par feu M. Roi|x« sfiespèce^oit -y:s être rareg|É˧|no«sl ne
l’avons jamais vue dans les belles et nombreuses collections
que M; Dussumier nous a rappojÿéessd^ioejÆejradie...:-
Je crois devoir encore, regarder comme defdlia^tee
espèe%file ;gpinpbose que M.,iBennett a figure dans son
ouvrage sur les poissons Me Ceilan, *n.?d.o, etau q u e l il
donne une teinte "toute .verte II le nomme gompkosus
viridi&'y.mais j’ai fieu de croire que, si le(ppis^#nTetaititout
vert ,5 Gs§st que danSieette variété -la ‘teinte' vertebpiréâomi-
nait sm le bleu> drp corps , ‘qni s’eia(^ t]æs r promptement
après la mort, et se change en vert fondée ainsj -qUe nos
individus desséchés, nous-le prouvent. Peuf^tre’-même
que le dessin de M. Bennett a été coïoiiêiohg-tèmps après
la mort du poisson.,
— Ces observations- prouvent que l’espèce est. Répandue
dans toute la mer des Indes,:
C H A P IT R f iX I I I .
Des Rasons et des Nomcules.
DES RASOMS^'dXvRiCHTHys^ pob.).
.fies rasons, nommés ainsi à cause de leur forme com-
pramïéeietfdè leur tête tranGhantetj qui il@gH©»t fait comparer:
à' des lames de râsoirysmdistinguent -des labres et
opposés à ceux qui en diffé-
rerici’ént^fèâî! g©mptlè'sueà.f%e »iont-jën quelque, sorte des
girelle^nu ? (je£ laforqs, dontala. tfeêlei'est plus hante que
longue ? et édfmme tronquée; en?# vaut, et ayant le profil
ver tibai Hevé et touchant»! Bons "disons que ces poissons
tiennent d e s girejles, e t ;dé,s labres $ parce que si la plupart
ont, comme les girelles, la téte-ûiue, il en est où la joue
estï.éisailleuse, comme dans les labres. Du rqstôj les caractères
communs ‘des girelles èt des labres s’y retrouvent en
tout : dorsale longue et uniforme ; •> dents sur . une seule
rangées,:les antérieures plus longues; palais e$ langue lisses ;
pbaryngieùs couverts ^er dents en petits pavés j canal intestinal
uniforme,, sans cul-de-sacet sanstG<neums ; production
membraneuse d u sous-orbitaire formant une double lèvre,
etc. Il n?est pas jusqu’à la vivacité d.e, leurs couleurs, qui
ne rappelle certaines girolles et certains labres, .Leur ligne
latérale est quelquefois interrompue sipsda fin de la, dorsale,
comme dans les seares, mais elle ne consiste qu’en
traits simples et non rameux.
- La forme extérieure de la tête de ces poissons les a fait
réunir aux coryphènes , mais fort mal à propos.
4 - 4