7 4 LIVRE XVI. LABROÏDES.
La longueur est de neuf pouces.
Outre les individus dé C^ n n e rso n , no'ds en àfèbs
plusieurs autres qui prouvent c[ue l’espèce est commune
et rëpapbm dans la mer-des Indes.
M. DÆssumier, M. Desjaixïins, MM. Lesson et Garnot,
etvM! Mmarre-Piquot, nous l’ont procurée de flsle-de-
Francé. M. Dussumièr l’a retrouvée aux $> échelles j MM.Quoy
et; Gaimard l’ont prise ^SPadagâscar, à la Nouvelle-Guinée.
Ses ‘arêtes ont aussi une teinte verte assez notable.
M. Dussumièr rapporte qu’on le mange à î’iSle-dé^Franèe.
L a f e ÉiLins veinée.
h ( Cheilinus 'V0 g$M , nob. )
M. Geoffroy Saint-Hilaire a pris à Suez, pendantTex-
pédition d’Égypte”. une chéiline qui nous a été ensuite
rapportée du même port par M. BoyJ*^*.
Quoique voisin^de II précédenie par le vert dtbraÿonsfmfrtfyëns
de la caudale, elle en diffère parce que la-'riÉtébMre inférieure ne
fait pas une saillie aussi pronôneée, (jue la ligne du profil#escend
v rupins obliquement, qu’il n’y a qj*#q®tâques petite&véinûles ou traits
fins, f tn c s , sur la téw et sur le bord d^quelques écaillés d«s
flancs; le tçonc est rbussâtre; la dorsale ex l’anale n’ont pas de
* rayons verts; leur teinte jaunâtre offre les'vestiges de quelques
points gris ou brun très-pâle.
D. 9/11; A. 3/12, etc.' .
La longueur est de sept pouces. BJ. Botta vient d’en
rapporter d’autres de Djedda,
M. Ruppel a pris dans la mer Rouge une espèce encore
voisine de celle-ci, et qu’il a nommee