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laquelle sèjoîntume lame semblable Ou Crête de là grande vertèbre.
Cette vertèbre â ses apophyses trmsvèrseA shüdêes dé'chaque «ôté
en une grande lame , où l’on ne voit qu’une légère' échancrure latérale
vers l ’àrrtère: Le surscapulaine a‘ quatre branches;1 une qui
’ s’unit par suturé au mastoïdien; une qui- va*fixer sîa péînte'UU' ba-
silairé; et qui s’appuie lé long du bord5 àntéiiebr dé Papbphyse
transverse dé Ha vertèbre; Une troisième,’ à laquelle së süspend
rhuinérUs; i*t ùUe quatrième; en arrière dè oélle^là y5 soàtetotaé1 sur
une apophyse1 pointue et’ courbée, qui deséénd verticalement du
bord iMérienr déïà'large apophyse transverse de la grande vertèbre.
Sur le crâne 1k seëondè â&lùtion de continuité remonte jhiÉjfu’à
là base de l’épine iïlterpariêfaïe.
Lé premier interëpirteux, eh forme dè crête mince, est réUiü’ en
avant avec le séCond.4Çëlhi-ci et le troisième, aussi Soudés ënsemble,
ont chaeun lèürs crêtes latérales, et foraient dans le haùtyen unissant
leurs sommets, Un croissam éti®^ sur lequel s’artièidèrit 'la'pttite
et la grande épittéP
Il y a cinquante vertèbres outré la grande, seize abdomiüalèsfet
trente-qtiàtre caudales. L'anal# commencespi^ste donâ%n|è*d®
celles-ci. Le demi-canal, qui règne sous la gfnnde vertèbre, sépro-
longe seras les premières abdominales, f
yf&etto" espèce devient très-grand#; il réèsi pas rare d’en
trois piëd^éî dé trois p e â s et demi. Elle abo'iide
ati Caire pendant llnbndatiiiiiÿ et y ferme un iihpôrtaïii
article dè"nanrritnre. Sa chair ékt asàe^r estimée,>è$otfjM
^énd par morceaux quand lé1 pôftsbn ëét gyahd.J '
Baÿaâ, tp ii nom arabe ïe plns ordinaire , sigàlSe
elle a kniM èélttï1 ftté fitilê; cê qar indiqué
barbillons.
On en*doit à Forshal (p. 66, n.° g5J une première
description assez exacte, au nombre près des rayons bran-
chiostèges, qu’il dit de cinq.
M. Geoffroy en a fait faire une belle figure, gravée dans
le grand ouvrage su r E g y p t e (Poiss.^ pl. i 5 , 5fig. aÜ%
e t q u i en d o n n e u n e id é e assez juste* C les
b a rb illo n s sôus-mandïbulaire's m te ra e s y so n t u n p e u tro p
longs,, qt|’ipn,y| %5Qui$fjé les ^ n |f lp ï;e ^ de l’épine p e c to ra le .
M. Isidore GeoffrOy ena publié la description dans le
même -onvragey où. il ù’y a à «edfru quq Je j, nombre des
r^ypns: b^anciûpffèges, qu’il pe pofte qu’à neuf.
Sopnini, dansson Yoyyg^ d^gypte, en a nne mauvaise
jjgUfe, qu’il i^jtuleb ajatte.
Enfin,_ il s’en trpqye une .figure, çploriée dans l’oiivrage
de M. Riffaud (pl. 194, n.° 7 ) , -intitulée bagara- baçhiça.
Àdanson a remis itutrêiois/âu. Cabinet du Roi un individu
desséché dé cèttetespecèj auquel du moins jabus
ne pouvons decpüvrir aucune différence? Il est dit dans
son ëtiquètte:que ms nègre#le nolnment oaîous; et ce
qui -nous" confirme que l’êçpècc habite en effet dans lé1
Sénégal, c’est que M. le gouverneur Roger nous l’a envoyée
dëféette fïvièrAj
Le Bagre Docm\ c.
* (Bagrus Docmac, nob.; Silurus DocmoG, Forsk. et Gm.)
Eë NilpbssMë un autrep'dïssdn'de Ce geUrè , que les ha-
bitans distinguent par une épithete (bayad docmaç), fort
\foi$in,4w précédent, mais qui en différé
par les proportions, par un rayon de moins à-la dessale, et par
des, teintes d’un gris bleuâtre plus uniforme.
En général , il «est un peu plus trapu, et a la tête plus large et
un peu moins déprimée. La largeur de sa tête -est à sa longueur
comme cinq à deux; la largeur du bouclier dû crâne, mesurée
au-dessus des yeux, est deux fois et demie dans sa longueur.
1. 13 j D.S/9 A- 0; âi«£ eu 13 ; -C. H; P. I/IÔ5 V. «v