m LIVRE XVI. LABROÏDES.
une lame osseuse, qui remplit une grande partie de la membrane
interorbitaire. Les braîichestle rintermaxillairé sontcourtes; et
à la^mânkoiM 'inië^wre Ihrft^ülalire est mobile Sur le dentaire ;
les vertèbres- abdominales sont AU nombre detrehe, et le'S b&ndales
* 9 de quaitorize. 1f
Q Eüf coffipâfàiilf à? dë pdissdu la figuië donnée par Àldro-
vàrid'ê'j p. 8 ,.^otis le nom de scarus crètensis, pnp y. prouve
de. différence .un, peu ntara-uee -qùp . EiftOâ plus. grande
Iia.ujte^v d,e lanorsa|e*et: eu ce^que l’interruption de la
ligne latérale n%; jé&t pas marquée ; deux feulas,, qui, p^ur
ce ,Jeinp^rlà| »nétaieut pasi.pQstsidérajbles | il est ^ntâtres-
probable que cette figure est vraiment deliu d’un individu
de n#trè‘ espacé- Venue d é fdrëtë; ^erVèrius,'wLtedr de
cettë^arbi'e dëlFo'uvr^ê‘ dAld^^aude^ M trbiivâilt dltns
les rèeneils déèe naturaliste saiis autre note, raWà'doWée
telle 'q u jl lavait t r o u v é , fie composant dailleurs^on
prises dans ïlondeïet, dans
Belon jjg^dans .Qq^Pier.
Quoique Bloch aitaprdtendu ’que son ,yc«r«,y cmten&is,
pl. 220, est le même que celui d’Aldrovande , îl s’ën faut
de beau^up que1 soh assertion^ èoït“ 'exarétê^fesF épines
iaté’raléë dëS'mâèfidffé^ilëVsilldiis empreints sur les ëéffilës,
la queue'taillée Un peu^én croissant,'leil^sungnent'Suffi-
samrne.ntj maune n’ai du r^pùÿer dé scaje qui çorrespon-
dit a cette ngune.j^fe qui tient en ^g. quellp^eit
trama i, ;faii^r);nu-îpoint que l’on n’y. % pais même marqué
la ligne latérale* et qk&rais été fort en peine* de parler de
l’espèee représentée^ par Blodh* sans Fobfigeânde d e mon
celëtnë aWii, M. Lichtenstein, de Berlin, qui a bien* voulu
in’ën fb^ f u f i 'd i l^ 'êxaçt dé l ’individu cpië Blodi a fait
représenter. Il me paraît certainement dune espèce distincte,
voisine de celles qui habitent les mers cte Java.