ce soit une marque constante des ;sexes. Les écailles, lisses au
toucher, sont à ; l’ogil et .sqrtôut à la loupe finement^ striées , et
granulées. La ligne latéralem’a àsésarbusculesqùedestigespresque
indivises ou à deux ou trois petites, houpes courtes. La >caudale
est; coupée carrégaent.
C’est une deslespèces conservent en se ;,dèsséchantJgs ;plus
belles couleurs. Son dos est yçrt .olivâtre Ljahn large bande j^une
part de répaule ét règne siir M'flanç jusque vers lé milieu du
trône, où elle se perd; 1er vèiïtrëï rfep?efldtldà1 fondvè%dttÿé;:i8u
vert vif entoure les lèvres et forme, deux bandes, qui vont du
museau vers l’oeil et se continuent sur la tempe et sur le tronc
au-dessus de la bande jaune, mais en s’y iqêlant bientôt avec des
tach.es vertes transvërses qui'se montrent sur cbaqué éoai'lleyau-
dessu's de là bande jaune, en. arrière sur toute la qu.èue etjmême
en partie sur, le ventre. Le bas. de la jçue et le 4 |ssqus,de la gorge
sont aussi teints de be^Ùvert; la dorsale a Une bande longitudinale
jaune, entré deux bandes dhm’vert'vn, l’une sur sa base, ï’âtitre,
plus étroite, sur son .bord. I^’analè. en a a peu près'de même, si
ce n’èst que sà bande intermédiaire tire au yerdatré. La caudale
est toiité d?ùn vèrt vif, et a une bande jaûne'æ'sbIFbord supérieur
et à l’inférieur. Les pectorales et lès ventrales paraissent • jaunâtre^
Les couleurs sont les mêmes dans les deux>sexes.
Dans 1# frais, selon M. Pley, .les bords de la dorsale et de l’anale
et lés bandes de là tète ser^ent plutôt bleues que .vertes ,, .et la
caudale serait bcfrdée latéralement de ro>uge.
Nos individus sont longs de neuf à dix pouces.
L e S gare pointillé.
( S c a r u s p u n c tu la tu s , nobO
Un scare .plus petit, envoyé de la Martinique, ressemble
assez, aux précédents pour n’en être considéré que comme
une variétés
U a les mêmes formes, les mêmes bandes sur la tête,.mais point
de jaune sur lès flancs. Le milieu .,d|a%e§ nagepi^es ,verticales est
jaunâtre pointilléide vert, et les bords de sa caudale sont verts
et non pas jaunes.
Cet individu,,a,deux pointes de chaque^côté de sa mâchoire
supérieur 4“.
>i Il u ’ost long qtLe de six pouces, i
L e . « jÉ
{$càrüà tcêhîopteriis, Dësmarets. )
Le scare Représenté pat M. Desjnarets dans les planches
du Dictionnaire classique ! d’histoire naturelle
a les mêmes formés, les mêmes mâchoires, les mêmes écailles, la
même ligne latérale qùe-.nOtfe.’'vc. vetula\ on lui .voit même des
lignés semblables sur lafoersglê, sur l’anale, et une bande jaune
au-dessuS de la^ectorale; mais il paraît entièrement d’un brun tirant
l’ofivâtye, ët ne montre point dé traces des lïgnés'vertes délit tête,
ni des bords jaumes ou Rangés de la caudale'.1' J\a' Blinde de la-base
de sa dorsale-et de son ânale paraît d’un gris jaunâtre, opaque, et
. la ligne dutbord <fst qtrqite et brune. . •
Il me semble aussijtvqir la tête plus l^r’ge. -
g Comme il était, conservé; dans la liqueur, g n<au§L .ayons
pu examiner ses viscères! i
Il a, coiùpie toutes les espèces du genre que nous avons disséquées,
nn lôûg canal intestinal cylindriqüç, sans aücuin renflement particulier;
É& parois soné’d’üne 'minceur extrême. Il fait quabye replis sur
lui-même,‘ èf il eât plissé et' onduleux sur'touté'sa* longueur. La
!- rate ê$t très-aloügéie; la vessië;âéihêïirie est très-grande, arrondie et
. grosse en avant, terminée en pqiqté en âtrièrë. 5el#»r^^pnjpeu
épaisses, fibreuses, assê| solides. Sà é'oùleur test argentée.
L’indiviâu.décrit par M. Desmare ts.çt q u e^ :z é lé na-
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