Uun. d ’eux e st assers voisin de n o tre scàrus çcerulescens;
il en dffifère.'cependant
par sa caudale blèuë, coupêe'ën croissant, mais' sairi pointes prolongées.
Le fond de la couleur., est Vert, avec, des fcroissains plus
foncés, sur le bord de chaque écaille; le d iso n s du ventre est rosé;
les lèvres ont cette teinte, et en’ des&pus est une petite bride bleue,
qui se perd sur la joue, au-dessous de I ceil, en de l’orangé pâle,
et de l’olivâtre sur l’dpetçùte. La dofsale'a la base verte, une bande
par le milieu, et un liséré de coulétir bleue sur un fond jaunâtre;
l’anale «si rose avec' dés raÿôns'Violets; laJVentrâle est'sèmbhfbfe à
l’ariale par ' âes * fcouléur S; la pëefbralë est jaune*verdaire.
' r' ^ I jic â rÿ ^ d’ailleurs’ le füüsëàU poŸntu, sle profil tin p'êu^duténu
âU-devant des 'yeux, concave derrière etia*Ssèïfrelevé suf-Hà'nuque.
. dififérens individus sont loçgs (lesept à neuf potages.
Ils viennent de .Djedda.
L e S GARE DE B o^TA.
^(ficaftts Bottce, nob:)!* **>
Ujl quatrième •sGare. •
a le corps assez semblable au*, précédent;*“ là caudale earrée-'ÿàns
pointesf-la idorsale moins haute; la ©ouleur est vert foncé sur le
4$$» pâle, sous le ventre, avec quelques
la moitié inférieure, et. vejftç, ,srûr la supérieure. La dorsale est lie
de vin violacé sur le bord; les ravons sont verts-; grivelés détaches
plus foncées; sur l’anale les rayons sôrit’rotix et lâchetés de/plus
foncé; les ventrales ont aussi quelques taèbes.*
Les dents sont vertes; il y a sous la mâchoire inférieure une large
'bride brun olivâtre?'
Les mâchoires sont toujours listes, et sâns dents vers l’angle oji
sur le bord- r
M. Botta en a rapporté des individus longs de dix pouces,
pris à Djedda.
Ce scare a de l’affinité avec notre scàrus rubro*notatus
d’Ehrenbergj mais les couleurs sont cependant différentes.
L e S care aux points 'Téleùs.. '
^'^(^SfiUrwi eærmQo-puJ^cîà,àis, Itu p p el*.)
Un troisième fsçàrej rapporté de Djedda par M. Botta,
ad% corps âlongj^la dorsale haute,1 la>,caudale, coupée carrément,
tachetée de bleu; la pectorale et la ventrale petites. Le dos est d’une
coulétir verte rembrunie, passant par des nuances insensibles-à un
veft pâle’ sous le Veiitré, qui est quelquefois rôtissâtre. De grandes
taches1 brunes-dc<*ipent chaque-.écaille, sur la tête comme Sur le
tronc, et tout lé corps est couvert de points bleus; qui se conservent
très^bieti Mr léâîndiŸidüs1 dèSséâhéà'.La caudale est jatitie rougeâtre
.oü couleur de rouille, àvèc de nombreux traits oü litiéamefcS Verticaux
tirant à ’ÿqlivâtre". La dorsale, d’un gris roügeâtré, a de nombreuses
taches plus grises le long des rayons. L’anale a la mêmbrane
jaunâtre, lés rayons verdâtres selon M. Botta, et blancs'selon ®L
Ruppel, aux traits inégaux olives; la pectorale est jaunâtre. Il y a
aussi de cëtte.çouîeurîiur la ventrale et sur la membrane branchios-
tège. On voit aussi une taché bleue vers l’âiigle de la bôuche. Les
mâchoires sont blanches, et la narine est bordée d’une papille plus
haute que dans les autres scares; la supérieure « est- garnie sur le
haut, presque sou-s, la lèvre, d’un rang de quatre à cinq dents de
chaque côté, qui en hérissent le pourtour.-Je trouve ces dents
jusque1 sur les plus petits individus rapportés par M. Botta.
M. Ruppel semble cependant ièsr regarder tomme un
des caractères de l’adulte. Ce caractère n’à pââ été bien
apprécié par cet auteur, quand ilÉÉj indiqué ce scare
coiünie de la division des câllyodons. Le célèbre voyageur