secbnd, qui appartient au troisième interépineux. Le
premier de ces interépineux ne perte pas de rayon, et varie
beaucoup dans les espèces à casque continu avec le bouclier,
comme chez beaucoup de Bagres et de Kmélodes. Mutera
pariétal,isefcprôlongeant en arrière**passe sur ©et os* qui
est alors fifrt petit, e t se cache pour aller feindre, par
son sommetyde bowdier formé pàr les deux suivans.
D’autres fois, comme dans les S bals et les Auchéniptères,
un interpariétal et un deuxième interépineux, alors encore
plus : développés, se joignent l’un à l’autre aux côtés; du
premier interépineux,qu’ils embmssent, e pldbsent paraître
entre eux un espace plus ou moins grand,,; au milieu de
la surface de l’armure qu’ils donnent en commun jà k
nuque.
Quand le sommet d elïnterpariékl riarrive pas jusqu'au
deuxième interépineux, le premier se porte libre' jusqu’à
kpean ye rse montre même qnelquefois en dehors comble
uaeipièc© étroite, interposée entre les deuxautre& Le
casque ulàrsm?est pas continu àve%le boucler.
Les apophyses épimeùses À g u vertèbres soudées iijui
forment la première vertèbre; apparente, concourent aussi
utilement à soutenir c^t appared, qui protège'la nuque ||t
supporte ra grandeépine dbrsak; elles portent les interépineux,
s’articulent môme avee eux par suture, souvent
il s’en dirige une vers ïooiput, qui soutient; ainsi latêt©$
en un mot, on voit une liaison mutuelle d© toutes ©es
parties antérieures; du squelette,*dont l’efifety pour leur
stabilité dans les mouvemens du poisson, ne peut être
(fàe très- considérables
.. yépaule des silures est égakmentconstitué© comme le
réclamait l’arme redoutable à laquelle eUe dev&it servir
de point d’appui ; la solidité et l’étendue de son articulation
inférieure; k ' fermeté qu’a le plu§. souvent son articulation
supérieure; enfin, sa division seulement en deux
parties mobiles, concourent également à lui donner de
la vigueur.
Nous avons vu que souvent leur surscapulaire s’unit en
dessus au crâne par sutaety jt&t<que presque toujours il
prend aussi deTappui eh dessous, au moyen d’une ou de
deux apophyses sur l’occipital inférieur y et sur l’apophyse
transverse de la-première vertèbre: il n’y a jamais de
scapulaire? c’est entre‘deux apophyses du surssapulaire
que le liant de l’huméral s’enchâsse, et e’est encore là une
de ces exceptions à k prétendue règle d e ïu w té de composition
, qui sont nombreuses dans ce- genre.
Dans la ])lupart,deS'poissons,,fhuméral complète seul
en dessous k ceinture des deux épiutes^ e$;sei jesint à son
semblable par suture ou par synchondrose, «ans que le
cubital descend© jusque-là. Il n’en est pat de meme dans
les silures : le cubital descend jusquh lartiçulation, qui
est très-souvent une suture à dents très-profondes, et dans
beaucoup d’espèces il est tellement élargi par le . bas, qu’il
occupe plus de moitié de la longueur doveett© articulation;
c’est ; ce qui fait que la partiel inférieure de la ceinture
humérale est» si krge-dans cesrpoissonayfeeiqui, outre la
base sohde quelle donnelà^ l’épine péotomie i la met a
même de protéger efficacement la partie des viscères qu elle
enveloppe.
La soliditédè cette base d eiep ine pectorale,est encore
augmentée par l’union intime que contractent le cubital
et le radial; union qui va souvent jusqu* une suture ou
une fusion complète; et outre cette circonstance, il y en