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grand et placé immédiatement derrièréla commissure des. mâchoires.
Son barbillon n’atteint pas tout-Tà^faitlehojfü.de’sa pectorale; L’épine
de cette nageoire est médiocre, et je: ne vois point de. dentelures.
La d orsale es l réduite à un seul très-petit rayon. La caudale est ,di-
: vi^ée en deux lobes aigus.
Il ertt i?iù U' o&M f1.>
Notre indiyidh paraît ( .v.es^e. natatoire, se
montre par pne transparence arrondiç qui paraît art-dessus
oes ! pectorales. ,
Il est long de quatre pouces e&#etrtt4ie jdttiholns
il m’a ’ été vendii commet tel à AihsterdâJït. £
Après ces espèces à quatre barbiltouà / troti.Vôns
qui foiment dans le gehrë des silures une division très-
semblable a,la 'preceaenïe' par lés |>topbrtrous, mais qui en
diffère ^urtçmt par iea jbarbfflons au i^pipre de huit.
Elles tionnenwles sçhilbés par le nombre ^e$ barbijllpps,
mais l ’abspnee d’épine à la dorsale 1^, p la^ à ila snité des
autres silures, r
Le SïLÜRE ÔüDîîEY OU plutôt OüED pM&É.
(Siltiru& attskus . Gëoffrdnîü
Dans éq poisson la dorsale n’a point d’épine ,mais seulement
cinq rayons excessivement frôles.
Sa tête, aussi, petite quç;dans les précédons, est moins large, et
son profil est. droit Ct npn concave. Ses yeùx soint placés si bas
qu’il en paraît une .portion; à la faç^lbféneure;.9ussi IcÆ&iss©» peut-
il ég^lcJSncqjijbien .nager sftç fljyda| que dans lg spo^jti^ jjoçdinaire.
Sa plus grande hçLUteur près de la naissance de, Is’apale est cinq fois
et quelque chose aaflS;sa, Ippgueur tqtale.rSpn;,épçfts^u5i§it^tnême
endroit est trois fois et demie dans sa hauteur; en ^ g j^ l esttm peu
plus épais, et en arrière il l’est un peu moins. La longueprr dP sa
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