Là figure de M. Ruppel peixit ce poisson' en rose plus ou moins
sali de grisâtre. La tache des flancs est formée pab lEpi^unipn« de
trois gros points sur les écailles voisines. Le front et tout le dos
, est liséré de bleu.' La- dorsale,-jaunâtre,,a deux^fins traité rouges^
parallèles, au bord de la nageoire. L’anale, bleuâtre, a deux traits
bruns longitudinaux èt prespiè1 effacés? Là caudale, d’un bleu plus
foncé, a sept bandes 'brunes1, arquêéV et parallèles 'au bprd. Les
ventrales et les, pectorales sont de la couleur cfu.fbqd.|,.,
Ce poisson* est, ;% u re dans l’ouyçage Ruppel
(pl. 10, fig< a). Il a étéf pris?,à. Massuah, et il se nourrit de.
petits crustacés.*;"
'* '"’L e Nf.viè ijLE sm ! tIÛheA7
- !L( Novapula immaculata,, nOb.A
M. Dussumier a rapporté de risle-dèiFràâée' idie^es^^e
de ce genre", sur laquelle il n’a ,malheurêljisëipent pu
prendre aucune note, jg ! k o > ukiWA"
Elle ressemble à notre novacula tPsseîlata par la grandeur,de
l’oe i l ^ r l a çqur^e.-du'pFpfil^înais le corps pa«aît.*avpir^&||^ne
coulëur uniforme : câr‘ je fie vok de" trâces-d’audûnO*espèce de
taches ni de rayures su r!lê Scôrp's-ou'iûr’les-nâgèolrés.- Sous l’oeil le
sous-orbitaire avait‘peut-être 'été rayé verticalement. -
D. 9/12'; i . ’sTiifèûC *
L e seul individu q u ë ü d u s ! ayons ’vu / ek long dtrsix
pouces.
M
| , Des. C h é ilin e s, Laûfp.' r>
Laceg$|;ê| a établi* sous le.-hom de chéiliÈes, qu’il tirait
d>e (Dommersan, mais'tque c§ savant voyageur avait éud’idëè
dedonneriaux^ cheilions, un genre’ quiî est f tout différent
dejicelui que M.’ iCuvieK^aŸGOnservé dans sesrdeux éditions
du .B^gne ^aniipalcpEn- .effet^ile' .genre! de^baleëp^pe ' Hé
eomprend qu£ deux espèces rdW e js la ckéip,ne scare,
tïïï^ de Beloii, et qui èsF-nn(poisson^si toutefois il existe/
que personne n’a depws lui. 11 sè,ra!t grobûblemènt
un sparo»ie, ou^ s’il était de la famiffeaàoyifc mpns faisons1
l ’his toprck a iserâit placé prèsqïe&iscaros^l«gaette: pr emilfë
e&pèG&iu-qsqueiiiy.pjot^éiiiq.ue, commeên le v o it ,/Êacépède
ajouté læohéiline trilobée/ don t il a trouva© unedescription
fort étendue ; dans Gommersori / et quûest :féi seule1 que l’on
doiyé conserverîdffi genre’ denï^GépèdetrCeitrautèur avait
dond éompos^mn^ein-eî sans' caractère prdcisy formé' de
deùxéspëéks touVà-fkipdissemMabl^s^l^f^tduneiestrpeut-
être le .produit;de quelque, erreur fdé:Bèl,©ûL Çepeiidanty
si M. d,e Laqépède „eût o b s e rv e jla -(n a tu re il attrait vu
qu’autour, du.sa seconde tesp|ç,e^ii qui poukait d èf'enir la
base ! d’un »gf »reupaâurpl/ 1 %enaaeutifé^^0üp&r> plusifeurs
autres, qfu’il tirait de^Forskal ou de BlocH, et qu’il faügéait
assez arbitrairement1 SéS labres ^ëqit dans ses spares.
On doit ce travail cri tique 4' MkOiïVi'èr, qui est devenu
ainsi l„e,.véritable auteur d’qu ggnj-ç naturel, auquel -j’ajoute
qn 3§se^ïl?pn nombre qui l^GQnffrmèqt
en.cpre plus ; les caraqtères .epn^stéHr .dans l’épaisseur ,de&
lèvres, la grosseur des dents coniques rangées, sur un seul
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