas de stries^ <2(3 ppisspnÿjest devenu ^pay l’action de
l’alcool, brun veràâ®fê$asvé’ôiles'®¥gêoïre*s^plus foncées; la dorsale,
l’anale, la caudaleetJa ventrale étant b«£déesolg blanchâtre.
F r a i s ’làpflm^rlfï bleuâtre; la 'dorsale,
l’-anal^ ôverntmles e t caudale', b ihnës;£son;t. bordées ,çj’un beau
- -bleu .dïoutremer.* Gette. raie |>c£'ulpe, JLe^ #Mg^s'et,4e bord -yerticaLde
la nageoire;‘de la queue. Les gris.-bleuâtre, ont dans
•faisselle orne -tache dMn. btau,'bleu tp/èspvif, Les -l.èvres' ont aussi
^cëtte couleur.
Dussumier a^kite'.a’^Bs détails2 qiïï^|é poisson lui
a paru pfiis^Wy i Tâe-Ëe-FranLC^é que^ïe^^utres^tTOS.
Il 1: .a vu mapgej, p.aiyj.es .noirs.;..
L e ScARE, AUX iÔE^TS TiOÏJGËS.
*J' fp qcârus %rythroâerij npb|®»
Les mers de risle-de-Frauce nourrissent encore un
soaiÉ qui sèl^Ptingue des ^p^éeé^ens £
par%éf 'd;ents sr^pgeg., à mâpb@âreà<hnerneht denticulées ,/Aansjépines
„ sajllantes.vers l’anglfecle la, bou^e. Le ,cp^p^egjtppu,:peu haut;
la caudale carrêe^Ja ligne latérale un peu’ramifiée ;,les écailles assez
grenue& t
Ce poisson, dans Teau-dê-ÿië, paraît brun verdâtre’, a%eë là dor-
sale et l’anaïë noirâtres. Les dents sdnt devenues bfânShâtr^.'
Dussumièr, l’ayinV décrit siir le frais, nous-apprend ;quë les
mâphdires sont rouges, que le gorps Jst;noirâtre,.éclairci vers le
ventre; le dessous de la tête est brùn verdâtre; les joues et les
opercules s^intT rougeâtres, ainsi que la queue et la'nageoire caudale;
la dorsale etdjànklè sont noires, à reflets rougeâtres; les
pectorales étalés ventrales sont d’une teinte plus claire,
L’individù-èSt, long d e huit pouces.- :