DES.,RASON%A RAYONS ANTÉRIEURS MOUS.
L e Raso$ tæniure.
ig %Xjri<shtfijss tqewùriifrj:Mob-,)
J’ai cru pouvoir placer' à la suite des^sons, à cause de
sa ligne intç^rompqe;, un’ p%s%on Répandu dans toutes
les meçs, des Indes, qui atd,e l’anal$gietavpefU$ gireüesbar
le nu de sa,tête, et surtout:par lêïpeü d’élévation de Ton
crâne, ce qui:sembfe.désigner du'gënr© des basons. Déjà
nous' a ton s vu cette ôtête du crâne s’abaissef dans quelques
espèces qui lient f i | d e u x ^ e i» - manque loti peut
touj°uFs^l’ace|Jdàill celui qui npuspccupef en.^ânïégard
K 1 interruptiôn dp la figne latérale. ‘
. Cfte^s'pèce ©fifre , encbre doutées anomalies ; car. les deux pre-
k rmers rayons simples de sa dorsale sont très-mous, et les sept qui
d’^ nt plus, durs, qu’ils sont plus près dfe la
deux-nremiers rayons
g est qu ih s’alohgent dans les très-viéuf individus J et qu’ilssem ’
blent déjà indiquer cette d ^ io û ^ f^ com p lè te /flié 'n d S 'o b se rv e rons
dans-'les'deux-^péoes Suivantes. Les^af ôM sfihpïéà? de ’l’anale
:sont aussi très-flexiblesj la^caü.dàll e ^ r a ^ d f e ; des' Ventrales
.s,ont très-cQurt^non prolongées; les^e^orales sont tronquées:
® / i2 a: 3/% is ; v.ç ysh) i
ij^iTout le corps est ©ouvert de grandes et larges écailles très-
'\î’P^ C^ ^ r d s memllaneux. J’en coW e vingt-sept entr^lWie
et la caudale,
,, Lavllftie latérale est formée d’une suite de petites tubulures un
peu dicbotoiries; mais — I M pommer des
arbuscules, a cause de leur^etitesse: Ell'à est'tràcee sur la quatrième
rangée d écaillés; elle s’mtèrrompt sur la^gtlèmé,* près du pied
de b dorsale, pour■ Recommencer su^a vingt et unième par lé
milieu du tronçolid^é la ?queue, . :
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