espece si célébré $ il ne nous apprend même pas si c’est
un po isson de ia Méditerranée;: aussi Willughby erutdl
le reconnaître dans une espèce' des Indes, aqu’ilqmblia
d’après pister (sAppq aSy. pl. X , ro)5'Artedi i et Linnæus
regardèrent comme distinotesîrespècë de Belometeelle
d Aldrovande; mais ils les laissèrent dans le -même genre :
la première porte encore dans Groelin le nom dé labrus
scariM» et la seconde celui de labrus cretensis, quoique
cet éditeur ait adopté le genre des scares de Forskalyanqùel
ce labriis cretensis appartient manifestement.
M. de Lacépède (t. MI, p. tSâo^ ifeit, comme-nous ferons
dit ,; de la première de ces espèces, de. celle de Béton,
sa chéiline seare, et, le décrivant sur la loi de Belon,
lui appliqué tout ce que les? anciens ont *d-it* de kur
scarus, tandis que Bloch,^se-soueiant fort peu de ce q u ’a
pu ëtre ee marüs des ancietisy confond la seconde espèce?,
celfe d’Aldrovande^ ayec un p o i^ n des lnd e sf du genre
des aeares .d'aujourd'hui, et l’ép e lle aern-e
uniqueutent, d it-il, d’api es le témoignage d’^ldrovande.
> Cest sur cette?,«infusion d’espèces; que Lacépède §sÿt
Sbaw placent leur sclrfe grec/à la fois dans la mer des
Indes et danslaMéditerranéef et que Schneider,:y àfoutant
encore ,et prenant un desiscares de P aW pour île même,
let met iaitssi: dans les mers d’Amérique; 1
Mais, sans nous arrêter à des confusions qui seront
suffisamment éclaircies lorsque chaque espèee sera -décrite
en son fieu^ibëtaitîde première importance de reconnaître
le poisson des -mers de la Gnèce que les anciens avaient
pu nommer scaro^ÿiet comme ce nom, au rapport ï de
Beldny était encore usité dans rA r ë b ip e le t que? dans
beaucoup d'autres cas nous i avions recioonu la constance
de ces sorte&de nomenclatures yle moyen qui pouvait nous
conduire le plus directement au buty étâit'de fldus procurer
le poisson auquel ce nüm^e donné y- et d’eiâiîiiner s’il
répond ? pàr : ses^prdptiéîési abéelui qui le portait d’ans
]lantiquité.?ï‘Geit à qubiy après 'plusieurs tentatives infructueuses
> nouéIf avons enfin réussi pgtâëë^à l ’intérêt què
M. le comte de Chahroly' alors ■ ministre de la mâtine-,
portait;aux sciencesy et aux recommandations- *qfe7il a’biétt
voulu transmettre à l-escéclre- qiii 'èréisait dans l’Archipel
eni#2y. M. Fë Méslë^bdmmandant du brièk fcGüiràèSîër,
apfm.rtëf*##oülé^ ét é é yo ffe au Cabinet du Boi
trois 1 (MèéS-mo dérivesÜëÉ bon état1 de
conservation:? : ils répondent^ la. figùré d’ÀldroVande^ ils
sont par conséquenttdmgenre qée les naturalistéénOmment
aujourd’hui s c o p u s s mais? ilS àppaMénifent'sà mÉe ëspèce
qui n’a pas? encore été'décrite; Qiiant à la fi^ürev^de Bëldn
et à la prétendué chéiline scaié ^ pourpèu que l-’ote éthié
quelles aient quelque chose de réel, il éitlvMenFqu elliéi
sobt^très- ddïérentMi. ifü
Il reste à s établit‘quefëév S?eàre dés-* Grées môdëriïët* eist
le même qüe-ceïuFdës ancien-sj Ory#est ceqùe lé4 t-émtoi-
gnage; de®&?LéMéslè nous.paraît d’autant mieux* ptbuVër,
q«É-éet officier* n’avait; point dê!-éohmàdssàttcè de ce que
lës+ anciéns. avaient dit; |
tÊÊÊM ë poisson y d it- i l , est trèsé ëommun y dans la belle
saison, sur presque tous les, points de l'Archipel y en
Candie et sur /les eoUjes adjacentes -du Continent. ? Ceux
que l’on vous envoie ont été pris^sur ië ëâp €rio> là On
était Guide. F ’espècerà. ’conservé émiGfièèë le nom de
Sectrô, qui indiquéHjjeëroisp3!# mânièbé ddnt i ï lsé meut
sur les fonds ( c’estt la -ménie étymdlëgfe qtië* 'donnait