eourt, qüi.s’ouvre derrièrel’anus -sansavdîr aucune communication
I, avec le rectum. La vessïe*natat0ire ' est très-graidef sa tuiaque
fibreuse*iexterne est -très-solide # d’un îgdcé argenté brillant. La
^urface interne de^'eeWè -tunique est- même finement striée, 'de
manière à ressembler à la peau brilfante de nos ièahes ou d<©®os
* choliéèmes. xElle fournit dans le milieu une lame vefttcde squi
t sépawe-Jæs deux Igrands'. sacs ^stérieurs fournis pàr * fa ifnaèlnisrfne
interne'de la vessie. Cette membrane intérim* forme ■ àda- ■ partie
«antérieure uné> vessie >âritîndife , plus^fat^é>^fûe longue,- appuyée
sur les os de Weber, et qui n ’a guèr'e^ 'quê letae-ps-de|tâds®5®j§ù®ur
d oto^U stov^ on ^ d éΟ ^ fe^ Je* *n?^^#i®t; vu >dé‘ é#rpssrë|iges ;
: les reins sevn outrent d’-abord ïsousd&sfobrmê ^eiiêxUt-îtübans griles,
qui :se&r.éuriissent en une - seule mass© I épaisse trièd rif^feetapant
l’^spacë compris entrera*vessie aérienne et le-fond de liâWomen.
: ;Gettet.-masse ^n^-*un '«^Wt#uWlF^W^*xdaÉs une- grande .
véssie urinaire «Mengne, vépaigse, dont lissui© est pratiquée derrière
eeUedesdaitaneèsysans qu’il y ait dfel •communioatidn.'
L©coeur-est trièdre, deux fois plus tàafque large. L’ôr^lfctte'est
beaucoup plus petite que leiventrieule: Le bulbe d é i^ rté e^ileingé,-
cpnique, un peu déprimé à son origine,-de mamère'qWdedÿamètre
-transversal.eltsea cet ©ndrok-plus-farge qUe le-verdetib- '
L’ostéologie du silure dEurope offre plusieurs târçcîBStances
remarquables.1 .
Le dessus du crânéest presque rectangulaire; rétLmôïdekest
grand, échancréet élargi enî avaUtpardcux pointes dMgéêSdSté-
ralementy pour porter 1 ^ isflterïMffilM'PfeS^^êll^wu#-^oM®i^rd
antérieur; #%é©iipe plus du -quart d© fa dbngUëiir' du ferâne len
1 . dê^iâ têté-âà îsilSre ’d*Éikrttjpfe‘, ^ è>ëii!*d^üs
^ àé^\Éi[f]e^hgejtedsji^AQii^^wM^i^ es a.aussi ©ne vue en dessus et-en
dessous, et.de profil, dans les p l a n c h e s , I f l U
Cjs figmes.,sgnt d^iU&s^ et phaqueps y norte-le nom que.pii-assigne l’auteur
dans sa nomenwaturejïaquelle s’^oiswï^iûçoup de la ilôtre\ ain$j sa. mâchoire
supérieure est n6tréletliniciïd’e;^^i?dfflt'Hu liez est*nôfré frontal anteriènï/Trou tempérai
supérieur est notre frontal -postérieur1; son parié fai latéral est notre mastoïdien :
jaj / ia|ftÉ|iÉiÉ||sÉfpMW; $ü$ . 247 A
p^l-4piipiüfesiàj longues,!; dents -aux frontaux
piin cipaux et aux frontaux - an té rieu rs.
Ceux-ci, donnent de chaque côté une pointe saillante hori^ilpta-,
lëment, qui,.estl'apophyse*antcfr-bitair e, et se prolonge* sur -l’orbite
et sur,l§.liaut de;la joué.par,une apopfcyse-éteoitevqui va jusqu’au
frontal postérieur. -Les frontaux postérieurs sont peu étendus *en
dessus et n’ont poin$d?ap.ophyse -jlitstorfeitaire, et appartiennent en-
tièEemprt'adniejifae^dim^^s^^deii^^nsiplÉ'ipJtites'Sc d,e l’oeil n’ayant
exigé rqusitn fort petit orbite- -dics mastoïdiens- s’intercalent entre les
frpbtaux .postérieurs; et les occipitaux externes, pour aller s’articuler
avecv^intérpariétaWet - ayenffes frontaux principaux et s’unir aux
frontaux <postérieurSj. .qui eus --m èmesyse-portent en arrière entre
les. frqntaux postérieur© et les pariétaux-, «p@ui#s’aFticuler au bord
(faut érièU%de rintefpariétal. p{)
La cyête sagittale est peu marquée endigssns, ainsi que les externes.
L’angle latéral du crâne estdormé. extétaeUreméUt par le mastoïdien,
- et- diî >côté interne par l'occipital externe, qui tous ■ les-deux des-
Cf©dé#%4;rlfiifece irféiieujsèj U .mfy.a p o in t <àe f.erêtes-. moyennes; la
tête étant déprimée enentiep; la faee oecipitale est perr élevée, et je
ne puis y découvrir non plus- qu’à* fa faee inférieure 1’© si que nous
avons appelé roehep. Les pariétaux sont d’ailleurs ? très-petits, et se
soudent.promptement avec les mastoïdiens, dfe manière. qu’on me
p eu tle s reconnaître que dans de* très-jeunes indfeidi«^| t s*
Le vomet ^pointu en arrière, a en avant deux grandes aides transversales,
;qui lui donnent la forme d’un T-, ët; ^Sst sur? cette partié
transverse et antérieure qu’il porte une bande de dents en velours,
parallèles à celles que forment les intermaxillaires.
La carène du dessous du crâne est,continuée à la suite du vomer
il ne réconnktt* pas le 'ÿlntt pariétal qtii, effectivement ,‘-'ést à pen-pfes fmï dans
sitosè oeÜUMntxb j-taa partie palatine dè la irtâckoire !supérimre‘ e&î notre votner; son
vëwer jS5tji|iQUV sphénoïde ,-etc, . ,
M,.Geoffroy, dans Je.^iandiOn^ge sur riïgypte, .à.l’artiple, (des .porp^ops du
dotane la tête du màlaptérine-, pl. 1 2 , en dessus et en dessous, et celle du
macroptéronote,'pl. îf^, flg. 8 , de côté; et fig. 7 et 9 , en dessous, mais afec peu
p H p il