çlçcrire; peut-être même le loro dé Parra n’en est-il encore
quune variété d$ge.
g Le ScARF, BRIDÉ d’©R. ; ;
ciurofrenatus, '■ nob. ) ;
i Cepe'beHeesçècenous.a été envoyééde Saint-Pominsue
par-M.Rico*rd.
Sa.| tete plus longue, gué hanté? iSés/lortifdentelures
et les gros grains de- -ses mâchoires, les deux épines ..d,e
la|supérieure *, | f ^ | f dali? un neu
crWssmt| peuvent la distinguer iù^êpe^di^pirnept défies
couleursl
ë %iteur a ^ p(|Glprdes,,qui^^us§i Jà! fe n g ê tît $0 fa
<% n^ .dansr 5a ,|Qxigt|[çiar - -la W r rb.sa" gjkM
la nuque est une fôis e t u n ’tiWs^ans saiongùçur; sotrpfofil descend
presque en ligne, droite; ses dentelures -sont au nombre
dè d ii‘ou douze tfe éh’â^ûi c^t^Wt le^Vêtes de âepts &ont\ pmpor<j
don, néanmoins -elles forment une surface en
dés m^fcioires est presque /entier , et é?ést: vis^WiAd'd cOMâ^cfe-
• imept def^tte panse s entière ique .^tot deux fôrieS pointes dirigées
lï trls^légë^Ment: striéesjîjj^iàrbuséales de
: la ligne latérale^j^çinq ou six bra^ocpes unpeq rameuses, o/tqiipent
, parti^ dlcqu^pr^ade, béea||je. J^a caudale est taillée en/crmssant,,
èt quand .elle s’étênd,$esdeux ppin^s.sailientà peine' du, tiers
de- Sa îonguéür aiu 'milieu. '
_e cî).j 9/10, etc.
^J^put ron corps fest d’un beau cramoisi, un: peu? i teint de ! brun
sïffi le pfes^êt^inele^i^ yerdlitré vers ïè t^s, La poitrine semble
verdâtre, "un ruban d?un bel oraûgé ;v i ?de. l’angle ^ y ^ b ô îj c h e
àëus roèili«t'S^*péôloii^e un peu plus èri ariiè're;1 il y eU à ‘Un 'petit
SUr la tempe, parallèle à ce prolongement. La dorsale est d’un oï^&gé
plusijgrfeatnerienravant, jgt plus, vif en*larrière.^L’anale*est tOuge;
(«bordée d’nn Hséré violet, et avec un peu de violet vers la base.
La caûdâte est iloùge avec unlarge, feofd!<blancy et sés pointes
sont noifessurleur moitié voisine des bords supérieur et inférieur.
*-C’est enère ces deuxparties noires que« règne le bord blane.<La pectorale;
est d’un orangé pâle et a* son premier rayon violet Ou noi-
'râtre; les ventrales sont rouge pâle; l’iris est rose.-
. t p ous avons plusîfurs individus de cette belle; espèce et
l’un d eux est lpng; de dix ppnçes.. .' ;
( 'Lë> SCAHE ''A;;iRAIES- VERTES. $
( Scarus 'ùetuld^.Bl. ScLn.)
Jusqu’ici1 nOiks n’avons parlé que de iseares dont la caudale
a les angles5 prolongés en pôifttés;. dans.ceux qui
vont suivre elle esr^oupéê carrément ou à peine un peu
concave a^sbnborcf
La première et l’une des plus belles de ces espèces;
.p a rP ap a (pl. 2$b 1 ), a été
nommée < par Bloch ^Syst. posth. p, 289:, n.° j ), scarus
vetula, d’après le nom de vie]a que les Espagnols de
Cuba donnent ‘éù commun à plusieurs ^êSnèeêPdu genre,
èt iJuM^ltehdent, éômmë nous faisons de. celui dé Vieille,
à plusieurs espècés^'dh labres.
M- Pley nous en a envoÿé quelques individus de Saint-
Thomas. 1
Leur hauteur est quatre fois/ ou ià peu près dans lew* longueur ;
leurs mâchoires ont les bords tranchans, les dentelures à peine
sensibles, la surface lisse* mais ouïes vestiges des dents se marquent
comme de petits points blanchâtres sur un.fond plus gris; une ou
deux pointes aiguës assez fortes à l’angle de la mâchoire"supérieure.
Dans i’envbi qüi nous a été fait, le' mâle a deux pointes ‘de 'chaque
côté, et la femelle une seule; mais nous n’oserions affirmer que