CH AP. IV. BAGKES. 291
Moos ne pouvons rien dire de ses. barbillons;: il y a du noirâtre
au bord .postérieur de sa< caudale. *>
L ’individu a pr$!rd$,neuf pouces. Adanson dit que les
Oualofs rappellent nkel.
■ L e Bagre. T acha.
(Bagrïis Vacha, noh.j Pimelodus Toucha, Ham. Bueban., pi. 19,
Le Vachet, du. Bengaley d’après M. Buchanan, a plusieurs
rapports avec le prédedent : mais
sa tête est plus longue * plus poin,luq5< et ses barbillons sont aussi
un pèu pim longs; Sa hauteur' aux ventrales, qui égale aussi la
longueur de -àa'tête, est du cinquième, de la Tfflagiieur totale, tes
barMLhxns maxillaires, dépassent cette longueur ét:les autres. l’égalent.
Sept adipeuse est amsi fort petite
M. Buchanan donne ses nombres :
B. 10; JM/fc; A. 50^ C. 17;,P. 1/15; V., 3 (selon M, Bucb.j’.
Il lui attribue des couleurs opaques et le d<5s vert.
Cest, dit-il, unpçiisson commun, dans toutes les grandes
rivièitea ^%,provin(^s que le Gange arrose, qui atteint un
pied de longueur r et es& excellent à manger.
L e Bagre. M«ti.
(Bagrus murius, nob.j Pimelodus murins> Buchan., p. xg5.)
Une petite espacé'de Ta rivière de Mahananda, l’un
des affluens septentrionaux du Gange , est nommée, par
les indigènes, Muri-vachax tant. il$. ©nt senti ses rapports
aven le Vaehcu dont nous, venons de. parler;
Sesforxnes- sont » peu près, les menues;, sa. tête est obtuse; aucun