L e B ague pÉ^Êco.p «
(Bagrm ppmecus, Wb.),
apffbrtë sous ce nom d l Cayenne pstr ftj. FïèECvfessemble
beaucoup au précédent '
par les forais», par les nombres et par les proportions, si ce n’est
que sa production interpariétale est pïüs ‘cb’uïte 'etplüs- ïargè, élle
nè prend pas même le cinquième -ide’ la lon^tféur^ug lâ ’tête^fflle^
' comprise), et que s’PÇrointf humérale éit inoffi longue 'qüëhaüftP
Déplus on voit sur son opercule de-fortes arêtes saillantes disposées
: en veines'; ët; ses nageoires inférieures n§ paraissent a'^Mf
• dë noiVajiry. ' 8
* Cette deacjciptiop/est p rip d-pn
pied de longueur.
\ L e Bagre i^gso ps :'' f
BagruMpnesops^xàb.^- *
que, noua appelon|fgiinsi par opposition à l’e&mtee suivante,
et par la position de
son oeu upibidêdistânçe éntré lenout dp hjiïséaq et le limbe du
préoperéüïêV est t^p^fte^iêàwlamb. aux deuxi jnlrçëdlm; nids
sa nrdduct^^intéipariçtale ne prend quç léTsSîeffiësd!era"|^®^mr
1 de là têtefnt ècartp ses bords* de manière à, rendre Ta Base près de
deux‘fois aussi large que,la pîaque est longue! Son sommêwMdieu
d’une troncature à i m e p e p t ^ p o i n t è g i â T i m p^petite
échancrure du croissant aelafnase'dê la oorsale1; Tout son "3§lquë
1 - a des granulations serrées ,, et qui avancent ju&ques entre les bords
antérieurs des yeux^-Son dper&ulë est ' granulé près dé l’^npnwh»*
tion j^et a des veines,; plus serrées; la pointe humérale est-aussi
ipnaupjjpe hauW qtfqrteméht grapüTéepçnfip,_Iqg ventrçle^sqnt
aussi longues que les pectorales, et ont leurs rayons singulièrement
mvi$k--¥ï$.L is^etc?
Le barbillon maxillaire ne paraît paëâvoir dépassé le milieu de la
pectorale,. |<
dÇiet individu est desséchée, et atjjfôté, en v o y é Ear M. Blée
comme le mâle du Bagrus proops; maïs cette - assertion
nous' paraît I plus que d0;pÆeW&.
Il est lqng’.dè sé^pf a dîf:f$pt ' p düfGesé-
L e B agre j?Eooi?it
. ’ (Èjagnis flFOùpsj néb./ ; :
Il nons^araît que c’ëfet ici unë^espèdé bien distincte, et
eiï mën%f^mn| une des plus communes .aui Antille^'et
à la Cuyape,; 'earf^J^C celTe doiit nous ayoW'rëtd^le plus
d échantillons.
É i«dte qui la fait sürtoPt Kajonnaître; ëfest la posiûoB avancée de son
~ -'€êM, qui est trois fois plus près du bout du muâeau qpeda limbe du
préopercule. De plus, la proéminence interpariéiale n’a qa% peine.
- le huitième;de la1 longueur de la tête, elle ediaprise, et est deux fois
ët .dafiaie aussi large que to g o e ; elle a uno pointe qui entre dâns
S unefedhayCüg^de 4a plaque interepirialef* laquelle est non plus
un olroisSiint, ufâis plutôt tin câigÊé p$i™n rectangle^ un peu curviligne
et échancré en avant et en arrière ; Ippercüfoest iajblèment
yemé .ou^trié. La pointe de l’amiçbul^,est,* granulée, ' aigup et aussi
longue que haute; l’épine dorsale et lapectorale.sont granulées a
leür Tace antérieure, tuais rifonfoenarriéré* qug‘ aes-dentelures
i rnediocres. Les ’macn©jj%s‘*eont égales ; l'a bande Votnéro-palatirie
> %§t large^divisée en quatre' partie^, et,, a en arrière deux^grandes*-
, plaque» triangulaires. Le barbillpn maiillaife n’àtteint qu’au premier
quart de la pectorale.. . ■
D. l)?;Ar." 19; C .15;ÏP. l/llf >V.*6..
“TdïtÉ le dessus de5 ce poisson est dfüri bel ardoisé plombé; le
dessous est blanc. Les nageoire» paraissent avoir été fauves.