M. Bussuniier dit; fespèee as§§z.- abondante à L?Islte-de-
France , et oii l’y mahgew*Le poisson desaéehé en herbier
par Commerson vi® nJLile:sMadügâsoar.
Nos ind i vidu|fo n tjusqh’à quatarze pouces de longueur.
0 L e Ras on ke Y arj&oro;
M ^^^hM^àÿP^yniMMènsis, nob.^0 '
L’espèpe préçédeqt^ ramène ,jci ^ peftÿft par
sous ,lè nom de girelle de Ydi^ikorq, ,ejt dqnt il a
donne une figure daps la Relation du yp®ge de Msl^rolabe.
Elle ne diffère que par les côuléiu's;; efieere présentent-elles" de
nombreuses affinités.’
Ee Corps-est yerdâtre, et chaque écaille est bordée de npirâtre
> ce qui^fiprme un réseau sur iâçprps du poisson, îmi a d’ailleurs
l’abdôipen rdugeatre;' les deux taches de là dorsale et, celle dé
la peétôrâïè, comme la précédente. Mais TespèWqüi iàousoccqpe
a sur la joue trois traits noirâtres, lisérés de bleu, et au-desstts un
petit trait noir, S u r fes;tMc^ ®é ‘C(^®#r^ônt sur deux individus de
localités différentes, déposés dans le Cabinetj jandis que je n’en
vois aucunes traces sur les ‘sept individus de l’espèce .précédente
que j’ai examinés, que M. Dussurmèr n’en parle pas dâàs ses notes
et que Commersori confirme: cette absence par ses ■ trd® dessins
et sa description. J’ai donc lieu de & & & ? ■ *& # «Ses de la .joue,
qui vont de l’oeil sur l’onercule, et vers l’angle dp préopercule,
sont caractéristiques. Ea caudale a sa base jaune et 1’atitre moitié-
bleuâtre, avec trois traits verticaux de cette même couleur ce
qui n’existe pas non plus dans Fespèce précédente. La dorsale et
l’anale ont des rayures vertes obliques en sens contraire, sur un
fond jaunâtre. '
IVIM. Lesson et Garnot avaient rapporté l'espèce çïe
l’archipel des Çouvelles-Hébrides, et MM. Quoy et Gui-
mard de Vanikoro. La figure publiée dans l’Astrolabe