péckèürè^quMui donær'etifc ~>mê!aÿei un* nom’ tout diffère ut
^fiët'ôuiha' 'Léï'ét'i^. ^^Wséùl cÉtëfSffefe? mais! fort séfisible
16 rsquuïre&f6ts^onl,jw ^ iâ w ^ 'f e 6 i i t^ i^ ^ l
c’est l^^ajffi^un peu .plus*», grand*taj|yiy^QU museaajjpr en, ayant de
,-’,segt dents, en ^ue,jmï^;aà.}fKirri)nscripliQ^horizo^le ri^éstpas
demi-circulaire, )maia*d^m^eilipti{pie; ’ -
Du.reste tout,est sëm'blàBlento'rtbfe^Æeüleûrs, for,ines7;ete.
st ib’espj^j|^vîeiat plus grané% y ëllëparvient M trois pieds
et 4'ëW i de^l©r^H-e.ùr. ; |
M- Lesc^enault uëM^appreudquelle est très-abondante
dans ^^Pondit^W,^ 'e t, qu^lïjé^’y.jm^ugfe j mais
le^Ktesum^).faites paît ^^ ra y^ sépin eu x passent pour
très-A aigete uséÉ&.ffife>èn ^©ir^i^iél^^^eE^vant d’appqfter
ce. poKg^rtî > au1 enp|g^e', que les'naturalistes ont
q uelqne'fqis jde,, la| peM^y^^ïe^ procure r^'entieg, Nqus
■ payons, par les échantillons de ,M.-Raynaud, que le même
usage^s’bb^ervqT dans, le "pays desrBirmaQ^,t par rapport à
reÇpe@e|ïpiBge^dente.
Le Bagre 'm ' . ” ’
Ç-BetgqUs loevigatus* noh)
'Jp.elsf une ^rapportée par M. Bupp%F des1 pâys
baignas*par la mer Bouge, et qui*est infiniment voisine
du B. bilineatus et du B. netuma.
■ » Ses proportions, celles de*ses barbillons, ses nombres, ses dents,
sont les mêmei; la» forme de ^..production pariétale est également1
semblable); mais-ï son crâne ést plutôt veiné "que^ grandie ; son
- qpercule,;la pointe de son huméral, sontpresque lisses. Laplaque
du pied dé saf6ôrsale est en^ roi|gant étroit efeachéé. sousi la peau,
» et les- deux cotés deda. lignedatérale ont beaucoup de trarts et de
points acèsrdéliéS, qu?on ne^oit pas dans les précédentes.'Cebagre