Sa hauteur aux ventrales est quatre fois ou quatre fois et demie
dans sa longueur, et dans les jeunes mâles près , de cinq fois. Sa
tète y est cinq fois et demie et d’un tiers moins l%rge que longue^
La bouche descend en arrière et l’oeil est derrière la commissure;
les dents, les nageoires,, les barhihons, sont comme dans le S1, bî-
maculatus, excepté que l’épine pectoral© est grêle et moins fortement
dentelée, et que la queue paraît n’avoir eu que des lobes obtus.
B. 12; D. 4; A. 58. 59 ou 60; C. 17;.^ 5
Dans '%n étàt actuel', il parait'd’un §riVargenté ; filais
nous ne cotmâissbns point ses ièouleurs à fêtai frais.
L e Silu r e rabda
( Silurus pabda, BpclianO.
est celle des espècjes, de Buchanan qui rassemble le * plus
à cet anostome j elle paraît, seulernent javoir
la bouche moins descendante, l’oeil moins bas, les barbillons
férieurs Un peu plus lory^s.
L’auteur lujcotgpjc jggj
B. 9;B ..^A. 54; C. 17; P?çl/12; yVS;. -
mais j’ai remarqué qu’il n’est pas toujours bien exact daps le xalc^l
des rayons de ççtte famille.
Il lui^ donne une teinte argentée, aveb une raie .jaune le long
du flanc, et des tachés nuageuses noirâtre® dont une plus marquée
et irrégulière vers l’épaule.
Il l’a trouvé dans les rivières et les étangs du Bengale,
et n indique pas sa taille, mais sa % w e a quatre po^peg.
L e S ilure du Mysore.
. ISilurus HïrsorjÊks, nob.)
M, Dussumier a rapporté.du Mysore un silure de cette
forme,