bandeS verücslés, rlarges jetplus fondes. lies poirits:Où les rayures
sont rouges; les raÿqns, de la dorsale, de l’ange et-des ventrales
sont bleus, et ceux de la caudale. so.n,t verts.; Les taches de çptte
nageoire „sont bleues., "
L’individu îde^sif^^par M.dJhr^Afesrg onze pQi^§s
<|enii ide. loD^ j'r et le, Cabitte 1 hdfit Rerlin. ai. céçlé ; un, de
cqlte taille a^u, ; .CîaJaâiiLet: dUi Roio2*#u$ en possédons, .aussi
d’autresjjj plus petits, qui viennent; de mênp,e de la mer
Rouge, td^où Us ont été rap.pqrtés^par M. Boyg.;., -,
L ’espèce a été reconnue par M.jEferçnberg, qui l’a^pu-
bliée pl. 8, fîg. î, de la partie cles^pqissQns de la zoologie
de (s,es Symboles physieoe.
M. Rappel a aussi observé' la même ësjîècè*, mais il s’est
trbmtH1 quand il a cru devbir la considérer cèmmfe la
ebéiline trilobée de Lacëpède ou de Commerson.
La Ghéiline EAs.Cffiprg$R
( Chmtinusfaspiâtus, rfoU |j|j8
M. ÏJi4dard p p u s a ©nvo§il de rMlé-dq-lFranoe
Dussumier nous V rapporté des Séohelles une chéiline
à corps plusaloîngé, saohauteur étant du qpart cle^lailongueur
totale,1 n’ayant qüe, dèux rangées' d’écaâiies ,sur Je prjéqpj2rp.jihi ,®ûe
S ligne latérale non rameuse, la pbrdon inférieur«* reprenant Sur la
; ? onzième rangée d’écailles, qui sont j se
Iprolqnge-en pointe aigu&, dépassant celle deja/ferisalp, sut atteignant
au milieu de la caudalu^qui a ses deux rayons; èx:trêi|ies prolp'ngés,
et le bord compris entre ces deux pQinteseqnypxe$,: »
f Di 9/4*5 rA»‘3/9, etc,m.
Le corps est;|sàjir un fond olivâtre,; traverse Jpar six bandes verticales
rougës, plus ou inôius'orângééS^dèîlaî^ës^bfôissàns WMrs
1 bordent les écailles, mais inégalérîieàt; ‘dé* gtiis:pointsr'§onf4 ur
l’épaule ou sur le' bâtit de l’operCule. La tête et la poitriheirS6nt
I , prt-nrtii;pfis>dfe ^«hgfe ■ T d a ii^alfetibordéetde j a u ^ ,s èst, ajtgrnativeihent
<jîrgugëj ou.;;n^ir|^tr!§ j à 1 ajbas,e(;s a^pointe^stpouverte d'e^petits points
>J( hlancSj,L’anale, plus haute^a de^ taclie^mjtge^en|^yapt et des points
blancs en jpnère/bareaudâle a le bord ^^CTQiss^nt n o ir, puis une
1 seconde.et largç handl» rio ire ^ ^ e rs e le mpi eu* pe sa longueuy. Les
^ ventrales^ courtes, eii' fllfet, ’ont la base rduge et
lé r'éste >0Mtrê‘^ é é ü Mt ^Sté iimSe trâits^oVângés1 âu nombre dre
‘’ !Èfeùf * a dix.- J /
Je ne vc^ gas qûcr W P!j!Soient verts. ’
Lalpngueur, ^i^qu’à'T^^émL^^es/pointes de la P é dale,
!e^£^^ydixH poucesV^Ous~que- dans Je p o i ssant <W
neuf .pouces.,^
M. Rej^naud npiis-â-rapp^^da pleine èsjxe^e de Batavia,
du mains quapL>&ux.;formés& mais Jjj.QP J? dessin que^eet
o^seivâteur nous1 a communiqué, Tefecouleurs sont différ
rentes .
'l‘es'frayur|s' qui entourent l’orbite. so%br^uggg,., ainsi que .la poitrine J
lèSi’bandes'verticaleSySMijtÆuppeau jaime; la dorsale, 1 anale et la
cducjà'îc on^lé foqcT^oùge.
, La^essemblance dçs formes p^t|lle que je ne la regarde
cégênlanl que comme m e vàriéie'^M'. Re^nauad’a^fMue
âes pëchéurs3 malais" ^|%e|le 'Moluque sous lé, nom de
kakatoa.
Bl'oèh a “donné ;d$ cfettë'espè^lune figuré très-refcon-
fiaisékble;pdur le tralt^mais enluminée d’apres'i le poisson
conservé Jfans l’eau -d e -v iê fe s t son spams Jasciatus,
pl. a 5 7 S que,, Lacqpéde, a laissé sous xé, nom dans ses
spares, .tandis qu’il reproduisait la même espèçe dans ses
labres (t. III, p, 127 ), ep. dèÇïiyant un ppis^n Ju Cabinet
conservé, dans l’eau-de-vie sous le nom de labre ennéa-’
canthe.