larges ; leur partie visible -test*ajrondie ji »fissent *a^|e&Jt©iad& membraneux.
ES parût cachée est trèlobéeet*marquwdeplps de. trente
-;Stries arc{«ées>, <què se rapprochent en avant, sans former: .cependant
un évemail au#i*fégulier qu’à l'Ordinaire.
Il y en a» ht^prangées; ltfe^tiîdinàles^ et l’on en compte yingt-
cinq sur la rangée^moyenne. -
Les dernières, qüi garnissent la base de la caudale, sont un peu
-alongées en pointes obtuses. ;
La ligmedatéple ôtoeupe la troisième rangée jusque yis?à*vi& la fin
de la-dorsale, où*elle Js’interFompt 'poUr passer à la cinquième
, Rangée, qui, à cet endroit, est la quatrième ; elle se marque 'par
des a.rbuseulesj qui occupent toute la partie visible de l’écaille et
se divisënt dès leur base en cinq ou six branches, donnant elles-
mêmes de petits rameaux ; leur - tige- est représentée par un tube
simple, qui occupe les dëûx tiers de'la longueur de la partie cachée.
Dans la liqueur, tel. que ce poisson nous est parvenu, il paraît
avoir éfcé: d’un beau pourpre, tirant au rose du ' côté du ventre,
.«'Stiau brun violet du côté du dos. Le milieu de chaque écaille y
V paraît partout d’un violet prononcé ; la pectorale paraît ©rangée ;
la ventrale a -des teintes de ce|te couleury*et des lignes transferses
violâtres ; le-fond de la dorsale-est gris violâtre, mais il*y-a^des
taches ou bandes obliques et nuageuses d’un bel aurore ; la base
surtout en est presque entièrement teinte; sur l’anale c’est , aussi
, f lui qu.i domine; elle n’a de: gris violâtre -que Vers le bord.! :La
caudale, estj presque toute gris^violâhe avee:une légère teinte «dhu-
roïe/Vérs la base; son-bord postérieur a un liséré-blanc»
On conçoit bien que pour peu. quelles teintes violettes se r-enfor-
jçîeent, et>que le bleu s’y montre plus marqué;que le pourpre, &e
poisson peut devenir plus bleu que^r«ttg%0’est apparemment ce
qui lui arrive dans des circonstances- déterminées par l’âge, lé sexe
ou la saison, puisqu’il porte alternativement les noms de poisson
rouge et de poisson bleu.
Quant aux partiéf internés du poisson, vôidi é'ë que nous
avons observé, et ce qui confirme II rèssêkibMn<l^Hpe Ir
splanchnologie des §càrês et dés labres,
L’intestin ^^^;huit'thu§;aqj5 luhm^neÿ quatre
, les quatre
àfjtftefc |^i^:ulb*n iR^nSîion^^Lesi'i^Û!Ofeds^ft^l^.tniipcès,
J# yelcptéë arétesy' diéposées de
manière à former déà,mail'leSîhexa{^nales, alongéesy régulières et
qui? diminuent de grandeur à mesure/que l’on avance veps.|e rectum.
Le |oie r-ecouvtfe vde. chaque côté, Intestin ; ij çst «composé de
deux lobes alôngés, épais; ët divisés en petits lobules qui pénètrent
entre les divers réplis de 4’intestfe.' Là vçsieulë^u fiel est petite,
alohgée, blanchâtre; le canal cholëdoqiiè 'Cst court et débouche
peu en arrière de l’oesophage*.»
La -rateJfet petite;; alor^ée! ;et placée ^sous l’oesophage dans la
moitié antérieure de l’abdomëb-
-Lers deux sacs à^qyaîrês sqnt peu gros„ peu a|e$gé% et ilsfCOm-
munïquent dans un oviductus commun aussi l.qug Mque l^es sacs
eux-mêmes. h.
La vessie aérienne est assez grande, arrondie en avant, argentée;
sçs parois sont peu épaisses, mais sblide„s. Les reins sont très-gros;
ils occupent toutfe la longueur des vertèbres'^abdominales depuis
le pharynx jusqu^çn arrière de la vessie* aérienne. Ils versent l’urine
par un uretère, court et grêle dans la 'yeésie urinaire , q$i. est t-i ès-
grande, alqngee- et> à parois minces.
«â M^>us n’avj0pS:"î^qu?é-dans l’intestin des deux.individus que nous
aviqn.s ouverts, qu’une pâte verdâtre tellement ho'm,ogène, q.q,’il nous
\a.été impossible de reconnaître les corps que l’animal avait mangés.
Les seëms, èt notamment le scarus cretensis,, ont les crêtes et la
fosse antérieure des frontaux peu marquées ; celle-ci manque même
défis quelques éspèfeé!*; al
Leur occipital a; en-dessous deux rainhres'longitùdinales larges et
peu profondespour lespharyngiens. Une arête très-saillante se
montre du chaque côté# et, se joignant avec l’épine externe et par
iUBf bifilréatidn avec la mitoyenne| produit sous le rebord du crâne
deux fpssçs, dont lantérieure, bojdéeeucore en avant par une crête
de la erandeaile,. se t^Puye très-profonde.
Le sphénoïde est très-comprimé, et le sphénoïde antérieur donne